J’ai toujours été sensible de l’anus. Tout petit j’éprouvais du plaisir à m’introduire des objets dans le derrière et avec le temps, cela a dérivé vers la sodomie passive avec des mecs rencontrés au gré des annonces ou dans des saunas.
Quand j’ai eu 19 ans, je suis rentré à la fac et j’ai commencé à regarder autour de moi les autres étudiants, imaginant leur sexe en moi, fantasmant sur des rencontres torrides, etc…. Quand j'étais à l'école, à la récréation, j'aimais regarder les mecs pisser. Même si je n'avais pas moi-même envie de pisser, je me mettais juste à côté de leur urinoir pour les regarder pisser et regarder leur queue. Hummm que j'aimais ça ! J’ai donc recommencé mon manège.
Une fois, un mec m'a vu en train de le regarder. Il appelle un de ses copains et lui dit :
« Regarde ce pédé vicieux, il nous regarde pisser »
Le copain arrive vers moi , commence à me pousser dans l'urinoir puis m'attrape par les cheveux et me dit :
« Petit pédé, tu aimes la bite ? Et bien tu vas en profiter »
Les deux mecs me prennent par le bras et m'entraînent dans un wc à la turc sans que j’oppose la moindre résistance, toujours mes fantasmes, et ferment la porte à clé. Ils me font mettre entièrement à poil et restent un moment à me contempler. Ils se mettent à rigoler en voyant mon sexe tout mou et tout rabougri. J’ai beau être excité, je ne bande pas.
Puis les deux mâles, excités par ce spectacle de petite salope soumise, me forcent à me mettre à genou et commencent à exhiber des queues gigantesques pour une petite lope comme moi. L'ordre claque :
"Suce salope"
Et ils m'enfoncent l’un après l’autre une bite pisseuse puis une autre dans la bouche.
Au bout de cinq à dix minutes, ma mâchoire n'existe plus, ma tête tourne, ils commencent à être super chauds et m'ordonnent sèchement de me retourner et de leur présenter mon cul. Inquiet et apeuré par ces mecs je subis un retournement direct et je me retrouve en position tête en bas, cul en l'air. Puis ils m'enfoncent la gueule dans la cuvette du chiotte et pendant qu'un me tient la tête plongée dans le trou des chiottes, je sens une queue me rentrer dans le cul.
Le premier a enfoncé sa bite d'un coup sec, m'arrachant un cri ce qui me vaut des claques sur la gueule par l'autre pour me faire taire. Les va-et-vient sont hypers rapides et le premier ne tarde pas à jouir dans mon cul . Le second rentre sa queue aussi sèchement mais j'ai moins mal, peut être que le passage a été fait !
Mon enculeur fait des va-et-vient rapides, mais pas si rapides que le premier. Au moment de jouir il se retire de mon cul et me met sa queue dans la bouche. Il me dit :
«Avale tout petite pute ! Sale batard de pède, je vais te gaver !! »
C'est la première fois que je goute au sperme et au début je trouve cela très amer et infect. Au fil des années, j'ai appris à aimer ce liquide d'êtres supérieurs.
Voyant que cela me fait bander, je reçois des fessées, très fortes, et le premier à m'avoir enculé se tourne dos à ma figure et me chie sur la gueule en me disant :
« Tu n'es bon qu'à ça, à servir de chiotte aux mâles, putain de tarlouze ! »
Je dois me nettoyer la gueule devant eux avec l'eau de la cuvette du wc à l’aide de mon slip. A la fin, je jette celui-ci dans la cuvette et tire la chasse.
A force de me voir rentrer à la maison sans slip, habitant encore chez mes parents, ma mère finit par s'étonner de ne jamais avoir mes sous-vêtements à laver. Elle me questionne. Comme je ne dis rien, elle en parle à mon père à mon insu. Celui-ci, sans m’en parler bien sûr, avertit la Direction de la fac, laquelle décide de me surveiller via un pion. Un jour, celui-ci nous surprend mes mâles et moi dans les chiottes, moi en train de prendre mon pied à me faire enculer par ces deux super mâles. Après être passés en conseil de discipline, à l’époque les mœurs étaient plus stricts qu’aujourd’hui, nous sommes tous renvoyés de l’établissement, discrètement mais renvoyés quand même.
Après ces séances qui ont décidé de ma vraie sexualité, chaque jour, dans des bars, dans des magasins, des lieux publics divers, je me révèle dans ce plaisir délectable d'être l'esclave sexuel des mâles. Je dois les suivre aux chiottes pour qu'ils puissent m'enculer, me soumettre à leurs désirs. Soumis mais plus que consentant, je deviens leur esclave, leur souffre-douleur et leur larbin. Ils se régalent tous à me pisser dans la bouche et je prends vite goût à boire leur pisse, pensant que j'ai une sexualité d'homme sans savoir que je ne suis qu'une lope à mâles.
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