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MessagePosté : sam. 07 oct. 2023, 17:23 
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro enculé par madame, probablement Bisexuel.
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Après autorisation de Denise voici Sophie Michaud et le TIME BANDIT de la Mac Pyridine company.


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Vous trouverez plus bas un portrait de Marie Louise Fistamat le secrétaire de Denise épouse Ospif née Mac Pyridine directrice de l'insitut formant les navigants de la compagnie, ainsi nous présenterons dans peu de temps Marlyse Dufour capitaine du WIZARD un de nos meilleurs navire à Homer.

Collection "La Directrice"

Episode 3: "La punition de Marlyse."

"Entrez!"
La voix de Madame la Directrice était sèche. Marlyse hésita, puis entra dans le bureau.
Madame Ospif, directrice du Collège qui portait son nom, trônait derrière un énorme bureau de bois sombre. Toute la pièce était mal éclairé, comme si on y traitait des affaires qui ne supportaient pas la lumière du jour...
Par la porte ouverte on pouvait apercevoir Madame Louise, la secrétaire de la Directrice, occupée à trier le courrier dans la pièce à coté.
Madame la directrice leva les yeux sur Marlyse.
"Tiens, Mademoiselle Marlyse Dufour... A peine une semaine chez nous et déjà en punition?"
Marlyse se dandinait de l'un pied à l'autre.
"Oui Madame..."
"Voyons... mardi neuf heures trente... vous avez cours d'histoire, de Madame Malville?"
"Oui Madame..."
"Je vois... Et que vous a-t-elle dit exactement, Madame Malville?"
"Elle a dit de vous dire ‘Code 4' ou quelque chose comme ça..."
"Code 4? Elle a dit ‘Code 4'?" La voix de la directrice était incrédule. "Bon, très bien. Elle a sûrement ses raisons. Venez!"
Elle se leva et alla de l'autre coté de la pièce, et s'installa dans un large fauteuil de bois comme on peut voir sur les gravures anciennes. Les accoudoirs brillaient de cire.
"Madame Louise, je vais avoir besoin de vos services..."
La femme, le bon coté de la cinquantaine, laissa son courrier et se hâta vers la directrice.
"Mademoiselle Dufour, vous allez être punie. Comme c'est votre première fois - et j'espère aussi la dernière -, la punition sera exemplaire. Venez vous mettre devant moi!"
La jeune fille s'approcha de la directrice assise et, les mains derrière le dos, s'approcha jusqu'à ce que ses genoux, découverts par la jupe d'uniforme grise à plis, touchent presque les genoux de la directrice. Celle-ci lui prit les mains et les posa sur les accoudoirs de sa chaise, forçant Marlyse à se courber pour ne pas perdre l'équilibre. Son dos était à l'horizontale et elle s'appuyait sur ses mains pour ne pas tomber en avant. De cette façon son visage se trouvait à quelques centimètres à peine du visage sévère de la directrice.
"Pour vous éviter de faire une bêtise, je vais vous tenir les mains; j'exige un silence total: tout bruit ne fera que prolonger votre supplice. Aussi je veux que vous me regardiez droit dans les yeux. C'est ça, comme cela..."
Marlyse s'effraya du regard dur et pénétrant, il avait quelque chose d'hypnotique. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale. Elle se rendit compte que le regard l'attirait inexorablement.
Lorsque la directrice força ses pieds entre ceux de Marlyse, son regard ne cilla même pas et docilement elle suivit le mouvement et écarta ses pieds.
Elle commençait à peine à se rendre compte que la punition ne comportait pas l'un ou l'autre travail scolaire comme dans son école précédante, mais une punition physique, un bonne vielle fessée...
Sans bouger la tête la directrice se mit à donner ses directives à Madame Louise:
"Allez prendre la latte souple sur le rayon inférieur de mon armoire... Bien.
Maintenant relevez-lui la jupe..."
Les jambes de Marlyse se couvrirent de chair de poule quand elle se rendit compte que Madame Louise lui avait remonté sa jupe d'école, l'enroulant jusqu'à ce qu'elle ne fasse plus qu'une sorte de bouée de tissus gris autour de sa taille, mettant à nu la culotte de coton blanche.
"Comme je vous ai dit tout à l'heure, cette punition sera exemplaire. C'est pour cela que vous aurez dix coups de latte, pas sur votre postérieur, mais dans l'entrejambe. Je sais que c'est extrêmement douloureux et affreusement humiliant, mais cela vous fera réfléchir avant de récidiver... Madame Louise, je vous en prie... dix coups entre ses jambes... et n'y allez pas de main morte, c'est pour son bien..."
Marlyse croyait rêver. Ce n'était quand même pas possible, une punition corporelle ? Et pourtant ses mains étaient maintenues sur les accoudoirs comme si elles avaient été dans des étaux, les yeux de la directrice étaient à moins de vingt centimètre des siens, et elle sentait le déplacement d'air provoqué par Madame Louise, sur ses cuisses nues. Puis elle vit les lèvres devant elle bouger :
"Maintenant !"
D'abord rien ne se passa. Puis elle entendit comme un claquement, presque immédiatement suivi d'une vive douleur entre ses jambes. Elle cria, les yeux grands ouverts, le souffle coupé.
Incrédule Marlyse regarda le visage impassible de la directrice, vit à nouveau les lèvres bouger...
"Aaaahhh ! ! !" Marlyse secoua la tête, tenta de se redresser. Mais la poigne de la directrice ne fléchit pas et pour la troisième fois Madame Louise prit un élan, tendit le bras derrière elle, la latte le prolongeant, et comme une joueuse professionnelle de tennis balança son bras et frappa de plein fouet le centre de la culotte blanche. Elle vit le postérieur de la jeune fille se soulever sous l'effet de son coup droit, puis le fond de la culotte devint plus foncé : Marlyse Dufour ne contrôlait plus sa vessie et urinait sous elle...
"Aaahh ! ! ! Je vous en prie arrêtez, assez ! ! Pitié ! ! ! Mal, j'ai mal... Laissez-moi, je vous en supplie..." les derniers mots se perdirent dans le sanglots. L'urine avait coulé le long de sa jambe et faisait une tache sombre sur le parquet ciré.
Dans sa douleur Marlyse avait fermé les yeux. La voix glaciale de la directrice les lui fit ouvrir :
"Stop ! Madame Louise, allez chercher une serviette imperméable et des gants, en haut dans l'armoire."
Puis elle s'adressa à Marlyse :
"Je me suis trompée. Je vous avais laissé le bénéfice du doute. J'étais convaincue que vous subiriez votre punition avec dignité. Il va falloir vous mâter, une simple punition ne semble pas suffir..."
Madame Louise déplia une serviette comme on emploie dans les hôpitaux pour les personnes incontinentes, un large carré de plastique recouvert de cellulose absorbante, et le plaça entre les pieds de Marlyse.
"Madame Louise, déculottez cette jeune fille, nous allons passer aux choses sérieuses."
La secrétaire agrippa l'élastique et tira la culotte sur les hanches de Marlyse, découvrant les fesses blanches. Elle fit glisser le slip le long des jambes, puis lui fit lever les pieds pour l'enlever.
"Voulez-vous essuyer ses jambes, avant que tout ne sente l'urine..."
Madame Louise frotta l'intérieur des cuisses de Marlyse, puis passa la culotte sur le sexe de l'adolescente, la faisant frissonner de honte. Elle tendit la culotte mouillée à la directrice.
Celle-ci força Marlyse à ouvrir la bouche et y fourra la culotte, coupant net aux jérémiades de la jeune fille. Avec une fine lanière de cuir qu'elle attacha sur la nuque, la jeune fille fut bâillonnée.
Marlyse sentit que les minutes suivantes allaient être très désagréables. Elle et se mit à trembler, morte de honte, quand la directrice lui écarta à nouveau les genoux. Elle se rendit compte avec horreur que son sexe était béant et que tant la directrice que la secrétaire pouvaient voir son intimité. Elle ne s'était jamais sentie si nue, si vulnérable. Son entrejambe était en feu suite
aux coups de latte. Elle dut se concentrer pour ne pas continuer à uriner car elle avait la vessie pleine et la pression était plutôt désagréable.
"Madame Louise, avant de continuer, veuillez fouiller le rectum de cette demoiselle, afin de nous assurer qu'il n'y aura pas de surprise de ce coté-là."
Sans douceur Madame Louise écarta les fesses de l'adolescente, exposant l'anneau foncé de son anus. D'une main gantée elle y apporta copieusement de la vaseline, puis se mit à l'étendre le long de la fente. Elle s'agenouilla pour être mieux à la hauteur et vit que la vulve était trempée. Le clitoris et les petites lèvres étaient d'un rouge vif, suite à la première partie de la
punition.
Sidérée, les mains toujours maintenues sur les accoudoirs par Madame la directrice, Marlyse laissa faire, trop choquée pour réagir. Mais quand elle sentit une doigt pousser sur le muscle de son petit trou puis pénétrer son ouverture intime elle voulut protester. Elle se rendit compte de son bâillon et abandonna.
Madame Louise enduit les pourtours de l'anus de vaseline et força un deuxième doigt dans l'ouverture, faisant faire à ses doigts une gymnastique pour élargir l'accès. Elle savait très bien ce que la directrice attendait d'elle.
Depuis le temps qu'elle était sa secrétaire, elle avait eu toutes les leçons nécessaires: fessées, fouettages, humiliations diverses... Au départ elle n'était ni sadique, ni bisexuelle, mais le magnétisme de la directrice avait joué et maintenant elle aimait son travail parce qu'il lui procurait une impression de puissance. Quand elle avait devant elle un derrière de jeune
fille prêt à être cravaché ou fouetté, elle en éprouvait un plaisir sexuel.
Plus la douleur et l'humiliation qu'elle infligeait était forte, plus elle s'excitait. La directrice avait rapidement découvert ce penchant de sa secrétaire et l'avait savamment exploité, faisant de la dame digne un parfait instrument de punition.
Marlyse ressentait la pénétration comme une brûlure: comme si on lui enfonçait un pieu chauffé à blanc dans le derrière. Elle gémit, se qui ne fit qu'augmenter l'excitation des deux dames. La directrice sentit les mains de la jeune fille trembler sous les siennes. Tous les mouvements des doigts de Madame Louise étaient répercutés dans les yeux de l'adolescente. Quand Marlyse ferma les yeux un instant, la directrice sut que Madame Louise forçait un troisième doigt dans l'orifice intime de Marlyse. La jeune fille respirait bruyamment par le nez, la bouche toujours obturée par sa culotte. Elle avait fléchi les genoux pour s'ouvrir le plus possible, pour diminuer la douleur de la pénétration et l'humiliation d'être fouillée comme une criminelle.
Son sexe béait et quand elle regarda entre ses jambes, elle vit les sécrétions intimes couler de sa vulve en une longue traînée blanchâtre. Soudain elle se rendit compte que son anus semblait s'être accommodé de l'énorme viol: la douleur était partie, remplacée par une sensation d'humiliation tout aussi douloureuse.
Mais ce répit ne fut que de courte durée. Madame Louise mit deux doigts de chaque main dans l'anus distendu et continuait à élargir l'orifice. A travers ses doigts elle apercevait les parois roses du rectum. Elle se mit à écarter les doigts ritmiquement, ouvrant petit à petit le muscle comme il ne l'avait encore jamais été. Puis, n'y tenant plus, elle mit son pouce droit dans sa
paume et glissa la main dans l'anus de Marlyse. La jeune fille gémit de plus belle, le muscle étant étiré à la limite de rupture. Tournant lentement Madame Louise força sa main chaque fois un peu plus profondément. Puis soudain le muscle lâcha et la main s'engouffra jusqu'au poignet dans la gaine brûlante. Pour Marlyse la sensation était tellement forte qu'elle se remit à uriner sans même s'en rendre compte; c'était comme si elle avait une bête vivante et maléfique dans le ventre.
Madame Louise savourait le moment. L'anus encerclait son poignet et quand elle tirait sur sa main, le muscle accompagnait comme une membrane de caoutchouc.
Elle se releva en posa sa main gauche sur le bas-ventre de l'adolescente, puis elle se mit à pousser ses mains l'une vers l'autre, prenant la matrice et la vessie de Marlyse comme dans un étau. Le résultat fut immédiat: la jeune fille avança pour échapper à la main qui violait son rectum et se retrouva assise, les jambes largement écartées, sur les genoux de la directrice.
En même temps, le filet d'urine qui coulait le long de la jambe de Marlyse devint un jet puissant et inondait les jambes de la femme assise. Celle-ci lâcha les mains de l'adolescente, releva sa propre jupe et attira Marlyse jusqu'à ce qu'elle soit assise sur les cuisses, la vulve béante contre sa culotte noire qui fut immédiatement trempée.
L'urine coula le long du sexe de la directrice, trempant ensuite le cuir de la chaise sur laquelle elle était assise.
Madame Louise avait anticipé le mouvement et avait suivi Marlyse, la main droite toujours enfouie dans le colon de la jeune fille. Profitant du moment elle poussa de toutes ses forces et enfonça la main jusqu'à ce que ses doigts rencontrent le virage en S qui termine le rectum. Elle arrêta sa progression, sentant au tremblements de Marlyse que celle-ci était à ses limites
d'endurance; la moitié de son avant-bras disparaissait dans le derrière de l'adolescente. Elle savoura la sensation sublime de l'intestin qui emprisonnait sa main, puis à regret la retira lentement. Pour Marlyse se fut un nouveau supplice: ses parois intimes réagissaient comme quand elle était à la toilette et poussaient la main de Madame Louise hors de son corps.
Dès que sa main fut sortie, Madame Louise saisit un anneau de bois, ressemblant à un très large bracelet ou un rond de serviette, et le plaça dans l'anus toujours distendu. Il y entra à peine; une fois en place, l'anneau ne
bougeait plus: l'anus prenait dans un bord fraisé dans le bois. Deux centimètres dépassaient de l'anus comme un rond de serviette obscène tandis que près de quinze centimètres se trouvaient à l'intérieur du corps de la jeune fille, la maintenant largement ouverte.
La directrice fit mettre Marlyse debout, la regarda droit dans les yeux et lui dit:
"Petite salope, regarde ce que tu as fait: tu as uriné sur mes vêtements. Tu es vraiment une dur à cuire, n'est-ce pas? Eh bien, tu verras, j'en ai maté des plus fortiches que toi! A genoux!"
Morte de peur Marlyse s'empressa de se mettre à genoux, malgré l'énorme anneau fiché dans son rectum. A chaque mouvement une coulée d'air entra dans son rectum, c'était comme si ses entrailles étaient exposées hors de son corps.
Son bâillon fut enlevé; ses mâchoires étaient endolories.
"Maintenant, tu vas m'enlever les vêtements que tu as souillés..." La directrice lui prit les mains et les posa sur ses hanches, sur l'élastique de sa culotte noire. Le visage de Marlyse était à quelques centimètres de l'entrejambe mouillée; cela sentait l'urine et la femme.
Brutalement la directrice l'attira contre elle et le visage de la jeune fille vint s'écraser contre le tissus trempé. Les doigts de la directrice s'emparèrent des siens et firent descendre la culotte le long des hanches.
Puis le sous-vêtement humide vint se coller sur le visage de Marlyse. La directrice ferma les jambes et emprisonna la tête de la jeune fille, maintenant la culotte mouillée comme un masque couvrant son visage.
Quand Marlyse était au bord de la syncope, la directrice relâcha son collier de chair et dit:
"Maintenant enlève-la moi, puis tu reviens avec ta tête entre mes jambes."
La directrice se laissa glisser en avant, de façon à ce que son entrejambe fut au bord de la chaise.
Marlyse fit se qu'on lui dit et vint se mettre entre les cuisses charnues qui se fermèrent immédiatement.
"Comme tu es une petite salope, tu sais très bien ce que j'attends de toi... alors vas-y!"
Et s'adressant à Madame Louise:
"Et vous, chère Louise, vous allez continuer la punition avec la latte, cette fois-ci sur le sexe nu, jusqu'à ce que je vous dise d'arrêter..." Elle empoigna la tête de l'adolescente par les cheveux et la tira contre sa vulve.
"Vas-y salope, au mieux tu travailles, au plus vite ta punition sera terminée..."
Madame Louise prit position près du sexe offert, balança quelques fois son bras comme un joueur de golf, puis frappa de toute ses forces, de haut en bas, sur la vulve de l'adolescente.
Marlyse en grogna de douleur, ses plaintes absorbées par la chair humide de la directrice. De peur pour les coups suivants elle pointa la langue et l'insinua entre les lèvres vaginales, gouttant les sécrétions salées de la directrice.
"Mmmmmmmm!!!!" les coups de latte étaient bien plus douloureux maintenant, sur le sexe découvert, que lorsqu'il y avait la protection du slip. A chaque coup, la chair devint blanche, exsangue par le choc; pendant quelques secondes
Marlyse ne sentait pas de douleur. Puis le sang revenait, emmenant avec lui la douleur lancinante.
La jeune fille crispa les muscles de son bassin afin de se protéger de la douleur des coups, mais cette crispation causa une nouvelle douleur anale, quand son muscle intime se refermait avec force sur l'anneau de bois. Elle se sentait tout ouverte: non seulement son anus était maintenu ouvert, mais son sphincter urinaire était comme paralysé, et sous l'effet des coups de latte
répétés, l'ouverture de son vagin s'était distendu, laissant librement couler ses sécrétions féminines.
Le clitoris pointait comme une perle nacrée entre les lèvres vaginales. Madame Louise prit l'une extrémité de latte de l'une mains, et l'autre extrémité de l'autre, pliant la latte. Puis elle visa soigneusement et relâcha le plastique
qui vint frapper de plein fouet la protubérance de chair.
Marlyse sursauta comme si on l'avait branchée sur une prise de courant. Elle cria sans discontinuer, son cri partiellement absorbée par le sexe de la directrice. Le clitoris était blanc comme un cierge; puis le sang revenait et il devint rouge écarlate. Il était en érection comme un pénis miniature. Marlyse se força à lécher la vulve offerte aussi vite qu'elle le pût. Elle
n'avait qu'une idée en tête: en finir le plus rapidement possible, ne plus être frappé, pouvoir se rouler en boule et se retirer du monde, se reposer, reposer, reposer...
"Mmmmmmm!" un nouveau coup sur le clitoris. Marlyse se crispa, attendant la douleur aveuglante qui viendrait. Mais cette fois-ci elle ne vint pas; Marlyse ressentit une chaleur agréable dans l'entrejambes. Au fait, cette chaleur y avait été depuis le début de son "traitement", mais la douleur l'avait toujours masquée. Maintenant, après la douleur inhumaine provoqué par le
clitoris maltraité, cette chaleur se fit à nouveau sentir. Elle redoubla son ardeur à lécher le sexe rasé, mordillant les lèvres, exacerbant le bouton de chair, puis tournant des cercles dans l'ouverture du vagin. La directrice dut
faire un effort surhumain pour rester en place. Cette adolescente était sublime.
Les deux femmes avaient remarqué le changement dans les plaintes de Marlyse et sur un signe de la directrice, Madame Louise prit un appareil de massage, le brancha et le mit prudemment entre les lèvres du sexe de Marlyse. L'effet fut foudroyant: la jeune fille se mit à balancer de hanches, se frottant à la tête de l'appareil.
A travers l'anneau que Marlyse portait dans l'anus Madame Louise vit les parois sensibles du rectum se crisper. Sans bouger l'appareil de massage elle avança la main gauche et d'un mouvement coulant l'enfonça jusqu'au poignet dans le vagin de l'adolescente. Là, du bout des doigts elle sentit le col de l'utérus et se mit à le tripoter, envoyant des ondes de plaisir dans le
bas-ventre de Marlyse.
Au moment où la directrice serrait les cuisses en plein orgasme, manquant d'étouffer la jeune fille, Marlyse fut prise elle aussi d'un terrible orgasme.
Un voile noir passa devant ses yeux... Il va de soi que le reste de l'année scolaire Marlyse fût une éléve-modèle...

- fin de l'épisode -


Copyright: © Charlène O. (juin 2000)


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MessagePosté : dim. 15 oct. 2023, 16:18 
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Comme prévu et toujours avec autorisation de Denise voici le capitaine Marlyse Dufour(diplomée de l'institut Ospif et surnommée code 4) et le WIZARD de la Mac Pyridine company.


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MessagePosté : mer. 18 oct. 2023, 19:28 
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Plus bas vous trouverez un photographie de Pascale Fuji la chargée de communication de la Mac Pyridine company, elle est accompagnée d'un de ses premiers clichés qu'elle avait réalisé lors de son premier reportage à l'occasion de la visite de madame Lachaise à l'institut Ospif dirigé par Denise Ospif actuelle président directeur général de la compagnie.A cette époque Pascale était l'assistante de Marie Louise la secrétaire de Denise.

Collection "La Directrice"

"La maman de Martine."

"Je suis Madame Lachaise, la maman de le petite Martine de deuxième... Je suis venue pour réclamer. Voyez-vous, ma fille est très intelligente ; pourtant ce prof de chimie lui a collé un zéro pour son examen. J'exige que vous interveniez. En tant que directrice de cette école, vous êtes responsable des actes de vos employés..."
J'avais écouté son débit sans broncher, tout comme je n'avais rien dit quand Madame Lachaise était entrée dans mon bureau sans même frapper à la porte.
Je connaissais la situation: la petite Martine était très intelligente, c'est vrai. Mais la petite garce était tout aussi paresseuse qu'intelligente. Elle n'avait pas étudié son examen, persuadé que la mémoire étant l'intelligence des imbéciles...
Prise de panique la petite Martine avait essayé de copier de sa voisine. Le prof de chimie, Madame Aureyc, l'avait avertie une première fois. Mais Martine avait recommencé, persuadée que le professeur n'oserait pas lui prendre sa feuille. Bien entendu, Madame Aureyc n'avait pas hésité, et lui avait donné un zéro, selon le règlement en vigueur dans mon école.
Je n'aimais pas beaucoup Martine Lachaise, petite pimbêche prétentieuse, mais maintenant je savais de qui elle tenait cette mentalité arrogante.
"Alors? J'attends une réponse!" Son arrogance était palpable et je décidais sur le champs de lui donner une leçon. D'habitude je me limite à corriger mes élèves, mais dans ce cas-ci, je trouvais que je devais éduquer aussi la mère d'une de mes élèves. Je me levai et appuyai sur un des boutons de la commande qui se trouvait sur mon bureau. Quinze secondes plus tard, par la porte du fond caché par une tapisserie, ma secrétaire Marie Louise et son assistante Pascale entrèrent dans la pièce. Elles encadrèrent madame Lachaise.
"Madame Lachaise, vous avez eu raison de venir. Nous allons vous soigner. Quand vous sortirez d'ici, vous serez comme neuve..." Puis je m'adressai aux deux autres:
"Bâillonnez Madame et conduisez-la dans ma salle de bains."
Marie louise, qui était ceinture marron de karaté, lui prit les bras derrière le dos d'une prise imparable, tandis que Pascale noua un foulard sur la bouche trop maquillée de la jolie femme blonde. Les yeux de cette dernière s'agrandirent quand elle se rendit compte de la situation. Elle secoua la tête d'un air incrédule, comme si elle rêvait et allait se réveiller d'un moment à l'autre.
On la conduisit dans la pièce adjacente, celle que j'appelais "ma salle de bains". C'était une vaste pièce sans fenêtres, entièrement carrelée, même les murs. D'un côté il y avait un bain, un bidet et une toilette ; de l'autre côté il y avait une table gynécologique que j'avais acheté dans vente publique. Dans le coin le plus éloigné, il y avait un coin-douche qui pouvait être fermé par un rideau en plastique.
"Couchez-la sur le ventre, sur le tapis de bain."
La belle bourgeoise se débattit de plus belle, mais une légère pression de Marie Louise sur les articulations suffit pour la calmer : quelques millimètres en plus et elle lui disloqua l'épaule. Marie Louise lui fit un croc en jambe et la coucha sur le tapis-éponge bleu. Madame Lachaise en perdit ses chaussures italiennes.
Puis Marie Louise lui attacha les mains derrière le dos avec les menottes qui je lui passai.
Entre-temps Pascale Fugi , l’assistante asiatique de Marie Louise avait ajusté la caméra vidéo sur la femme couchée. Le voyant rouge indiquait que toute la scène était enregistrée.
"Nous allons vous soigner, vous purifier de toutes ses vilaines pensées que vous avez." lui dis-je à voix basse. "Et pour que personne n'oublie cette séance mémorable, mon assistante va tout filmer. Je vous ferai remettre une copie de la cassette par Martine..."
La femme se débattit de plus belle, mais Marie Louise s'assit carrément sur son dos, la clouant au sol comme un papillon.
Je me mis au travail. Je m'accroupis et d'un coup sec je relevais la robe noire jusqu'aux hanches. Comme chaque fois que je traitais une fille ou une femme, je sentis un agréable picotement entre mes jambes. Je souris à l'idée qu'après ce "traitement" je devrai sûrement changer de culotte...
Je m'adressai à Pascale :
"Mademoiselle, voulez-vous faire un travelling et filmer depuis le visage de Madame jusqu'à son postérieur ? Là vous pouvez bloquer la caméra, car c'est à cet endroit que le traitement aura lieu."
Consciencieusement Pascale se mit au travail, filmant avec plaisir les yeux horrifiés de la maman de Martine...
En-dessous de sa robe elle portait un panty noir et à travers le fin Nylon on apercevait une mignonne petite culotte blanche, garnie de dentelle.
Je pris l'élastique du panty à deux mains et le descendit comme on pèle une anguille, jusqu'aux genoux. La bourgeoise se mit à gémir et ferma les yeux.
Le picotement entre mes jambes se fit plus pressant. J'aspirais un bon coup pour résister à la tentation de mettre ma main sur mon sexe et de me caresser sur place. Je me concentrais sur mon travail.
Avec lenteur calculée je lui descendis le slip blanc jusqu'à mi-cuisses, dévoilant un superbe fessier où les premiers rayons de soleil de l'été avaient déjà dessiné la marque blanche du bikini. Spasmodiquement les puissants muscles des fesses se contractaient, puis se relâchaient.
"Mademoiselle, voulez-vous faire un close-up de l'entrejambes de Madame ? N'oubliez pas non plus de filmer la jolie culotte, qu'on puisse bien voir comment elle en a joliment garni le fond à la crème au beurre..." La madame en question serra violemment les cuisses.
"Marie Louise, passez-moi l'écarteur je vous prie."
L'écarteur était une caissette en bois, de la taille d'une boîte à chaussures. J'y rangeais quelques godemichets. Après un court mais inégal combat, la caissette fût placée entre les genoux de la femme, entre le panty retroussé et la culotte blanche enroulée, maintenant les cuisses écartées. De cette façon nous avions une magnifique vue sur l'entrejambes de la jeune femme. J'enfilais de fins gants chirurgicaux.
"Mademoiselle, pouvez-vous filmer le sexe de Madame ? Que l'on voit bien combien les lèvres sont gonflées, surtout qu'elles sont rasées de près." Je passai une main entre les cuisses écartées. Pas un poil...
"Notez que Madame la Salope s'est même entièrement rasée le pubis... Bon, maintenant je vais délicatement ouvrir le sexe de Madame, que vous puissiez filmer l'entrée de son vagin..."
Avec le pouce et l'index de la main gauche j'écarta les lèvres glabres, exposant la chair ruisselante. Je serais mes cuisses comme si c'était mon sexe qui était exposé à la caméra, puis je pénétrai ce vagin de deux doigts.
Je ne rencontrai aucune résistance : malgré que la maman de Martine serait ses cuisses de toutes ses forces sur l'écarteur, ses muqueuses intimes étaient réceptives. Encore une femelle trahie par son intimité...
Quand je ressortis mes doigts, ils étaient gluants des sécrétions intimes de Madame Lachaise. Pascale filmait tout avec l'application d'une camerawoman professionnelle.
"Madame Lachaise, nous allons commencer votre traitement !" lui dis-je triomphalement. Elle se cabra au mot "commencer", pensant sans doute qu'elle avait déjà tout subi ce qu'elle pouvait subir...
Je lui ouvris les fesses d'une main, pris une bonne dose de vaseline de l'autre, et l'appliquai sur son anus. Elle tenta de bouger, mais le poids de Marie Louise l'en empêchait.
Après avoir tourné quelques fois autour du muscle, je me mis à pousser de plus en plus fort jusqu'à ce que mon médius pénètre le conduit anal. La sensation était exquise : mon doigt était comme pris dans une gangue brûlante qui palpitait rapidement. Je courbais le doigt et me mis à le bouger dans le rectum de la jeune femme, pour mieux dilater le sphincter. Puis un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Elle gémit de plus belle. Ses fesses s'étaient couvertes de chair de poule. Quand j'écartais mes deux doigts enfouis dans son ouverture intime pour y glisser un troisième, un vent s'échappa.
"Voyons Madame Lachaise, vous pourriez essayer de vous retenir. Nous allons remédier à cela en vous donnant un lavement."
Là, la maman de Martine se mit vraiment à gigoter de plus belle, voulant absolument nous communiquer son désaccord.
Je retirais mes doigts et les remplaça par l'embouchure fixée sur le tuyau de l'appareil à lavement. Je le glissais le plus loin possible dans son rectum, suivi du tube de plastique transparent, puis j'ouvris le robinet. Pascale avait rempli le sac de caoutchouc rouge au maximum, ce qui faisait plus de deux litres.
L'eau était froide, comme je l'avais demandé. Comme cela, Madame Lachaise sentirait mieux la progression dans ses intestins.
Dès que l'eau entra par son anus, elle se mit à gémir et bouger son derrière d'une façon hautement comique. Pascale n'en ratait rien avec sa caméra vidéo.
Le niveau dans le sac baissait vite et la jeune femme devait avoir le ventre douloureux. Je fis lever Claudine du dos de Lachaise, puis passai un manche à balai en-dessous des hanches de la femme. A deux nous lui soulevèrent le bassin, permettant ainsi à son ventre de se détendre plus facilement. Elle ressemblait maintenant à une femme enceinte de sept ou huit mois. La douleur se dessina sur son visage. Plus de traces d'arrogance...
Quand le sac fut vide je lui dis :
"Maintenant je vais retirer l'embouchure de votre rectum. Je vous conseille de bien serrer les fesses, car si vous me faites ne fût-ce qu'une goutte sur le tapis, je vous la fait lécher..."
Je retirais le tuyau et l'embouchure dont le bout était légèrement souillé. La femme n'arrêtait pas de gémir, le ventre distendu comme un amateur de bière.
A deux nous l'aidâmes à se lever et se diriger vers la toilette dans le fond de la pièce. Au moment où elle allait s'asseoir j'interrompis son mouvement :
"Stop ! Encore un petit instant et vous pourrez vous vider à votr'aise." et d'un geste preste je lui remis son slip de dentelle blanche en place, suivi du panty noir.
Ses yeux s'agrandirent quand elle comprit enfin ce que venais de faire. Mais déjà Marie Louise et moi la déposions sur la toilette. Tandis que Marie Louise lui poussait les épaules en arrière contre la lunette levée, je lui maintenais les genoux ouverts afin de permettre à Pascale de bien filmer la scène.
Madame Lachaise secouait la tête avec véhémence, des larmes faisant couler son maquillage. Puis nous entendîmes un vent, suivi d'un bruit humide. Elle ouvrit les yeux en grand quand elle sentit que ses intestins avaient commencé à rejeter l'eau et que sa culotte de dentelle et son panty faisaient écran, maintenant le liquide maintenant chaud entre ses cuisses.
Une nouvelle crampe fut suivie d'un nouveau jet, inondant sa vulve ; une traînée humide apparut sur le devant du panty noir. Puis on entendit couler l'eau dans la toilette, la culotte ayant dépassé sa capacité. Plusieurs minutes passèrent, avec une crampe toutes les trente secondes. Nous attendions la scène finale.
Enfin l'expression horrifiée atteignit son apogée quand le contenu plus ou moins solide de ses intestins fut aussi éjecté et se fraya un passage entre ses cuisses. La masse brûlante déforma le panty noir. Madame Lachaise se battit pour se lever, pour ne plus sentir ce contact ignoble entre ses jambes, mais nous la tenions solidement.
Puis, voyant que cette souillon avait totalement vidé ses intestins, je lui permis de se mettre debout. Le fond du panty pendant lamentablement à mi-cuisses. Je lui souris et au même instant je lui plaquais ma main gantée entre les cuisses et me mis à masser la masse chaude, la forçant entre les lèvres de son sexe, dans l'ouverture de son vagin, et sur son bas-ventre. Elle se mit à uriner, en proie à une crise d'hystérie. L'urine se mélangeait à la masse nauséabonde et coulait le long de ses jambes, traçant des lignes gluantes sur le panty noir.
Avec Marie Louise je mis la jeune femme sur une grande feuille de plastique et nous la soulevâmes jusqu'à la douche. Là sa robe et son soutien-gorge furent enlevés. Madame Lachaise avait une triste mine, nue jusqu'à la ceinture, et pour le reste, habillée du panty noir déformé de tous les côtés par cette masse gluante.
Ses mains furent attachées à une chaîne qui descendait du plafond. Marie Louise prit la lance d'arrosage et rinça l'entrejambe de la jeune femme à grands jets. D'abord la masse fut diluée et rincée.
Ensuite, après avoir enlevé le panty et le slip de dentelle, il a fallu beaucoup d'eau avant que nous puissions enfin admirer le sexe rasé de la maman de Martine.
Quand Madame Lachaise fût enfin propre, nous avons achevé notre besogne en lui rinçant les intestins plusieurs fois : pendant Marie Louise et moi la tenions, Pascale insérait l'embout du tuyau d'arrosage dans son anus, puis ouvrait l'arrivée d'eau. Le ventre se distendait à vue d'œil. Ensuite Pascale retira brutalement le tuyau, permettant à l'eau de s'échapper. Quand l'eau qui en sortait devint aussi claire que celle qui y entrait, nous avons conclu que Madame Lachaise était enfin propre comme un sou neuf.
Depuis ce jour la petite Martine a toujours fait de bons examens, sa maman veillant consciencieusement à ce qu'elle étudie bien sa matière...

- fin de l'épisode -

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Denise notre présidente à la Mac Pyridine compagnie vient de rendre visite à Huguette pour l’assurer de sa confiance au poste de responsable médicale, lors de cette rencontre Denise lui a aussi fait part de se décision de la confirmer comme Chief Executive Officer.
C’est pour cette raisons que deux mois auparavant Denise avait suggéré à Huguette de s’entourer de deux adjointes pour la soulager de certaines taches médicales. Huguette avait alors nommée première adjointe Jennifer Choquet, une belle promotion interne.
Comme seconde adjointe Huguette avait recruté Candice Cayadine qui avait de très bonnes références, un jour pourtant, Huguette s’était aperçue que Candice ne savait pas se servir d’un Bardex (On peut le voir sur le cliché ci-dessous), elle avait rentré les deux ballons dans le rectum d’un candidat à la féminisation venu de notre antenne de Panama. Candice avait présenté de faux diplômes, elle fut envoyée sur le Belle Isle, le navire de Denise, où elle est encore aujourd’hui sévèrement punie. Denise était également venue dire à Huguette qu’après la punition Candice pourrait être réintégrer, elle avait compris.
Denise a de plus demandé à Huguette d’accélérer la formation des nouvelles équipes, la famille Doudoune faisant de plus en plus pression pour imposer son trafic de chocolat par l’intermédiaire de nos navires et de nos poissonneries, il va nous falloir du personnel solide et non intimidable.


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Modifié en dernier par MacPyridine le mar. 24 oct. 2023, 07:30, modifié 1 fois.

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Paul Louis Chouvert et sa soeur Cunégonde, les malfaisants, résponsables marketing de la famille Doudoune. Ils n'auront pas la flotte et les poissonneries Mac Pyridine.Petite bite!

Ceci est un délire provoqué par le sevrage alcoolique.


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MessagePosté : mar. 24 oct. 2023, 16:13 
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On peut suivre à la trace les filiales Doudoune Invest!
Eh oui! Les malfaisants existent.
Les loisirs de Philéas en terme de recherche sont à prendre avec des pincettes il est alcoolique et en perdition... Nous ne savons quoi en faire, et pourtant!
Denise
Nb:Une nouvelle guerre s'annonce,Arthur Doudoune, le belge capable de rentrer sur les serveurs des multi-nationales est programmé pour un lavement avec huguette Mac Pyridine .

Kaspersky laissait passer? Bit défender nouveau servant de Orange vous dit plein de ....parasites et interdit l'accès.Bises. Je ne doute pas que vous savez nettoyer.


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MessagePosté : mar. 05 déc. 2023, 15:50 
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Voici un épisode de la vie de Stéphanie Rincard aujourd'hui capitaine de L' ALEUTIAN BALLAD de la Mac Pyridinne Company et de trois autres petites salopes.
Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
par Charlene O.
Episode 6: "Quatre petites salopes."
Elles étaient quatre à avoir triché pendant leur examen de français. Un cas grave comme celui-ci relevait de la direction, je les avais donc convoquées dans mon bureau.
Elles étaient toutes le dos au mur !
Stéphanie était la plus délurée, une vraie "grande gueule", aussi m'adressai-je à elle : si je la faisais obéir, les autres suivraient docilement.
"Nom - prénom - classe..?"
" Rincard Stéphanie, 2ème C... Madame la directrice" répondit-elle en évitant mon regard. La formation des personnels à l’institut comporte trois années et nous avons quatre sections qui correspondent plus ou moins à des groupes de niveaux. Je fis quelques pas en arrière, pour mieux regarder ces quatre petites salopes que j'allais devoir sévèrement réprimander.
Les deux profs - le titulaire de leur classe et le prof de français - m'observaient.
Je respirais un bon coup puis passais à l'action :
"Vous vous êtes comportées comme des gamines. Je vais donc vous traiter comme des gamines. Mademoiselle Rincard vous aurez dix coups de cravache. Baissez votre culotte et levez votre jupe ! "
Les yeux de la jeune femme grandirent, sa bouche s'ouvrit sur une question muette et elle devint rouge comme une tomate, mais elle ne bougea pas.
J'attendis encore quelques secondes, puis lui lançai :
"J'attends."
"Euh, non, Madame. Pas question. Je ne ferai pas ça, on n'est plus au Moyen Age. Vous ne pouvez pas exiger une chose pareille."
Elle me regarda droit dans les yeux, et elle continua :
"Si je porte plainte, j'en suis sûre. Vous serez suspendue comme directrice. Vous êtes flippée ou quoi ?"
Vous ne porterez pas plainte et vous savez pourquoi !
Et elle fit mine de sortir de mon bureau.

Les deux profs se mirent devant la porte, empêchant la jeune femme de sortir.
Il fallait régler cette affaire vite et bien, sinon je risquais de perdre mon emprise sur ces élèves. Je décidai alors de remplacer les coups de cravache par une punition bien plus exemplaire, qui en plus lui ferait perdre la face vis-à-vis de ses camarades de classe.
Je lui pris les poignets et les força derrière son dos. Elle se débattit mais une paire de gifles la calma. Je l'entraînai dans la pièce adjacente, laissant la porte ouverte : je voulais que les trois autres petites idiotes entendent la correction que j'allais infliger à leur 'chef'.
La pièce était ma salle de bains privée. Tant le sol que les murs étaient tapissés d'un fin carrelage blanc. Au milieu trônait une table médicale que j'avais pu acheter à bon prix lors d'une vente publique. En quelques mouvements j'avais attaché les mains de Stéphanie sur le dos et l'avais couchée sur la table, immobilisant ses hanches avec une large courroie de cuir prévue à cet effet.
Son derrière était au bord de la table et ses jambes touchaient à peine le sol.
Elle se mit à me supplier de la laisser aller, qu'elle ne dirait rien, que tout ce qu'elle venait de dire n'était que pour me faire peur, qu'elle serait dorénavant d'une conduite exemplaire...
Je la laissais dire: les trois autres, dans la pièce à côté devaient être vertes de trouille.
Une deuxième courroie passait sur ses seins qu'on devinait sous le cardigan gris. Je serais fortement, lui comprimant la poitrine. Elle se tut, pâle de peur, sentant que c'était sérieux.
Puis je pris place devant elle, insinua mes mains en dessous de sa jupe plissée et d'un mouvement preste j’agrippai l'élastique de sa culotte. Quand je me mis à tirer lentement sur le sous-vêtement, elle se mordit les lèvres pour ne pas hurler.
Je fis glisser la culotte de coton blanc le long de ses jambes, puis la lui enlevai.
J'étirais le slip entre mes mains et regardais ostensiblement le fond, puis lui présentai l'entrejambe où une ligne crémeuse légèrement jaunâtre dessinait le négatif de sa vulve. En baissant la voix pour que les autres ne puissent entendre, je lui dis :
"Tu vois, tu n'es qu'une petite salope qui garnit ses fonds de culotte de crème et de pipi. Qu'en dirais-tu si je montrais ceci à tes copines, dis, à toutes ces petites idiotes qui ont l'air de t'admirer ? Je crois bien que tout le monde se moquerait de toi, tu ne penses pas ? Je sais très bien que dans leurs culotte on trouverait le même genre de peintures, mais que veux-tu, c'est ta culotte qui circulerait, n'est-ce pas ?"
Je vis à son regard je j'avais misé juste - elle se voyait déjà la risée de toutes ses camarades...
J'en profitais qu'elle était encore sous le choc pour lui saisir la jambe gauche, la mettre sur le support pour le genou et l'y attacher avec une courroie de cuir. Puis fermement j'agrippais l'autre jambe et la plaça dans son support, écartant largement les cuisses de la jeune fille.
"Hé, que faites-vous ? Relâchez-moi immédiatement !" s'écria-t-elle en panique.
"Je vais te traiter comme tu le mérites, comme une vraie petite salope !" lui répondis-je. D'un geste d'une lenteur calculée, je lui relevais la jupe, l'enroulant à fur et à mesure, exposant sa vulve où son sexe béant fit une tache rose.
"Vous n'avez pas le droit! " dit-elle à voix basse, de peur que les autres l'entendent.
"Ici j'ai tous les droits, ne l'oublie pas, petite conasse. Tous les droits... Mais je vais d'abord m'occuper de tes copines. Ne bouge pas, je reviens !" fis-je en souriant d'un air menaçant.
Il y avait peu de risques qu'elle bouge, attachée comme elle l'était. Stéphanie ne dit plus rien lorsque je passai dans mon bureau - elle venait de se réaliser avec horreur que n'importe qui qui entrerait dans la pièce la verrait, écartelée comme une grenouille, le sexe béant, sur la table gynécologique qui faisait face à la porte.
Les trois autres étaient immobiles comme des statues.
Je les fis aligner devant trois chaises un peu spéciales qui se trouvaient au fond de la pièce: les pieds étaient fixés au sol et au milieu de leurs sièges on voyait dépasser une verge artificielle gonflable - ce que les Américains appelaient un ' inflatable buttplug'. Les verges n'étaient pas très grandes, environ la taille d'un doigt, car elles étaient destinées à l'anus.
J'allais les immobiliser d'une façon douloureuse et humiliante, pendant que je m'occuperais de leur chef.
"Mesdemoiselles, baissez vos culottes sur vos genoux. En avant ! Je ne le répéterai pas. Sur les genoux !"
Elle se regardèrent puis lentement Pauline, la plus peureuse des trois, alla chercher sa culotte blanche sous sa jupe plissée grise et la descendit jusqu'à ce qu'elle soit à la hauteur de ses genoux. A regret les deux autres l'imitèrent, anxieuses de ce qui allait suivre.
"Relevez vos jupes, jusqu'à la taille !"
Après une hésitation ce fut à nouveau Pauline qui obéit la première, dévoilant la touffe claire de son sexe. Quinze secondes plus tard nous avions devant nous trois étudiantes qui nous montraient leur pubis touffus, c'était du plus bel effet!
"Maintenant mesdemoiselles, vous allez vous asseoir, mais, comme vous l'avez sûrement déjà deviné, en visant bien... Les verges sont destinées à votre orifice anal..."
Elles se retournèrent pour regarder les verges de caoutchouc qui se trouvaient au beau milieu de leurs chaises. Visiblement, elles hésitaient...
"Nous pouvons toujours vous donner un coup de main, si vous préférez..." Le ton devait être menaçant à souhait parce qu'elles obéirent et baissèrent leur postérieur en direction du phallus en érection.
"Allons, mesdemoiselles, pas de petites manières, je vous prie ! Vous aviez le culot de tricher à l'examen, alors portez-en les conséquences ! Et puis, ces verges ne sont vraiment pas très grandes, et en plus, elles ont été lubrifiées..."
Je m'avançai vers Pauline, lui saisit les hanches, puis la forçai à s'abaisser.
Je passai une main derrière elle et la guida jusqu'à ce que son petit trou se trouve juste au-dessus de la verge. En appuyant sur ses hanches je la fis asseoir.
Avec quelques "ouie !" et quelques "aie !" elles finirent toutes les trois par s'empaler sur leurs tubes de caoutchouc.
Alors je passai derrière elles et gonfla les verges avec les poires de caoutchouc prévues à cet effet.
Elles n'avaient pas encore connu cela, à voir leur réaction s. Je pompais les phallus au maximum, leur causant un inconfort certain : tant leurs rectums que leur anus étaient distendus et elles devaient se tenir bien droites pour ne pas augmenter la douleur. Elles gémirent. La partie des verges qui se trouvait dans leur colon avait doublé de volume, rendant impossible de les retirer,
sous peine de se déchirer le muscle du sphincter.
"Voilà de quoi vous tenir en place sans menottes !" Les deux profs avaient l'air d'apprécier ; Madame Leduc avait mis une main dans son pantalon et s'agitait discrètement - j'ai su par après qu'il y avait une ouverture dans sa poche, lui permettant d'atteindre son sexe - tandis que sa collègue ne valait pas mieux : ses yeux lui sortaient de la tête et elle se frottait les jambes
l'une contre l'autre en regardant les jeunes sottes empalées. Je dois avouer que moi aussi je sentais une chaleur moite entre mes cuisses, mais comme directrice je pouvais difficilement me permettre de me laisser aller. Je me promis de me rattraper plus tard.
Pour finir je mis en marche les vibrateurs de ces phallus. Nouveaux gémissements. Il faut dire qu'un phallus vibrant, gonflé au maximum, dans l'anus, cela vous donne l'impression de vous trouver à la toilette pour une vidange des intestins. Quand alors on se trouve en public comme c'était le cas ici, c'est plutôt désagréable...
"Maintenant je vais m'occuper de votre chef. Estimez-vous heureuse de votre traitement mesdemoiselles, votre amie va souffrir bien plus que vous !"
Sur ces bonnes paroles, proférées bien haut pour que Stéphanie m'entende, je les laissai à leurs tourments ...
Stéphanie m'attendait sagement, les yeux fermés, les cuisses largement écartées.
"A toi maintenant !" Je pris un tabouret et m'installai entre ses jambes. Elle rougit violemment.
Les lèvres de son sexe était légèrement ouvertes. Avec mes deux pouces je les ouvris largement, exposant son petit bouton de chair si sensible. Puis je pris l'appareil de massage et le branchai, ce qui fit un léger ronronnement.
Stéphanie sursauta et ouvrit de grands yeux, mais ne dit rien. L'appareil ressemblait à une mini-foreuse électrique où la mèche aurait été remplacée par une espèce de bouton en caoutchouc rouge-orange, de la taille d'une noix. On l'employait pour soulager les courbatures, les douleurs lombaires etc. Mais j'avais trouvé un autre emploi, où cet appareil s'avérait tout aussi efficace...
Soigneusement je m'installai droit devant la vulve béante et commença mon travail. Je fis circuler la tête vibrante le long de ses grandes lèvres, les effleurant à peine, de haut en bas, puis de bas en haut et ainsi de suite.
La crispation de ses muscles disparut très vite - je dois dire que cet appareil est une petite merveille, je m'en sers régulièrement moi-même - et sa respiration s'accéléra. Elle referma les yeux. Ses lèvres étaient pincées.
Doucement je continuais mon petit jeu, légère comme un papillon. Les lèvres de son sexe s'écartèrent comme une fleur qui s'ouvre et je pouvais voir le rose nacré de son vagin.
Quand je me mis à donner de légers petit coups rythmés avec le bout vibrant, Stéphanie se mit à haleter.
"Arrêtez ! Vous êtes une... une... euh..." Elle ne trouvait plus ses mots.
Elle ne serait pas long à atteindre son premier orgasme. Je l'enviais un peu...
Elle se mit à murmurer d'une voix mourante :
"Oh que c'est bon... bordel, c'est génial vot' truc... oh làlà...Super..."
Son bassin ondula frénétiquement contre la tête vibrante, mais au dernier moment je l'empêchais de jouir, de quoi faire augmenter la tension. Puis quand je sentis qu'elle avait atteint le point de non-retour, je dirigeai l'appareil vers son anus. Cela devait lui déplaire d'être privée d'orgasme car elle gémit de dépit :
"Siouplaît, madame... ne me faites pas souffrir... je... j'y suis presque... s'il vous plaît... ne vous arrêtez pas !"
La tête de l'appareil disparaissait maintenant entièrement dans son anus, preuve qu'elle était parfaitement relaxée. Les vibrations de l'appareil irradiaient dans son ventre, la maintenant dans un état de pré-orgasme.
Après quelques instants qui devaient lui sembler une éternité, je sortais l'embout de son petit trou et l'appliqua sur sa fente, là où le clitoris pointait d'entre les lèvres. Ce fut comme si dix mille volts passaient dans son sexe. Son corps se tendit en un arc, retenu par les courroies.
Heureusement qu'elles étaient solides !
Stéphanie se mit à jouir, la bouche grande ouverte, avide d'air.
C'est alors que sa punition commença.
"Suffit... ça suffit... arrêtez Madame... faut pas continuer... j’ai mal, c'est trop sensible..."
Mais je continuais quand même... Et bientôt elle se mit à hurler. La tête vibrante cherchait le clitoris ultrasensible, gorgé de sang. La douleur devait être horrible, l'empêchant de respirer. Son corps gigotait pour échapper aux vibrations lancinantes, mais les courroies l'empêchèrent de fuir. De la bave coulait de sa bouche et je vis ses yeux rouler dans leurs orbites. Je me rendis compte que ma culotte devait être trempée. Je dus faire un effort surhumain pour continuer mon travail et ne pas mettre l'engin entre mes jambes, ce qui m'aurait procuré un splendide orgasme dans la minute.
Très vite Stéphanie atteint son deuxième orgasme, les yeux hors de la tête, tremblant de tous ses membres. Elle ne savait plus parler, ne proférant que des sons inarticulés. Les trois autres élèves, assises sur leurs verges gonflables dans mon bureau, devaient être grises de peur...
Mais je n'arrêtais toujours pas de la stimuler : de légers petits attouchements sur son clitoris la rendaient à moitié folle. Des sécrétions s'écoulaient de son vagin et laissèrent une trace de bave le long du sillon entre ses fesses.
Le sphincter de son anus s'ouvrit et se referma spasmodiquement, le muscle circulaire sortant obscènement de son corps comme une bouche qui veut embrasser, puis se rétracta à nouveau.
Je vis les muscles de ses jambes tendus comme des cordes à violon et je sus que bientôt le troisième orgasme se déclencherait. Ce serait le dernier, autrement je pourrais la tuer.
Effectivement, elle se convulsa, puis resta immobile pendant trois ou quatre secondes. J'appliquais maintenant fermement la tête vibrante sur son clitoris.
Un jet d'urine, à l'horizontale, signala le début de l'orgasme. J'avais prévu cela et me trouvais hors de la trajectoire. Puis, comme des spasmes rythmés, d'autres jets suivirent. J'attendis que sa vessie soit vide, puis éloigna enfin l'embout vibrant de son sexe et débrancha l'appareil.
Durant plusieurs secondes encore, son corps continua à être secoué de spasmes. Ses intestins devaient être vides, sinon leur contenu aurait aussi abouti sur les carrelages de ma salle de bains.
Lentement elle reprit ses esprits, les traits tirés et les yeux cernés de mauve comme après une nuit de fête, les yeux à moitié fermés.
"Allez, ta punition est terminée. Sauf que je vais te mettre une couche-culotte, car pendant au moins quarante-huit heures tu seras incontinente suite aux stimulations que ton sexe a subi : pour se défendre, ton corps à "déconnecté" les terminaisons nerveuses de ton bas-ventre, tu ne te rendras donc pas compte que ta vessie ou ton rectum sont pleins..."
Elle me regarda, l'horreur dans les yeux. Je terminais l'aspect pédagogique :
"La prochaine fois que tu voudras tricher, et que tu voudras y entraîner tes copines, tu penseras au traitement qui t'attends !"
Elle cria de douleur quand je lui essuyais la vulve, tant les muqueuses étaient encore sensibles.
Ensuite je lui mis une couche-culotte pour adultes et la fixa autour de ses hanches avec les bandes autocollantes. Pour plus de sûreté une culotte de plastique vint recouvrir la couche-culotte.
Puis je défis ses liens et l'aida à descendre de la table. Elle manqua de tomber, encore complètement sonnée. Elle s'appuya à moi et marcha lentement comme un vieillard, les jambes largement ouvertes.
C'est comme cela que ses trois amies la virent arriver dans le bureau.
Elles avaient effectivement une mine grise. Les gémissements et les plaintes de leur chef les avait profondément perturbées.
Je débloqua les valves des verges gonflables, leur permettant de se lever.
Toutes les trois laissèrent échapper des vents, l'anus distendu, la sensation de vibration toujours présente. Leurs sphincters auraient besoin de plusieurs heures pour se refermer totalement, aussi leur donnai-je une mini-couche imperméable pour incontinents qu'elles collèrent à l'intérieur de leurs culottes. Elles aussi marchèrent les jambes écartées...
Puis je les congédiées toutes les quatre, sûre qu'elles ne recommenceraient pas de sitôt...

- fin de l'épisode -
Copyright: © Charlène O. (septembre 2000)


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Modifié en dernier par MacPyridine le sam. 09 déc. 2023, 17:10, modifié 1 fois.

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MessagePosté : mer. 06 déc. 2023, 18:04 
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Stéphanie Rincard aujourd'hui capitaine de L' ALEUTIAN BALLAD de la Mac Pyridinne Company à Homer Alaska.


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MessagePosté : dim. 10 déc. 2023, 12:13 
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Marie Leduc et son nouveau bateau le CORNELIA.
Nous devrons bientôt faire un point sur le nouvel organigramme naissant de la compagnie pour mieux assurer son avenir.
Tous les postes important sont pourvus à Homer, nous allons passer à notre antenne de Colon au Panama.


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MessagePosté : lun. 11 déc. 2023, 19:46 
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ORGANIGRAMME DE LA MAC PYRIDINE COMPANY PARTIE-1
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MessagePosté : jeu. 14 déc. 2023, 16:58 
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Comme elle est dans l’organigramme,
Nous devons vous présenter ici madame Charlotte Ghélains devenue directrice de l’institut après la nomination de Denise au sommet de la Mac Pyridine company, Comme vous allez le voir Denise appréciait beaucoup la prof de mathématiques et ses fantasmes Vikings.
Brigitte Mac pyridine est également sans présentation et figure pourtant dans l’organigramme, son histoire est des plus compliquée mais il faudra la confesser un jour.
Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
par Charlene O.

"Le traitement de Madame Ghélains."
La table pour examens médicaux ne sert pas seulement aux les élèves de l'Institut Ospif, mais aussi aux autres femmes qui y vivent.
Ce matin c'est Mme Charlotte Ghélains qui en a eu l'usage.
La Directrice avait remarqué que la jeune prof de maths était tendue les derniers jours. Elle l'invita dans son bureau, pour la convaincre de se laisser examiner:
"Je ne suis pas médecin, mais mon diplôme d'infirmière me permet quand même de déceler de nombreuses anomalies... Alors je vous invite à vous coucher sur la table, et de ne plus penser à rien..."
Après une légère hésitation - les yeux de la Directrice laissaient entrevoir bien plus qu'une simple inquiétude collégiale - Mme Ghélains se leva et suivit la Directrice vers la pièce annexe où se trouvait la table d'examen.
Elle s'assit sur le bord de la table, puis leva ses jambes et s'allongea sur le plastique noir.
"Fermez les yeux, relaxez-vous..." la Directrice susurra d'une voix insistante. "Respirez à fond... expirez lentement par la bouche... Remplissez vos poumons jusqu'au plus profond de leurs alvéoles... Ne pensez plus qu'à votre respiration... Ecoutez son rythme..."
La Directrice lui souleva un bras. Il retomba comme le bras d'une morte. Elle refit la même chose avec son pied, obtenant le même résultat : Mme Ghélains était détendue et respirait d'une façon régulière, proche du sommeil.
"Maintenant je vais vous aider à replier vos genoux contre votre poitrine, vous allez mettez vos bras autour de vos jambes pour les maintenir dans cette position. Continuez à vous concentrer sur votre respiration. Très bien..."
La Directrice lui releva la jambe droite, pliant le genou jusqu'à ce qu'il touche presque sa poitrine. Puis elle prit la main de sa patiente et la mit autour du genou replié, maintenant la jambe dans cette position.
La robe avait glissé, dévoilant la chair blanche au-dessus du bas, et la culotte couleur saumon bordée d'une fine dentelle aux élastiques des jambes.
Une légère roseur colorait les joues de Mme Ghélains, mais elle réussit à maintenir le même rythme respiratoire, les yeux clos. Un délicieux picotement familier s'était installé dans son ventre. Elle se sentit un peu flotter : la table était confortable, la pièce était agréablement chauffée, la voix de la Directrice était douce et persuasive ; elle continuait à se concentrer sur sa respiration et sentit avec un secret plaisir que la Directrice lui relevait maintenant l'autre jambe. Ses joues devinrent encore plus chaudes quand elle se rendit compte que la Directrice devait avoir son visage au-dessus de son entrejambe. Mme Ghélains espérait que son émoi n'avait pas encore eu le temps de mouiller visiblement le fond de sa culotte...
La Directrice aussi sentit son sexe se gonfler. Elle contracta ses muscles intimes avec délice, comme chaque fois qu'elle était en présence d'une proie appétissante. Mais elle devait jouer son rôle jusqu'au bout.
D'un geste qu'on aurait pu qualifier de professionnel, elle agrippa l'élastique de la culotte, la tira le long des fesses, puis la fit glisser jusqu'aux genoux de Mme Ghélains.
Celle-ci se mit à respirer bruyamment, mais ne fit rien pour empêcher la Directrice de continuer.
Avant même de regarder le sexe maintenant à nu, elle passa une large lanière de cuir dans le creux des genoux de Mme, puis en dessous de la table, où elle attacha la boucle. Elle lui mit les bras en arrière le long de sa tête et lui murmura à l'oreille :"Comme cela vous pouvez vous imaginer que vous êtes entièrement en mon pouvoir ; cela vous innocente et vous permets de mieux vous relaxer: vous n'êtes aucunement coupable de ce que vous ressentez..."
La Directrice lui attacha les poignets à des lanières qui venaient des coins de la table. Ces lanières lui permettaient de bouger ses mains jusqu'à ses seins, mais pas plus bas. De cette façon Mme pouvait se toucher la poitrine, mais les lanières empêcheraient un mouvement réflexe malencontreux quand la Directrice se mettrait à lui manipuler le sexe.
Mme Ghélains poussa un soupir d'aise et se laissa aller. Le fait d'être immobilisée lui procura un obscur plaisir sexuel. Elle revit un de ses rêves qui revenaient régulièrement, depuis qu’elle était devenue une jeune femme elle se voyait attachée sur une solide table de bois, dans l'antre d'un brigand du moyen-âge ou d'un Viking à la mine rébarbative, entourée d'hommes costauds qui allaient la violer tour à tour. Quelqu'un lui releva sa robe de brocard, puis un autre homme lui arracha brutalement sa culotte, la déchirant...
Mais ces viols n'étaient pas douloureux ; au contraire, ils la faisaient jouir coup après coup. Les hommes, privées de ses cris de douleur et de désespoir, redoublaient d'effort, ce qui augmentait encore son plaisir, et ainsi de suite. Souvent alors elle se réveillait en sueur, la culotte trempée de sécrétions et d'urine : ses orgasmes s'accompagnaient presque toujours de quelques longs jets d'urine, comme si elle éjaculait tout comme ces hommes qui la violaient. Sa mère n'avait rien dit, mais dès la nuit suivant ce premier rêve, elle avait senti en dessous d'elle un protège-matelas en caoutchouc.
Maintenant qu'elle habitait seule dans un petit appartement non loin de l'Institut, il lui arrivait de mettre une couche-culotte pour dormir, afin d'éviter de devoir changer ses draps au milieu de la nuit.
Elle se laissa glisser dans son rêve et attendit la suite.
La Directrice lui inspecta la vulve. D'abord elle écarta délicatement les lèvres qui cachaient l'entrée du vagin. Les sécrétions avaient formé un liquide épais qui lubrifiait le canal vaginal. La Directrice n'eut aucune peine d'y insérer un, puis deux doigts gantés. Les soupirs de Mme Ghélains lui indiquaient qu'elle appréciait le traitement à sa juste valeur : le premier Viking venait de la pénétrer...
Ensuite, les doigts dégoulinants, la Directrice écarta les petites lèvres, découvrant un clitoris déjà gonflé qui vint pointer d'en dessous de son capuchon. Elle se garda bien de le toucher directement - il devait être ultrasensible -, et sût immédiatement de quel traitement Mme Ghélains avait besoin.
"Je vais faire un traitement qui vous remettra d'aplomb ; je vous demande simplement de vous laisser aller, quoi que je fasse - ayez confiance en moi. Avez-vous confiance en moi ?"
"Oui..." la réponse vint dans un souffle, de très loin. Ses traits étaient détendus, souriants même sous les paupières closes. La Directrice sut tout de suite que Mme Ghélains était à son cinéma érotique personnel et s'en réjouit :
cela rendrait son traitement plus aisé et plus efficace.
"C'est bien, c'est très bien... Ne pensez plus à rien, ne vous occupez plus de rien. Laissez faire vos fantasmes..."
La Directrice poussa sur un bouton et quelques secondes plus tard Mme Melville, une des assistantes de la Directrice, apparut. Elle n'eut pas besoin d'explications : en voyant la pose de Mme Ghélains, les genoux repliés et le bas-ventre dénudé, elle sût ce que la Directrice attendait d'elle.
Les deux femmes mirent de longs tabliers de caoutchouc et se munirent de gants de chirurgiens qui montaient jusqu'aux coudes.
La Directrice appliqua un masque à gaz sur le visage de Mme Ghélains. C'était un objet bizarre dans cette salle de bains et sa fonction n'était pas de filtrer l'air, mais de réduire les sens de Mme Ghélains en diminuant sa perception visuelle, son sens olfactif et son ouïe. En la forçant de respirer par le long tuyau de caoutchouc elle aida la jeune femme à se sentir dans un monde étranger, un peu comme un fœtus dans le ventre de sa mère. La jeune femme entendit le battement de son cœur dans masque : le léger bruit de l'artère frontale fut amplifié dans l'étroit espace du masque. Le caoutchouc, transformant les bruits, lui donna l'illusion d'être sous eau - tout comme le fœtus. Le bruit de sa respiration réveilla en elle de très lointains
souvenirs, enfouis depuis longtemps dans son subconscient.

MmeGhélains se sentit bien et relaxa ses muscles. Elle attendait avec impatience le Viking suivant qui allait la violer...
Elle sentit à peine qu'on défit la courroie qui maintenait ses genoux contre sa poitrine. On lui retira sa jupe, puis sa culotte et ses bas Nylon. Pendant que la Directrice lui soulevait le bassin, Mme Melville plaça une serviette imperméable sous son derrière nu.
Mme Ghélains se laissa faire, feignant ne s'apercevoir de rien.
Ses jambes furent ouvertes et placées dans des étriers comme pour un examen gynécologique, ses genoux furent soutenus par des supports spéciaux. Elle se demandait à peine pourquoi on attacha ses genoux et ses chevilles avec des lanières de cuir ou pourquoi on passa une large ceinture sur ses hanches. Elle essaya de bouger et se rendit vaguement compte qu'elle était immobilisée à partir des hanches : elle ne pouvait plus bouger ni son bassin, ni ses cuisses, genoux ou chevilles. La seule chose qu'elle pouvait encore bouger était ses orteils. Mais elle ne s'en fit pas et glissa dans une douce torpeur : la Directrice avait mis quelques gouttes d'un produit légèrement euphorisant dans le filtre du masque à gaz. Les images n'en furent que plus excitantes.
Une drôle de sensation la fit sursauter dans son rêve.
"Ne vous en faites pas, nous allons vous raser, pour mieux vous soigner, cela ne prendra pas longtemps..."
Mme Ghélains s'en fichait que cela dure ou pas: la sensation de la savonnée chaude sur son sexe était très agréable et elle eut un petit rire heureux: un des Vikings lui avait enduit l'entrejambe de mousse de bière et avait sorti son poignard pour lui raser les poils du pubis.
Habilement Mme Melville lui rasa entièrement le pubis, du nombril à l'anus.
Elle travaillait vite et avec délicatesse, prouvant sa longue expérience.
Plusieurs fois les attouchements intimes avaient fait sursauter Mme Ghélains, et quand le blaireau s'arrêta sur l'oeil sombre de l'anus, Mme Ghélains dût se mordre les lèvres pour ne pas crier. Son soupir se termina en halètement et elle gémit de dépit quand Mme Melville retira le blaireau.
La Directrice nota mentalement que sa patiente était aussi sensible de l'anus que du vagin. Il faudrait en tenir compte lors du traitement. Ces sont ces petites choses qui font votre réputation... se dit-elle en souriant en elle-même.
Le sexe glabre au milieu de la chair rose des cuisses écartées ressemblait à une bouche obscène qui aurait les lèvres entrouvertes et qui laisserait échapper un filet de bave.
Discrètement la Directrice se caressa quelques secondes, aussitôt imitée par Mme Melville, qui mit carrément sa main en dessous de son tablier de caoutchouc pour mieux pouvoir se toucher. Puis elles se mirent à l'ouvrage.
Tandis que la Directrice caressait doucement le sexe à l'endroit où elle devinait le clitoris, pour entretenir l'état d'excitation de la jeune femme,
Mme Melville enduisait de vaseline deux verges artificielles de forme spéciale. C'était des "buttplugs" comme disent les Américains: des godemichets faits pour être mis dans l'anus; leur forme conique qui se terminait par un renflement puis par un rétrécissement - ils ressemblaient vaguement à des champignons de bande dessinée - rendait l'insertion aisée, mais il était impossible de l'expulser d'une façon "naturelle", c'est à dire avec les muscles du rectum ou du vagin. Il fallait donc tirer sur le manche pour retirer la verge artificielle du corps. Le coté opposé à la pointe formait une poignée vaguement rectangulaire longue de six à sept centimètres et empêchait l'objet de disparaître entièrement dans le corps ; de cette façon la partie large "scellait" l'orifice. De là le nom "buttplug", littéralement "bouchon à derrière". La personne qui portait un buttplug avait constamment l'impression qu'un de ses orifices était maintenu ouvert. Comme la poignée était plate, on pouvait même porter un buttplug sous des vêtements, sans que personne ne puisse s'en apercevoir. Cela se faisait par exemple quand la patiente avait reçu un lavement et devait se retenir : même si elle "lâchait tout", le buttplug scellait l'anus et rien ne pouvait s'échapper.
Les buttplugs était fabriqués de caoutchouc souple et élastique ; un tuyau relié à une petite poire permettait de les gonfler et une soupape les maintenait dans cette forme.
La Directrice vit avec satisfaction que le sexe de Mme Ghélains s'était encore plus ouvert sous sa caresse. La patiente avait toujours son air béat derrière son masque de verre et la respiration amplifiée par le long tube de caoutchouc était régulière.
Mme Melville lui tendit le premier buttplug et la Directrice le pointa vers l'ouverture du sexe. De la main gauche elle écarta les lèvres, puis enfonça lentement le gros objet dans le vagin. Mme Ghélains gémit de plaisir en sentant le Viking à l'énorme verge la violer.
Quand la Directrice sentit une résistance, elle relâcha les lèvres qui se collèrent autour du manche du buttplug puis actionna la pompe quelques fois.
L'objet de caoutchouc se gonfla et prit la forme du vagin. Le manche grossit aussi, créant une sensation d'étirement dans les parois vaginales. Alors elle poussa l'interrupteur et un léger ronronnement se fit entendre, venant du bas-ventre de Mme Ghélains. Celle-ci soupira à nouveau d'aise, espérant confusément que ces sensations agréables ne finissent jamais.
Ensuite la Directrice enduit soigneusement l'anus de vaseline, puis inséra un doigt dans la gaine brûlante. La pénétration fut saluée d'un nouveau gémissement lascif. Les Vikings semblaient aussi pratiquer la sodomie.
La peau de Mme Ghélains était hérissée de chair de poule, ses nerfs étaient à vif, réceptifs au traitement que la Directrice allait lui faire.
Un deuxième doigt alla rejoindre le premier et la Directrice n'eut aucune peine à les écarter, tant le sphincter était relâché. Elle inséra deux doigts de chaque main et entreprit, lentement mais sûrement, d'ouvrir le muscle anal au maximum, pour pouvoir y glisser le buttplug.
Quand l'ouverture fut suffisante, la Directrice injecta le contenu de deux tubes de Microlax, des mini-laxatifs, dans le rectum puis poussa le buttplug en faisant des mouvement rotatifs.
Le gros objet disparut sans peine dans l'ouverture lubrifiée et fut bientôt absorbé dans le rectum de la jeune femme, laissant uniquement dépasser l'embout rectangulaire qui l'empêchait de s'enfoncer entièrement dans le conduit anal. De l'embout sortait le tuyau relié à la petite pompe, et le fil relié à la pile électrique. Là aussi la Directrice brancha le vibrateur et le mit sur puissance minimum. Elle pompa jusqu'à ce qu'elle sente que le buttplug avait rempli le rectum, puis elle donna encore trois petits coups de pompe, pour créer l'effet désiré. Le sphincter tenta vainement de se refermer mais se heurta au manche, le rectum voulut expulser l'intrus mais sans succès.
Mme Ghélains se sentait délicieusement remplie : tant son sexe que son derrière étaient tendus à la limite de la douleur, comme si deux énormes verges la transperçaient en même temps. Elle tenta en vain de toucher son sexe, les mains retenues par les lanières. La Directrice s'en aperçut et lui ouvrit le chemisier, puis défit le soutien-gorge, libérant deux seins pleins que Mme Ghélains se mit immédiatement à triturer. Sa respiration s'accéléra sensiblement.
La Directrice prit alors la seringue de 100cc que Mme Melville avait apprêtée ; elle contenait une solution physiologique de 0,5 %.
Au lieu d'une aiguille la seringue était terminée par une sonde urétrale : un fin tuyau de plastique transparent, long d'une vingtaine de centimètres.
Ecartant les lèvres vaginales la Directrice découvrit l'entrée de l'urètre et y enfonça la sonde. Mme Ghélains sursauta à cette intrusion intime et plutôt douloureuse mais Mme Melville veillait et augmenta aussitôt le contact entre l'appareil de massage et le clitoris de la jeune femme, la rejetant dans son rêve pré -orgasmique.
Quand la sonde eut presque entièrement disparu dans la vessie, la Directrice appuya sur le piston et vida le contenu, contrôlant de la main gauche le gonflement de la vessie. Quand celle-ci fut tendue et dur à toucher sous la peau du ventre, elle bloqua le piston pour empêcher que le flot s'inverse et que la vessie se vide. En maintenant la vessie pleine la Directrice créa une tension supplémentaire dans le ventre de la jeune femme, tension qui allait s'ajouter aux tensions causées par les buttplugs gonflés.
Les sens de Mme Ghélains étaient concentrés dans son bas-ventre et entre ses cuisses, le reste n'existait plus pour elle. L'un après l'autre de magnifiques mâles aux verges géantes venaient lui rendre hommage. Chaque organe suivant était plus gros que le précédent et menaçait de lui déchirer le vagin ou le rectum, mais chaque fois son corps s'y accommodait et la série recommençait. C'était le délire, c'était son rêve vécu en réalité.
Mme Melville brancha l'appareil de massage et effleura le sexe de la jeune femme, déclenchant comme un tremblement dans le bassin. Mme Ghélains tenta désespérément de se frotter le clitoris contre le bout vibrant, ce qui aurait quasi immédiatement déclenché son orgasme. Mais l'orgasme n'était pas encore au programme. Mme Melville touchait la chair intime par petits coups, pour exciter et agacer la patiente, pendant que la Directrice tira alternativement sur les buttplugs, chaque fois un peu plus loin, étirant les sphincters un peu plus à chaque fois. Quand un des buttplugs pouvait être sorti librement, elle le renfonçait et donnait un ou deux coups de pompe, puis recommençait à tirer dessus.
Après plusieurs étapes les buttplugs étaient devenus énormes. Mme Ghélains avait deux ouvertures grandes comme des soucoupes entre les jambes. L'appareil de massage devait de plus en plus souvent exciter le clitoris de la jeune femme pour lui permettre d'endurer la douleur causée par l'étirement extrême de ses muqueuses intimes. La pression dans sa vessie était devenue intenable, mais la sonde empêchait tout écoulement. Dans son derrière, les Microlax avaient fait leur travail et exigeaient une évacuation rapide et totale. Là, le buttplug veillait à l'étanchéité.
La respiration était rapide et superficielle, comme d'une femme en labeurs.
Les Vikings n'étaient plus que d'énormes verges qui la pistonnaient avec un plaisir sadique. Depuis longtemps Mme Ghélains dansait au bord de l'orgasme, les impulsions soigneusement dosées par les deux femmes. Il était clair que Mme Ghélains ne pourrait plus tenir longtemps.
Le traitement de la Directrice visait a créer une sorte de double accouchement, où la parturiente expulserait de tous ses orifices intimes. Ses fantasmes l'aideraient à se préparer, à supporter la douleur en stimulant la production d'endomorphines.
La longue et soigneuse préparation garantissait un orgasme de longue durée, nécessaire pour compléter le processus d'expulsion.
Quand les buttplugs avaient atteint leurs tailles maximales, la Directrice fit signe à son aide. Celle-ci baissa l'embout vibrant de l'appareil de massage sur le clitoris et contrairement aux fois précédentes, l'y maintient.
L'effet fut immédiat : un cri rauque s'échappa du long tuyau respiratoire et son corps se tendit - on entendit craquer les lanières de cuir sous la terrible pression. La Directrice retira d'un coup les deux buttplugs, forçant une dernière fois les ouvertures au plus grand de leurs diamètres,
tandis que Mme Melville arracha la sonde urétrale d'un coup sec. La sonde fut suivie d'un jet vertical d'urine, inondant le tablier de la Directrice.
Les buttplugs sortis, les ouvertures continuaient à béer grâce à la longue préparation qu'elles avaient subies. La Directrice enfonça la main gauche dans le vagin de Mme Ghélains, la main droite dans son rectum.
Le cri de Mme Ghélains s'était tu par manque d'air ; elle secouait la tête comme une folle. Mme Melville brancha la bouteille d'oxygène sur le tuyau respiratoire, prolongeant l'orgasme de plusieurs secondes. La Directrice malaxait le col de l'utérus comme si c'était une verge, contrôlant par la même occasion les signes précurseurs d'une crampe d'utérus à éviter à tout prix.
Mais la préparation avait été bien faite et l'orgasme se prolongeait sans complications. La main droite de la Directrice s'enfonça jusqu'au coude dans le rectum, déclenchant un violent mouvement intestinal. Elle forma un poing et retira sa main, étirant la muqueuse au passage. L'effet ne se fit pas attendre : Mme Ghélains vida le contenu de ses intestins d'un long trait.
Quand les sphincters revenaient petit à petit vers leurs diamètres normaux, la Directrice retira sa main du vagin et fit signe à Mme Melville de réduire la pression sur le clitoris. Personne n'était capable de déterminer combien d'orgasmes Mme Ghélains avait vécue - ce n'était physiologiquement pas possible qu'il y en ait eu qu'un.
Mme mit encore un bon quart d'heure à retrouver son souffle grâce à l'oxygène dans son tuyau respiratoire. Il lui fallut une après-midi de repos pour se remettre de ses émotions. Après, elle se sentait rajeunie et en pleine forme.
Le seul revers de la médaille fut qu'elle dû porter, tant le jour que la nuit durant plusieurs semaines, des couches-culottes et des culottes de caoutchouc :
elle était momentanément incontinente et ses sphincters devaient petit à petit reprendre leur fonctions initiales.


- fin de l'épisode -
Copyright: © Charlène O. (octobre 2000)


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MessagePosté : ven. 15 déc. 2023, 13:06 
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Une photographie de Madame Melville qui participa comme vu ci-dessus au traitement de Madame Ghélains.
Madame Melleville devenue assistante médicale de la Mac pyridine company en amérique centrale est très appréciée de Philéas, elle est quelquefois invitée à Homer par Denise pour son propre plaisir mais aussi pour s'occuper de la tuyauterie veillissante mais toujours acceuillante de Philéas.


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MessagePosté : dim. 31 déc. 2023, 19:27 
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Seul dans ma retraite de Fritz Creek, je me suis mis cet après-midi à lire un des derniers romans d'Umberto Eco, c'est une année qui commence pour moi de manière dramatique.
Il dit"La peur de mourir donne du souffle aux souvenirs",c'est vrai, mais il dit aussi :
"quand on vit des espérances impossibles, on est déjà un perdant. Quand enfin on s'en rend compte, alors on se laisse aller. Les perdants comme lez autodidactes ont toujours des connaissances plus vastes que les gagnants, pour gagner il faut savoir une seule chose et ne pas perdre son temps à les connaître toutes. Le plaisir de l'érudition est réservé aux perdants. Plus quelqu'un sait de choses, plus elles lui sont allées de travers." J'espère que cela ne va pas mettre un frein à ma joie de vivre alors que je sui seul, ici, à Homer sans mon infirmière préférée et avec les cendres de Anania.


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MessagePosté : sam. 13 janv. 2024, 20:40 
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Toujours seul dans ma retraite de Fritz Creek, je pense que Denise va devoir me trouver un os à rogner :champ: je consomme beaucoup trop de 1888.
Pourtant cet alcool une merveille me disait vrai il y a quelques temps (comme vous pouvez le voir ci dessus), pour gagner inutile de tout savoir, pourtant un minimum serait nécessaire, il serait dommage qu'un enfant de bonne fois puisse s'apercevoir une fois adulte qu'il a été méchamment manipulé...les français méritent mieux que les commités restreints et la mise sous tutelle de l'assemblée nationale par deux nombres.
De la naissance des totalitarismes

Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
Erreur française sur le fascisme
S’il est un préjugé auquel les masses bourgeoises autant qu’ouvrières tiennent, comme elles tiennent aux axiomes fondamentaux de leur existence — un sou est un sou, ne pas se laisser marcher sur les pieds, chacun pour soi et Dieu pour tous, etc. —, c’est bien à ce slogan-là : le fascisme est à droite.

Essayez de prononcer cette phrase en Italie ou en Allemagne, si vous voulez amuser le monde. Mais la politique étrangère ne suppose pas, en France, la connaissance de nos voisins : elle ne suppose que la lecture des journaux. (Bien sûr que sous cette forme, elle est inoffensive, tant qu’elle reste d’usage interne, c’est-à-dire purement électoral. Mais ce n’est pas toujours possible…)

Il faudrait que les Français finissent tout de même par remarquer qu’hors de chez eux, les termes de « gauche » et « droite » ne signifient plus grand-chose, si tant est qu’ils aient jamais signifié les mêmes choses qu’ici. Gauche et droite, en France, c’est laïcisme ou cléricalisme. Cela ne dit pas grand-chose à l’Italien, qui n’a pas la Révolution et le combisme derrière lui ; cela ne dit rien du tout à l’Allemand. (Il n’en va pas de même en Espagne, mais c’est à cause des jésuites.)

L’homme de gauche, en France, croit que fascisme égale droite, parce que l’Huma et le Popu ont intérêt à le lui faire croire. L’homme de droite croit aussi cela, parce qu’on lui a dit que le fascisme le « sauverait du communisme ». (Il aura l’occasion de se détromper, le jour où un État fasciste fera main-basse sur ses capitaux étrangers et sur le tiers de ses revenus, sans parler du travail obligatoire et de la démagogie populiste.) L’homme de gauche est renforcé dans sa croyance par le spectacle des sympathies plus ou moins affichées par la droite — qui se trompe — pour les fascismes étrangers. Le Colonel et son ami Doriot viennent fermer ce cercle vicieux. Trouvera-t-on le moyen d’en sortir ? Finira-t-on par faire comprendre, à gauche et à droite, à quelques-uns, que le stalinisme et le fascisme ne sont pas des pôles contraires (comme l’ancienne gauche et l’ancienne droite), mais deux aspects de plus en plus semblables d’une même folie, l’État totalitaire ?

L’entreprise paraît difficile. Les chances de l’erreur et du mensonge paraissent toujours plus prochaines que celles de la simple vérité. Mais il y va du succès même de la révolution personnaliste. Désespérer de faire comprendre aux Français la vraie nature des régimes étrangers, pour lesquels ils sont prêts à se battre, c’est accepter la guerre civile la plus absurde de l’histoire ; c’est désespérer de la France et de sa mission en Europe ; et ce serait pour nous désespérer de nos positions les plus fondamentales.

Tout nous porte d’ailleurs à croire que les yeux de beaucoup vont s’ouvrir sur la réalité fasciste de l’URSS. Mais le plus difficile reste à faire : éclairer la gauche et la droite sur la nature essentiellement socialiste des fascismes.

Origines socialistes du fascisme
Le cas de l’Italie est des plus clairs. Tout le monde sait que Mussolini vient du syndicalisme, et qu’il fut l’un des chefs du parti socialiste. On sait aussi quelles influences déterminantes exercèrent sur son idéologie les ouvrages de Marx, non moins que ceux de Sorel. Jusqu’au lendemain de la guerre, il était difficile de mettre en doute la sincérité de son attachement à ce que nous nommons la « gauche ».

Mais peut-on se fonder sur ces seuls faits, historiquement indiscutables, pour affirmer, contre le préjugé français, que le fascisme est un mouvement « de gauche » ? Certes non. Car il serait trop facile de répliquer que Mussolini a trahi le socialisme, plutôt qu’il ne l’a continué.

La question véritable n’est pas là. Elle doit se poser dans ces termes : un chef socialiste qui veut exercer le pouvoir peut-il ne pas trahir le socialisme ? Et du moment qu’il le trahit, peut-il faire autre chose que du fascisme ?

Regardons l’Europe d’après-guerre. Lénine fonde un régime marxiste, qui aboutit en quelques années, et selon son propre aveu, au capitalisme d’État. Mussolini fonde un régime antimarxiste, qui est dès le début un capitalisme d’État. Les socialistes scandinaves parviennent légalement au pouvoir, et continuent les traditions bourgeoises-capitalistes, se bornant à y introduire un étatisme assez discret. Les socialistes français les imitent, créent des offices d’État, et « nationalisent » ce qu’ils peuvent. Quant aux socialistes allemands, ils n’avaient eu que le temps d’écraser les spartakistes et les séparatistes — également ennemis de l’État — avant de céder la place aux bourgeois, qui à leur tour…

Est-il possible de tirer quelques conclusions claires d’un tel chaos d’échecs ? Peut-être, — et même d’assez inattendues, aux yeux des socialistes du moins.

Remarquons tout d’abord qu’aucun gouvernement socialiste n’a réussi à instaurer un régime tant soit peu conforme à ses principes ; et cela, quelles que fussent les conditions du pays au début de l’expérience, et quel que fût le degré de sincérité des chefs.

Notons ensuite que ces gouvernements, qu’ils soient parlementaires ou dictatoriaux, ont tous montré en fait la même tendance générale : remettre le soin de gouverner à un État de plus en plus rigoureusement centralisé.

Seul le rythme de l’étatisme n’a pas été partout le même. Dans les démocraties bourgeoises, il est encore freiné et sournoisement saboté par l’opposition, les traditions locales et la « liberté » anarchique des « opinions », c’est-à-dire des groupements d’intérêts. Tandis que dans les dictatures nées d’une révolution de masses, donc d’un état de guerre, l’étatisme a pu — et même dû — devenir du premier coup totalitaire. L’économie et l’opinion totalement étatisées sont en effet les conditions qu’impose toute guerre moderne, civile ou étrangère.

Ainsi les dictatures, décriées par les socialistes, ne sont en fait que le terme fatal de tout socialisme appliqué ou, ce qui revient au même, de tout échec du socialisme en tant que tel. Historiquement (sinon théoriquement) les dictatures sont en avance — on n’ose dire en progrès — sur le socialisme. Elles sont le « dépassement » hégélien, — c’est-à-dire en même temps la négation apparente et la plénitude réelle — de l’effort socialiste.

Le chef fasciste : un homme « de gauche »
Cette fatalité historique, à laquelle cèdent tous les mouvements de masses, se reproduit dans le destin individuel des véritables hommes d’action de la gauche. Qu’on se rappelle Noske, député socialiste, porté par la révolte des marins allemands, en 1918, au poste de gouverneur de Kiel : c’est lui que, par un sûr instinct, le Grand État-Major, qui joue sa dernière carte, fera nommer ministre de la guerre. En quelques semaines, le meneur ouvrier, qui a de la carrure, écrasera la révolte spartakiste. Il n’eût tenu qu’à lui de se faire nommer Führer… Quatre ans plus tard, Mussolini marche sur Rome : lui seul a su mâter ses anciens « camarades ». Puis c’est Hitler qui prend ses meilleures armes au socialisme. Enfin, pour liquider les derniers bolchevistes — avec un peu de retard —, on va chercher Staline…

La France n’a que Doriot à mettre sur ce rang. N’oublions pas tout de même qu’elle a eu Bonaparte, qui lui aussi venait de la « gauche ».

Le national-socialisme est le socialisme total
Le secret de la « réussite » de tous ces hommes est simple. Ils ont compris que le socialisme économique n’était que la moitié d’une doctrine. Ils ont compris qu’on ne peut pas fonder l’État, tel que le rêvent les socialistes, sans étatiser du même coup les forces morales du pays. Ils ont tiré la grande leçon de la guerre : pour réussir à concentrer l’économie entre les mains de l’État, il faut l’appui d’une mystique qui paralyse les éléments d’opposition. C’est la mystique de « l’union sacrée », autrement dit, le nationalisme.

En vérité, les deux termes dont se compose le nom du parti hitlérien n’ont rien d’antinomique. Ils sont exactement complémentaires. Le socialisme est une « nationalisation » de l’économie ; le nationalisme est une « socialisation » du sentiment patriotique. L’un n’est pas possible sans l’autre.

Tout étatisme est condamné à se vouloir franchement totalitaire, sinon c’est l’échec assuré. (Nous sommes en train d’en voir un bel exemple.) Mais pour devenir totalitaire, l’État ne peut se fonder sur des bases purement matérielles. Il lui faut la fameuse « confiance », et une confiance disciplinée, à toute épreuve. Seule une mystique nationaliste la lui donnera.

Ainsi la formule socialiste : tout par l’État, ne peut se réaliser dans l’histoire qu’en devenant la formule fasciste : tout pour l’État.

La fameuse croisade des démocraties socialistes contre les dictatures fascistes ressemble à un de ces combats d’aveugles tels qu’en organisait le Moyen Âge. Combat de malades atteints du même mal : mais les uns n’en sont encore qu’au deuxième degré, les autres déjà au troisième.

Et l’on voudrait nous voir prendre parti ?

L’aboutissement pratique du socialisme — dans un ordre non fédéraliste — ne peut être, n’a jamais été, et ne sera jamais que le fascisme. Si donc il s’agissait de réussir, de réussir n’importe quoi, et d’être « socialistes » sérieusement, nous nous ferions tout de suite fascistes.

Ne fût-ce que pour cette seule raison, nous serons donc fédéralistes.


Si Denise ne me trouve pas bientôt une nouvelle occupation à la compagnie, je pourrais vous parler bientôt du stay-behind qui existe toujours et de l' Europe voulue par les Américains (Elle a de bons serviteurs sur notre continent).


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