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MessagePosté : dim. 02 juil. 2023, 21:02 
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Je ne peux passer sous silence l'état de mon trou du cul après mon stage chez le jésuite du Morbihan.Un vrai golfe avec des iles... non plus de moines je refuse.


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MessagePosté : dim. 02 juil. 2023, 21:02 
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Je désapprouve avec véhémence mon trou du cul en est témoin.


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MessagePosté : sam. 15 juil. 2023, 20:54 
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Lorsque la Mac pyridine compagnie et bien entendu surtout Anania...bon seulement Anania, la patronne c'est la patronne, a decidé d'étendre le commerce du poisson à celui de la grenouille, ma femme a demandé que l'on recherche les origines de ce que l'on nomme grenouilles de bénitiers,spécilalistes des produits aquatiques, grenouilles et bénitiers on voit on comprend, mais que fait une grenouille dans un bénitier? Une bonne nageuse qui depuis les pyrénnées est arrivée à rejoindre l'océan pour violer un coquillage?
Et en cherchant bien on trouve toujours quelqu'un qui a une réponse.LE MONDE EST PLEIN DE FOUS ET DE RESSOURCES.

Ce que le porno tue
Abbé Gaultier de Chaillé
24 janvier 2019
En ce début d’année 2019, certains sites pornographiques partagent, sourire en coin, les mots-clés les plus utilisés sur leurs moteurs de recherche. Ils affichent des statistiques prétendant à la fois banaliser le visionnage de leurs contenus et proposer une typographie des comportements de leurs clients, selon le pays et le sexe. Après l’époque de la libération sexuelle, où la pornographie a trouvé un élan sans précédent, Internet a considérablement modifié le rapport de notre société à la vue d’images pornographiques, faisant passer leur consommation du divertissement transgressif au problème de santé publique dénoncé par les professionnels du domaine.

Le problème n’est pas moral
On a longtemps considéré que regarder du porno était une manière de s’abstraire de la « morale à Papa », d’un rapport « bourgeois » et installé à la sexualité. On a longtemps cru qu’il fallait être une espèce de catho rétrograde et frustré pour s’imposer la discipline arriérée de s’abstenir de faire ce que tout le monde fait. Or, depuis l’avènement massif des sites pornographiques gratuits, la donne a changé. Dramatiquement.

Aujourd’hui, c’est un véritable problème de santé, et même plus un problème moral, qui se pose et s’impose. En juin dernier, le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) avait lancé un appel solennel fortement repris dans les médias. Ces médecins y faisaient valoir notamment les points suivants :

Les adolescents consomment de plus en plus de la pornographie
La pornographie sexualise les enfants et chosifie les femmes
La pornographie offre des images plus crues et une violence croissante
La pornographie déshumanise la sexualité


Il ne s’agit pas là d’une dénonciation de curés ou de grenouilles de bénitiers effarouchées, mais bien d’un appel de médecins de toutes religions et philosophies qui reconnaissent une menace et un danger pour tous. En octobre 2018, le philosophe Martin Steffens publiait L’amour vrai (Editions Salvator), un propos philosophique de dénonciation du danger pornographique. Lui non plus n’argue pas d’un danger moral mais d’une menace philosophique et anthropologique. Son analyse est enrichie de sa vision chrétienne mais non conditionnée par elle. Si l’Eglise condamne comme une évidence ces images et le fait de les voir, c’est avant tout parce qu’elles blessent en profondeur ceux qui en sont complices ou esclaves.

Ce n’est donc pas en se convainquant que c’est mal qu’on lutte contre la pornographie. La culpabilité ne risque que de renforcer le réflexe d’addiction. Il faut bien plus comprendre que la pornographie tue. Elle abîme tout le monde mais avec beaucoup plus de gravité les plus jeunes, victimes d’un véritable attentat à leur pudeur.

Le porno tue l’ado
La pornographie se prétend un divertissement « pour adultes ». Or, les choses faites « pour les adultes » ne sont pas seulement réservées à eux comme une récompense qu’on serait en droit d’atteindre une fois l’épreuve de l’âge passée. Ce qui n’est pas admis pour les plus jeunes ne l’est pas car c’est dangereux pour eux. Ainsi, de la même manière qu’une prise d’alcool ou de drogue peut affecter un jeune cerveau plus gravement qu’un cerveau adulte, de la même manière les images pornographiques ont un impact immense sur la sexualité des jeunes. C’est sans doute un lieu commun, mais il est toujours bon de se rappeler que le front essentiel du combat contre la pornographie se situe là.

Le visionnage de ces images, massif chez les adolescents (de plus en plus jeunes) qui profitent de la coupable naïveté de leurs parents, conduit à détruire leur capacité à fantasmer et leur attente joyeuse de la sexualité. Il génère également de la culpabilité et conduit à asseoir un rapport de domination sur la femme.

Le porno tue le fantasme
Le fantasme est nécessaire à la sexualité. Le fantasme n’est pas une pensée coupable ou un péché par pensée, c’est le lien entre l’imagination et la sexualité, sa pré-vision en quelques sortes. C’est la projection, dès l’enfance et surtout l’adolescence, dans l’idée de la sexualité comme quelque chose de désirable. Tous les humains bâtissent ainsi leur rapport à la sexualité par une idée de ce qu’elle procure ou provoque, entre désirs et peurs. Les fantasmes se construisent en fonction de ce qui est su et ignoré, dans le clair-obscur de l’imagination parfaitement propre à chacun, en fonction de ce qu’il a vécu ou pas.

La pornographie remplace ce clair-obscur confus d’images personnelles par des images violemment glacées, provenant d’idées d’autres personnes et qui en viennent à coloniser l’imaginaire de tous. Toute image vue et toute expérience vécue habite notre inconscient et fait comme partie de nous. De la même manière, les images exposant la sexualité polluent les fantasmes de leurs spectateurs et les dépersonnalisent. Ainsi, alors que l’imaginaire sexuel doit faire partie d’une part secrète de l’intimité de chacun, tous se trouvent violés et uniformisés dans des désirs créés artificiellement et qui nient les aspirations personnelles.

De la même manière que la surconsommation de séries et de vidéos en tout genre pollue la capacité à vivre dans le silence et à savoir s’ennuyer sans s’angoisser, la consommation pornographique engendre chez les adolescents une incapacité à se bâtir un univers intérieur de pensée sur la sexualité, nourri de la beauté que chacun est et de celle qu’il désire.

Le porno tue la liberté
Alors que la pornographie se présente comme une forme d’art libre, elle est une véritable entreprise de l’aliénation.

Il y a d’abord la question de l’addiction, un sujet déjà traité sur Padreblog. Il convient de dire ici quelque chose d’important : il ne faut pas trop rapidement se croire addict, certains croient trop rapidement en être victimes et, de ce fait, éprouvent une grande difficulté à s’en sortir. La consommation de pornographie conduit naturellement à de la culpabilité et elle va provoquer chez beaucoup le sentiment que tout est gâché par là. Ainsi, de nombreux jeunes qui regardent, même occasionnellement, de la pornographie, en viennent à réduire leur vie psychologique et, plus grave, leur vie spirituelle, à cette question-là. Regarder, même relativement souvent, de la pornographie, ne veut pas dire y être addict. Les comportements de personnes dépendantes les conduisent notamment à ne plus penser qu’à l’assouvissement de leur besoin de voir du porno, ce sont des personnes qui auront beaucoup de difficulté à se maîtriser, même dans des contextes publics ou qui n’encouragent pas du tout à ce type de contenus. Regarder du porno est mauvais, certes, mais ça n’est pas le tout de la vie de quelqu’un. Il ne faudrait pas donner une autre victoire au porno en lui faisant l’hommage d’y réduire une vie intérieure.

Une autre entrave à la liberté est le sentiment d’être obligé de faire comme tout le monde. Or non, tout le monde n’a pas déjà regardé de la pornographie, tout le monde n’est pas attiré par ce type d’images, tout le monde n’en a certainement pas besoin. L’idée selon laquelle on serait un lapin de six semaines si on n’avait pas engrangé des heures de visionnage de porno est courant chez de nombreux jeunes qui en conçoivent le sentiment de passer à côté de quelque chose et d’être des naïfs qui seront ridicules au moment d’exercer leur propre sexualité.

Le porno tue l’espérance
Alors que le fantasme bâtit un désir joyeux, la pornographie enferme dans l’angoisse. Beaucoup de jeunes filles sont effrayées à l’idée de devoir s’adonner à certains actes. Étant donné que beaucoup croient apprendre la sexualité en regardant des films pornos, certaines pratiques sexuelles sont à présent considérées comme faisant nécessairement partie de toutes relations sexuelles. Ce sont presque toujours des actes qui ont pour but de procurer du plaisir à l’homme, et les femmes, surtout adolescentes, sont angoissées à l’idée d’être contraintes à s’y adonner. Il est important de le dire et de le redire, les films pornographiques ne sont pas un documentaire sur la vie sexuelle mais bien des créations artificielles qui inventent des pratiques pour exciter les spectateurs. Ainsi, mesdames, si des actes vous sont réclamés alors que vous ne le voulez pas ou que vous vous sentez dégradées, refusez ! La sexualité vraie n’a rien de dégradant ou d’humiliant mais est la belle réalisation dans les corps de ce que les cœurs veulent.

Les hommes ne sont pas en reste en termes d’angoisse, mais ils sont plus marqués par la peur de ne pas être à la hauteur. C’est un problème typiquement masculin et pas seulement dans la sexualité d’ailleurs. Mais il est particulièrement criant en ce domaine où il peut être rarement évacué par la parole. Ainsi tout en faisant les fiers et en donnant l’impression de prendre les questions sexuelles avec légèreté et humour, les jeunes adolescents sont souvent très complexés par la taille de leur sexe ou leur capacité à opérer les gestes qu’ils voient se dérouler dans les films. Messieurs, n’oubliez pas que les acteurs prennent des médicaments, que dans le cinéma une scène peut être coupée et reprise et qu’il existe des effets spéciaux dans tous les genres de cinéma…

Le porno tue la femme
Il faut insister sur ce point. Dans une société qui revendique avec véhémence l’égalité homme/femme, comment peut-on accepter avec autant de complaisance que les porcs qui doivent être « balancés » soient créés de toutes pièces par le visionnage de films pornos ? La pornographie est avant tout une industrie masculine. Et si elle prétend proposer du contenu pour les femmes, c’est uniquement dans le but d’essayer de toucher cette clientèle trop rare qu’est cette moitié de l’humanité. En vérité, la pornographie ne fait que flatter et encourager les plus bas instincts de l’homme et ce depuis le plus jeune âge.

Outre cette perversion des rapports hommes/femmes encouragée par les films, ce sont des centaines de femmes dont la vie et la santé sont gâchées, souvent irrémédiablement, parce qu’elles sont recrutées pour y être actrices. Car ce sont vraies personnes qui se retrouvent humiliées sur les écrans pour le plaisir destructeur de beaucoup et le profit énorme et scandaleux de certains…

Le porno tue l’amour
Il n’y a d’amour qu’entre les personnes. Il est bon de représenter cet amour. La dimension érotique de nombreuses créations artistiques au cours de l’histoire n’a rien de scandaleux, quand elle encourage à contempler la beauté du corps, la beauté de l’union et le désir d’aimer. Mais réduire l’amour aux organes ? Caricaturer l’amour sous la forme de morceaux de chair en contact ?

Alors, oui, la pornographie est un tue l’amour, parce qu’elle est un commerce qui se prétend art, parce qu’elle est un esclavage qui se prétend liberté, parce qu’elle est le reflet d’une société triste qui se prétend joyeuse.

L’amour n’est pas un acte mais un élan, un but à atteindre et non un désir à assouvir comme un besoin. La pornographie ne doit pas être dénoncée en vertu de la morale comme nous le disions plus haut. Ce n’est pas une question de religion ou de religieux. Cependant, le Christ est celui qui, de manière décisive, montre la voie de sortie de toute mentalité pornographique. Contre la laideur : il est beauté. Contre les images fausses : il est pudeur et vérité. Contre la violence : il est douceur. Contre l’emprise sur l’autre : il est chasteté. Enfin, et par-dessus tout cela, contre la culpabilité : il est miséricorde.

C’est bien la miséricorde de Dieu qui est le remède à ce mal qui ronge. Nous aurons beau dire tout ce que nous voulons pour trouver des techniques de libération et pour trouver des moyens d’être lavés de ces images, c’est au final la miséricorde de Dieu qui seule guérit le cœur malade de l’homme. Notre désir d’aimer est blessé, puisons dans le cœur de Dieu l’élan vivifiant d’un amour vrai et beau !

_______________

Addendum :

Même si la prière n’est pas un remède mécanique à la tentation ou une solution magique de libération de l’emprise pornographique, cette prière composée par Martin Steffens et proposée à la fin de son ouvrage peut sans doute être reprise et aider à la consolation et à la guérison :

« Seigneur,

Tu as créé toutes choses en vue du bien, et par amour.

Tu as laissé à chacun le libre usage de ces biens.

S’est immiscé entre tes dons et l’homme à qui ils se destinent Satan qui déforme tout regard.

Aide-nous à retrouver la voie qui mène à ta Création.

Ajuste-nous à elle, afin que nous cessions d’en dévorer les fruits,

Afin d’offrir à ceux qui viendront après nous

Autre chose que les traces de nos vaines orgies.



Seigneur,

Vois où je suis tombé,

Tends vers moi ton regard.

Vois ma misère, mon Dieu,

Que je puisse contempler ta miséricorde.



Seigneur,

J’ai les yeux crevés de ne pas savoir mourir d’amour,

De ne pas tenir au seuil de l’autre.

Je fais fuir mon bonheur de ne pas savoir le recevoir de toi.

J’ai les mains vides d’avoir voulu prendre.

Que ces mains soient, comme les tiennes,

Transpercées,

Afin que ce qu’elles saisissent,

Elle l’abandonnent aussi

Et le laissent vivre

Bien au-delà d’elles-mêmes ?



Seigneur,

Rends-moi chaste. Amen »


Je prefère mon ami Pierre Teilhard de Chardin et son point oméga. Mais le moment n'est pas venu il existe toujours des villages dans lesquels il reste des bancs dans les églises, qu'il reste des églises n'est pas un problème, il faut bien un vagin pour acceuillir un minaret avant qu'il ne ravage pucelles et puceaux, toutes les jeunes pousses de tout genre en tombant sans prévenir.

Le retour des intégristes catholiques qui tous les dimanches voudront, chez vous, manger des grenouilles et expliquer aux jeunes gens la main sur la bite qu'ils sont les messagers de Dieu.


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MessagePosté : jeu. 27 juil. 2023, 15:06 
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Alors que j'avouais hier soir à Madame Mac Pyridine que j'avais de plus en plus de difficultés à bander, elle m'a raconté cette histoire dont elle avait été témoin sur les bancs de la Mac Pyridine Academy...Eh bien mon slip sur les genoux ,j'ai bandé, et éjaculé lorsqu'elle m'a soufflé à l'oreille l'identité de la jeune Agnès.

Agnes a Triché a l'Examen
Par Charlène O.


Un univers de femmes. De femelles en chaleur, de salopes en rut. Où les jeunes filles de bonnes familles deviennent des lesbiennes déchaînées, tantôt par choix, tantôt par nécéssité. Un univers féroce malgré la dentelle, où la jalousie n'est jamais loin et où la discipline de fer est une tradition...

Pour transformer ces jeunes filles en demoiselles bien élevées, Madame la Directrice a des méthodes bien à elle, et une imagination sans bornes. Elle adapte ses punitions tantôt corporelles tantôt psychologique aux personalités de ses élèves. Madame la Directrice manie aussi bien la cravache et le fouet que la poire à lavement et la culotte en caoutchouc...

"Vous là-bas, au dernier rang... Oui, vous! Venez ici, devant la classe."

La tête rouge comme une pivoine la fille se leva et vint vers moi. C'était une adolescente au corps gracieux et aux longs cheveux blonds qui encadraient un visage de salope précoce.

"Votre nom?"

"Michaud, Agnès, Madame la Directrice."

Elle était tout penaude, les mains bien sagement derrière le dos. Je lui intima: "Montez sur l'estrade. Maintenant, tournez-vous vers la classe." Puis je m'adressai aux autres élèves: "N'essayez-pas de profiter de cette distraction pour regarder la feuille de votre voisine. Vous continuerez votre examen d'algèbre tout à l'heure. Déposez vos plumes et regardez ce que je fais avec les tricheuses. Je ne tolérerai aucune tricherie au Collège Ospif..."

On aurait pu entendre voler une mouche. Je reprimai avec peine un sourire: ma réputation semblait solidement établie... Je dois y ajouter que je m'efforçais, par tous les moyens, de former des jeunes filles bien élevées et que je ne reculais devant rien, même pas devant des punitions corporelles. Il n'y a que le résultat qui compte, et s'il faut leur botter les fesses, eh bien, je leur botterai les fesses...

Je montai sur l'estrade, à coté d'Agnès, de façon à surveiller la classe pendant que je m'occupais de cette petite tricheuse. Sans élever la voix je lui dis: "Maintenant, levez votre jupe."

Agnès était devenu si possible encore plus rouge. Elle ne bougea pas.

Je fis un pas vers elle et cela suffit pour la motiver. Lentement elle prit l'ourlet de sa jupe à plis. Puis elle ferma les yeux et se mit à lever le tissu gris, exposant ses jambes devant ses amies ébahies.

Quand elle arriva à mi-cuisses la classe réagit, mais un regard suffit à arrêter les quolibets. Comme je m'en doutais, la douce demoiselle Agnès avait les cuisses gribouillées de formules de math...

"Plus haut!" lui intimé-je d'une voix autoritaire "Jusqu'aux hanches!" Il n'y avait rien écrit sur sa culotte blanche, mais je voulus lui donner un leçon qu'elle et ses amies n'oublieraient pas d'aussitôt. "Vous, mademoiselle Michaud, restez comme cela jusqu'à la fin de l'examen. Vous autres, continuez!" intimai-je aux autres. Elles continuèrent leur concours.

Agnès restait immobile, de grosses larmes coulant sur ses joues. Ses mains tenaient sa jupe relevée au-dessus des hanches. Sa culotte d'un blanc immaculé attirait immanquablement le regard, et pendant la suite de l'examen je vis plusieurs jeunes filles jeter des regards tantôt furtifs, tantôt brûlants vers les jambes et le sous-vêtement exposé devant elles. C'était une culotte en coton épais qui moulait son sexe avec une précision anatomique et sa blancheur fit encore mieux ressortir le renflement du pubis.

Je ressentis un agréable picotement au bas du ventre.

Ceci n'était qu'une partie de la punition. J'attendis que toutes les filles aient remis leur feuilles avant de poursuivre mon châtiment.

D'abord je lui fis rouler sa jupe de façon à ce qu'elle tienne d'elle même autour de ses hanches.

"Les mains dans la nuque. Baissez-vous!" A regret elle se pencha en avant. "Prenez vos chevilles en main!"

Elle se pencha encore plus, le visage à hauteur des genoux, son postérieur bien rond.

"Ecartez les pieds! Plus loin!"

Je pris place derrière elle et d'un geste sec je lui baissai la culotte sur les genoux. J'avais devant moi son sexe d'adolescente, surmonté de l'oeil sombre de son anus. J'enfouis un doigt dans l'ouverture du sexe pour le lubrifier. Elle gémit à peine, de peur de représailles. Son sexe était trempé, et je n'eus aucune peine à y mettre mon doigt en entier. Quand je le resortis, il était couvert d'un liquide visqueux et transparant que j'étalais sur son petit trou.

"Détendez-vous!"

Elle réussit à se décontracter et mon doigt s'enfonça d'un coup dans son rectum. Agnès eut un petit cri et son sphincter se serra involontairement autour de l'intrus. La sensation de son rectum qui enserrait mon médius comme un étau était exquise, mais je ne pouvais m'y attarder; déjà je vis en classe plusieurs mains disparaître sous les tables. Les filles ne pouvaient pas voir ce que je faisais parce que Agnès leur faisait face, mais à voir où mes mains étaient et à entendre les réactions de leur copine elles sûrent très bien quel genre de punition j'étais en train de lui faire subir.

La jeune fille leva la tête et se mordit les lèvres pour ne pas crier quand je me mis à bouger mon doigt dans son conduit étroit. En faisant un mouvement de va et viens rapide, je l'incommodais considérablement: elle devait être morte de peur d'avoir un "accident" devant les yeux de toute la classe.

C'est exactement la punition que je lui réservais.

Je pris dans ma poche un Microlax; c'est un petit tube, comme un tube de colle-tout pour modèle réduit, contenant un laxatif puissant. Depuis que j'étais directrice au Collège Ospif, j'en avais toujours un ou deux en poche.

Je retirai mon doigt, puis mis la mini-canule à sa place. En pinçant fermement, le contenu fut projeté dans le rectum d'Agnès. Puis je remis mon doigt, poussant le liquide au plus loin, afin de accélérer l'effet du laxatif.

Le sexe d'Agnès s'était ouvert et une bave claire coulait lentement le long de sa vulve. A regret je lui remontai sa culotte, prenant soin de la remettre bien en place. Puis je fis un pas en arrière et dis: "Relevez-vous. Les mains dans la nuque. Retournez-vous vers le tableau." Elle s'exécuta, montrant son postérieur de coton blanc à ses camarades de classe, sa jupe étant toujours enroulée autour de sa taille.

Une fois retournée, elle me regarda, pensant probablement que sa punition était terminée. "Ecartez vos pieds! Mademoiselle Agnès, vous allez rester comme cela pendant une demi- heure... Quoi qu'il arrive..." et je m'installai à la table du professeur. "Vous les autres, vous pouvez commencer à étudier vos examens de demain. Sans un mot, n'est-ce pas..."

Les filles prirent leurs livres et leurs cahiers, mais le coeur n'y était pas vraiment. Elles lancèrent toutes de plus en plus de regards vers leur camarade qui se trouvait en petite culotte devant la classe.

Puis la premère crampe se fit sentir. Agnès eut une horrible grimace. Petit à petit elle se rendit compte ce que j'avais réellement fait dans son derrière... A cause du mouvement de va et vient de mon doigt, elle n'avait pas discerné le moment où j'avais injecté le contenu du tube dans son rectum. A présent le laxatif commençait à faire son effet...

Agnès ouvrit de grands yeux quand une nouvelle crampe lui tordit les intestins; cette fois-ci elle ne put éviter un léger vent d'échapper. Plusieurs filles rirent, surtout de nervosité, mais un regard les calma.

"Madame la Directrice, je dois aller aux toilettes..."

"Mademoiselle Agnès, n'étais-je pas claire? Une demi-heure j'ai dit, quoi qu'il arrive... Il vous reste à peu près vingt minutes..." Là, je vis un début de panique dans ses yeux bleus. Elle se demanda si elle pourrait encore tenir si longtemps. Une nouvelle crampe lui fit savoir qu'elle ne tiendrait même plus dix minutes. Elle se plia de douleur.

"Relevez-vous!" lui intimai-je. "Massez votre abdomen des deux mains, cela vous aidera à supporter les crampes." Effectivement, après avoir frotté son ventre, la grimace disparut. Elle ne se rendait pas compte qu'au plus longtemps elle attendrait pour se soulager, au plus irrésistible cela serait; donc je l'encourageais de se masser le ventre et de se retenir - je savais très bien qu'elle ne pourrait jamais tenir jusqu'au bout!

"Madame, je vais..." puis elle se tut, sachant instinctivement que cela ne changerait rien, que je n'aurais pas pitié, et qu'elle ne pourrait pas éviter de se donner en spectacle honteux devant ses amies de classe.

Je sus que la fin était proche quand elle se mit à pleurer en silence; elle s'appitoyait sur elle- même, s'excusant vis-vis d'elle-même, en quelque sorte...

"Oh!" Quelqu'un en classe n'avait pas pu s'empêcher de s'éxclamer quand vingt paires de yeux virent bouger le fond de la culotte d'Agnès.

Il eut à nouveau un vent et une forme se dessina dans le coton blanc, grandissant rapidement, accompagné de bruits très explicites: Agnès était en train de remplir sa culotte...

Puis le poids devint plus grand et la culotte s'ouvrit aux élastiques des jambes. Le fond de la culotte pendit entre les cuisses qu'elle avait écarté pour essayer de ne pas se souiller. Agnès se mit à pleurnicher sans retenue, tandis que son rectum continuait de se vider.

J'envoyais Jocelyne au secrétariat: "Demandez à Madame Lenoce de vous donner une culotte en plastique taille adulte, car nous avons un grand bébé en classe... Et ramenez-moi aussi ma cravache..."

Moins de trois minutes plus tard elle était de retour, hors d'haleine, ne voulant pas rater l'humiliation de Agnès, et ne voulant pas risquer de me déplaire. Avec un peu trop d'enthousiasme à mon goût, elle déplia et me tendit la culotte en plastique transparant.

"Vous allez la lui mettre, vous en tremblez d'envie!" lui dis-je. Elle rougit comme une pivoine, mais n'osa pas repliquer. Puis elle se pencha et tendit la culotte devant les pieds d'Agnès. C'est à ce moment que la masse chaude, poussée par une nouvelle crampe, s'engouffra entre les lèvres du sexe d'Agnès; la jeune fille se mit à uriner sans retenue.

Je houspilla Jocelyne et elle réussit à mettre la culotte étanche à Agnès avant que la masse sombre ne se mette à couler. Il était temps car la culotte descendait lentement mais sûrement le long des hanches de l'adolescente et le fond pendait à mi-cuisses, béant des deux cotés. Le coton n'était plus blanc mais des tâches sombres étaient apparues.

Dès que la culotte en plastique fut en place Agnès se remit à uriner et bientôt le fond étanche fut rempli de liquide jaune. Il était temps d'en finir.

"Mademoiselle Michaud, remettez vos sous-vêtements en place!" A regret, Agnès tira sur sa culotte de coton pour la remonter. Bien entendu la masse gluante et chaude s'insinua partout; je vis même apparaître une tache sombre sur son ventre. Tant bien que mal elle réussit à remettre le vêtement, mais on aurait dit que son postérieur avait grossi de quelques kilos...

"Penchez-vous, agrippez vos chevilles!" Je pris la cravache et me mis à coté d'elle.

"Vous aurez dix coups de cravache. Si j'entends un son, j'y ajouterai cinq autres, est-ce clair?"

Elle acquiesça, soupira, puis se pencha pour agripper ses chevilles. Je la vis faire une grimace: en se penchant elle avait comprimé son entrejambes, provoquant un nouveau mouvement dans la masse nauséabonde; heureusement la culotte en plastique empêchait tout odeur d'empester le local de classe.

Je visai soigneusement, puis fis siffler la cravache dix fois. La douleur devait être très forte, car j'y avais mis toute ma poigne, mais elle ne cria pas, de peur de devoir en subir encore plus. Le pire était que chaque coup se propageait dans le mélange gluant retenu dans la culotte en plastique, pour s'introduire dans le moindre replis de chair, dans les endroit les plus intimes...

Dans la classe, plusieurs filles choisirent les derniers coups pour achever de se caresser et jouir; j'en ai vu au moins quatre être prise d'une sorte de danse de St-Guy quand j'eus terminé le dixième coup sur le derrière couvert de plastique. J'aimerais bien savoir quels fantasmes elles vivaient: dans quel rôle se voyaient-elles? Dans celui du supplicié, ou dans celui du bourreau?

J'avoue que j'aimais beaucoup mon rôle et que ma culotte était plus que trempée quand je regagnais mon bureau à midi...

fin de l'épisode Copyright: © Charlène O. (juin 2000)

Cela relève uniquement du fantasme bien entendu.


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MessagePosté : lun. 07 août 2023, 19:45 
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Encore puni sèvérement par mon épouse Anania Borniol épouse Mac Pyridine, hier au soir en réunion j'ai parlé écologie sans savoir, et répété ce qui disent les médias et les agences environementales arrosées par nos impots... Anania m'a attrapée par les cheveux ...et un poux ,une puce sur un tabouret , vous connaisez la suite comme les enfants. Elle m'a fessé enfilé un parapluie dans le cul et obligé à apprendre ceci en plus de mes exercices de dilatations anales.

LES CYCLES DE MILANKOWITCH ( on ne peut échapper aux caprices de la planète et du seul dieu à adorer L'Univers)

Issue de la théorie proposée (en 1924 par le yougoslave Milankovitch, théorie qui explique les variations de l’ensoleillement des différentes régions sur Terre suite à l’évolution du mouvement de la Terre autour du Soleil.

L’alternance des époques glaciaires et interglaciaires qui se sont succédé sur les hautes latitudes de l’hémisphère nord (HN) depuis deux millions d’années est initiée par la combinaison des paramètres orbitaux qui définissent la position de la Terre dans l’espace par rapport au soleil. Une fois déclenchée, la construction (ou la fusion) de calottes de glace conduit à une diminution (ou une augmentation) des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, ce qui amplifie le refroidissement (ou le réchauffement) du climat.

Nous présentons ci-dessous la définition et l’évolution des différents paramètres orbitaux, dont les cycles et leur relation avec les glaciations ont été en particulier étudiés par Milankovitch. Afin d’appréhender, de façon simple, comment les situations deviennent, de façon cyclique, favorables à la construction (ou la diminution) des calottes glaciaires, nous nous baserons sur le raisonnement simplifié suivant : plus les étés sont chauds plus la situation est favorable à la fusion progressive d’une calotte sur l’H.N, lorsque celle-ci existe, car la fusion des glaces a lieu l’été. Inversement, plus les étés sont frais, plus la situation est favorable à l’installation ou à la croissance de la calotte (si celle-ci existe déjà). La réalité est plus subtile, mais ce mécanisme est majeur et permet d’appréhender comment les cycles, liés à l’influence des différentes planètes sur le mouvement de la Terre, vont conduire le ballet des glaciations durant le quaternaire.


Pourquoi, pour expliquer les glaciations, s’intéresse-t-on à l’ensoleillement de l’hémisphère nord et non pas à celui de l’hémisphère sud ?

Parce que, lors des périodes glaciaires/interglaciaires, peu de choses changent dans l’hémisphère sud, excepté l’extension de la banquise autour de l’Antarctique, mince pellicule de glace de 3 m d’épaisseur. La calotte antarctique, qui recouvre le continent antarctique centré sur le pôle sud, reste quasiment inchangée entre ces deux climats : elle persiste. Autour de ce continent, entre 60°S et 30°S, aucun grand continent n’existe pouvant servir de support à l’établissement d’une grande calotte glaciaire. Par contre dans l’hémisphère nord (HN) une ceinture de continents existe à ces latitudes en Amérique et en Eurasie. C’est donc dans ces régions que vont pouvoir se construire puis disparaître les grandes calottes glaciaires. Une fois établies dans l’hémisphère nord ces calottes glaciaires vont modifier le climat de la Terre dans son ensemble, refroidissant toute la planète, y compris l’hémisphère sud.



Les trois paramètres orbitaux
Trois paramètres indépendants caractérisent la position de la Terre par rapport au Soleil, et donc définissent l’énergie solaire reçue selon les différentes saisons. Chacun de ces paramètres varie au cours du temps avec des périodes indépendantes; leur conjonction va rendre plus ou moins favorable la construction (ou disparition) des calottes glaciaires de l’hémisphère nord.

l’excentricité, « e », qui caractérise la forme de l’orbite décrite par la Terre en un an autour du Soleil, orbite qui n’est pas circulaire mais elliptique et dont le soleil occupe l’un des foyers (voir la figure Théorie astronomique du climat/excentricité).

La distance Terre-Soleil , qui est en moyenne de 149 millions de km, varie donc au cours de l’année, la Terre passant tous les 6 mois au périhélie (point le plus près du soleil) puis à l’aphélie, (point le plus loin). L’écart entre ces deux distances est fixé par l’excentricité. Si celle-ci est nulle, l’ellipse devient un cercle; si elle est de 0,015 (valeur proche de la valeur actuelle) la distance Terre-Soleil varie de 3% (2 fois l’excentricité) entre la position la plus proche et la position la plus éloignée. L’énergie solaire qui parvient à la Terre (1367 w/m2 en moyenne au cours de l’année) varie alors de 6% (4 fois l’excentricité) passant de 1408 W/m2 au point le plus proche à 1326 W/m2 au point le plus éloigné.

Cette excentricité évolue au cours du temps avec comme principales périodes 412 800 ans et un ensemble de périodes proches de 100 000 ans (voir la figure Théorie astronomique du climat/excentricité). Par exemple, lors de la précédente période interglaciaire, il y a 128 000 ans, l’excentricité était proche de 4%, (l’ellipse s’éloignait plus d’un cercle qu’à l’époque actuelle) et l’énergie reçue par la Terre entre le périhélie et l’aphélie variait d’environ 16%.

l’inclinaison (actuellement proche de 23°) de l’axe de rotation de la Terre sur l’écliptique, plan dans lequel se déplace la Terre autour du Soleil au cours de l’année (voir la figure Théorie astronomique du climat/inclinaison).

La Terre tourne en 24 heures autour de cet axe. La direction de cet axe est facilement matérialisable car, lorsqu’on regarde la voûte céleste la nuit, une étoile située dessus doit rester immobile au cours des 24 heures de rotation de la Terre : c’est actuellement le cas de l’étoile polaire. Cette direction ne bouge quasiment pas au cours de l’année (l’étoile polaire reste l’étoile fixe sur la voûte céleste). L’inclinaison de cet axe est responsable de l’existence des saisons : pas de saisons si l’inclinaison est nulle, et plus l’axe est incliné, plus l’écart est fort entre l’été et l’hiver. La position de cet axe oscille entre 21° et 24,5°, avec une période principale de 41 000 ans. Plus l’axe est incliné, plus les étés sont chauds, en particulier aux hautes latitudes où les jours sont longs. Inversement, moins il est incliné, plus les étés sont frais.
Par exemple, passer d’une inclinaison de 21 à 24,5° entraîne en été à la latitude de 70° une augmentation de l’insolation reçue:
elle passe de E x cosin (70-21), soit E x 0,6561, à E x cosin (70-24,5), soit E x 0,7010 ( E étant l'énergie solaire incidente, soit le flux d'énergie reçu par une surface frappée perpendiculairement par les rayons solaires).
Le flux d'énergie solaire reçu augmente ainsi de la quantité
E x 0,0449, c'est-à-dire une augmentation de (E x 0,0449/E x 0,6561), soit 6,8%.

Ceci conduit, environ tous les 20 000 ans, soit à une situation favorable à la fusion de calottes glaciaires aux hautes latitudes de l’H.N. (inclinaison forte, étés chauds) soit à une situation favorable à la croissance des calottes (inclinaison faible, été frais). Mais ce paramètre n’est pas le seul à influer sur l’établissement des époques glaciaires / interglaciaires : l’influence de la précession est au moins aussi importante.

la précession de l’axe de rotation de la Terre (voir la figure Théorie astronomique du climat/précession)

Tout en gardant son inclinaison proche de 23° au cours des milliers d‘années, l’axe de rotation précesse autour de l’axe de l’écliptique (il décrit un cône) avec un cycle de l’ordre de 22 000 ans (en fait les principales périodes de précession sont proches de 19 000 et 23 000 ans). La conséquence de cette précession est que le solstice d’été dans un hémisphère donné (moment où l’hémisphère reçoit le maximum de chaleur), aura lieu alternativement tous les 11 000 ans soit au périhélie (c’est-à-dire près du Soleil), soit à l’aphélie (loin du soleil). Donc, dans cet hémisphère, les étés seront tous les 11 000 ans soit plus chauds soit plus frais, l’écart d’énergie reçue étant fixé par l’excentricité de l’ellipse (soit 4xe, voir 1er paragraphe).
Si la Terre décrivait un cercle autour du Soleil (e = 0), la distance Terre-Soleil étant alors constante, la précession n’aurait alors aucune influence sur les saisons. Ceci conduit tous les 11 000 ans, soit à une situation favorable à la fusion de calottes glaciaires aux hautes latitudes de l’H.N. (étés chauds) soit à une situation favorable à la croissance de ces calottes (été frais).
On caractérise l’évolution de cette situation par la distance Terre-Soleil au 21 juin (solstice d’été de l’hémisphère nord), représenté sur la figure Théorie astronomique du climat/précession. Ainsi, il y a 11 000 ans dans l’hémisphère nord, nous recevions en été 6% de plus d’énergie solaire qu’à l’heure actuelle. Inversement, en hiver il y a 11 000 ans, nous recevions 6% de moins d’énergie solaire qu’à l’heure actuelle.
La combinaison des deux paramètres (distance Terre-Soleil le 21 juin et inclinaison de l’axe de rotation de la Terre) vont conduire à des situations plus ou moins favorables à la dynamique des calottes dans les hautes latitudes de l’hémisphère nord. Cette dynamique est enregistrée dans l’évolution du niveau marin dont la baisse caractérise le volume des glaces stockées dans les calottes glaciaires. On constate que les enregistrements des niveaux marins dans les sédiments océaniques sur les deux derniers millions d’années présentent bien les 3 périodes clés (19 et 23 000, 41 000 et 100 000 ans) des trois paramètres astronomiques décrits ci-dessus (voir la figure Variation des paramètres orbitaux de la Terre). Ce fait a été la première confirmation éclatante de la validité de la théorie astronomique du climat. La combinaison de l’ensemble des fréquences conduit à l’émergence en moyenne environ tous les 100 000 ans d’un interglaciaire marqué suivant une glaciation importante. De la même manière, en moyenne, les périodes interglaciaires (dont les durées peuvent s’étendre de quelques milliers d’années à plusieurs dizaines de milliers d’années, selon la conjoncture astronomique) durent en moyenne une dizaine de milliers d’années.



Quelques exemples

Comparaison entre les deux derniers interglaciaires
Inclinaison, excentricité et précession se sont combinées de façon particulièrement favorables pour conduire il y a 128 000 ans à l’avant dernière grande déglaciation (position de la Terre en été de l’H.N. proche du Soleil et forte inclinaison de l’axe de rotation, atteignant 24,2°). Une conjonction semblable, favorable à la déglaciation, a eu lieu il y a 11 000 ans avec la distance Terre-Soleil faible en été H.N. et une forte inclinaison (24,2°), qui a conduit à l’établissement de l’interglaciaire actuel. Cependant, l’excentricité ayant été plus forte il y a 128 000 ans qu’il y a 11 000 ans, le précédent interglaciaire a connu des étés plus chauds que l’actuel, ce qui s’est traduit par une température moyenne plus élevée (une estimation d’environ 2 degrés semble plausible) ainsi qu’un niveau des mers plus haut de quelques mètres (une estimation d’environ 2 mètres semble également plausible).

Depuis le précédent interglaciaire (centré sur environ 125 000 ans) les situations qui, à chaque cycle de précession, correspondaient à une distance Terre-Soleil faible en été (H.N.), n’ont pas été renforcées par une forte inclinaison : il y a 100 000 ans (position B sur la figure Théorie astronomique du climat/précession), l’inclinaison était particulièrement faible et n’a conduit qu’à un interstade chaud où le niveau des mers est resté d’environ 16 mètres plus bas que le niveau actuel.


L’interglaciaire actuel
Il y a 11 000 ans , dans l’HN, la Terre se trouvait le plus proche du soleil en été (configuration étés chauds, hivers froids). Actuellement au cours de l’année (voir la figure Marche des saisons), c’est en été (de HN) que la Terre se trouve le plus éloigné du soleil (configuration étés frais, hivers doux). Ceci peut être mis en relation avec le fait qu’au cours des dix mille dernières années, les hautes latitudes de l’hémisphère nord se sont progressivement refroidies : le pergélisol initialement restreint aux très hautes latitudes a progressé vers le sud. Une telle situation prépare l’établissement d’une couverture neigeuse permanente aux hautes latitudes de l’hémisphère nord, prémisse à la prochaine glaciation. C’est ce qui limite en général la durée d’un interglaciaire à une dizaine de milliers d’années. Cependant dans le cas actuel….


Le futur ?
Dans le cas actuel, l’excentricité de l’ellipse étant particulièrement faible, alors que l’inclinaison est loin d’être à son minimum, la situation est peu favorable au retour d’une glaciation; de plus, cette situation va évoluer progressivement à l’établissement d’étés de plus en plus chauds en H.N. (diminution de la distance Terre-Soleil en juin, au cours des prochains milliers d’années (voir la figure Théorie astronomique du climat/précession). Tout indique l’absence de construction d’une calotte dans les prochains siècles, prochains millénaires, mais à nouveau un réchauffement naturel des étés de l’H.N. Que nous enseigne le passé ? Cette configuration astronomique est rare au cours des dernières centaines de milliers d’années (faible excentricité) mais s’est produite il y a environ 400 000 ans (stade isotopique 11), où l’interglaciaire a été particulièrement long (environ 30 000 ans). A cette époque, le balancier des 11 000 ans a peu joué, et le nouveau cycle de 22 000 ans s’est établi alors que le niveau des mers était encore élevé. Bien que la reconstitution du climat de cette époque soit encore difficile, les données actuelles suggèrent un état plus chaud que la moyenne des interglaciaires (cela semble être la seule époque où l’on ait trouvé des pollens de vigne sauvage dans le Vercors), et un niveau des mers plus élevé (une dizaine de mètres ?).


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MessagePosté : lun. 07 août 2023, 22:27 
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J'espère que cela ne saurait Être aussi simple, car enfin que sont devenus les états et leurs mentors?reste t'il une veille?


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MessagePosté : sam. 19 août 2023, 19:32 
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Aujourd'hui je suis bien vieux et malade et depuis la mort d'Anania je n'ai guère plus le goût à vivre.Aussi aujourd'hui la famille c'est-elle trouvée un nouveau chef de file et c'est Denise qui a emporter les suffrages, il faut dire qu'elle avait apporter avec elle le moyen de pression en sa possesion pour faire tomber la famille Doudoune qui s'attaque à notre réseau de poissoneries.
Le portrait de Denise présidente à afficher dans toutes les arrières boutiques. (Pas bonne la Denise)
viewtopic.php?f=25&t=10049


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MessagePosté : mar. 22 août 2023, 15:20 
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Denise change les cadres le la société, c'est ainsi qu'elle la nomme aujourd'hui, dans l'esprit de l'époque nous avions plus en tête le terme d'institution. Les temps changent. Denise vient de nommer la fille à Huguette responsable pour l'Amérique du Nord...Elle est si jeune!
Voici Caitline.


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MessagePosté : sam. 09 sept. 2023, 20:53 
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Comme souvent Denise trouva une explication simple à son intuition, son père lui avait enseigné le rasoir d'Ockham, elle savait que c'était une absurdité face à l'épée de Darwin, mais quelquefois...L'oisiveté qui ne se soucie de rien, vient voir l'industrie qui s'occupe de tout. C'est une loi bien naturelle que les gens qui n'ont rien à faire ne peuvent supporter une occupation ininterrompue chez leur voisins.
C'est pourquoi pour l'Amérique Centrale et Panama Denise opta pour la paix sur deux caractères antagonistes, les deux cousines gouines de la famille, Véronique Mac Pyridine et Véronica Borniol (Le moindre mal).


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MessagePosté : dim. 17 sept. 2023, 23:14 
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N'est-il pas évident qu'une personne vivant normalement d'un coté du seuil de la douleur a besoin d'une religion différente que quelqu'un vivant tout aussi normalement, mais de l'autre coté du même seuil?
La Mac-Pyridine Compagny sous la direction de Denise ne vous présente pas la guilde des meurtriers mais la guilde des assassins, les ennemis des peuples, les véritables monstres. Une transformation s'impose!


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MessagePosté : lun. 18 sept. 2023, 16:27 
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Nous venons d'apprendre que Denise vient de nommer aux manettes pour l'amérique du sud Lili Choquet, arrivé en male alpha au club elle en est ressortie femboy. Nous devons cette réussite à sa soeur Jennifer chargée de la féminisation à la compagnie qui après beaucoup de travail lui a fait une clit bite et une petite chatte anale qu'il faudra encore travailler, on notera qu'en parallèle Lili a bien suivit son traitement hormonal.


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MessagePosté : sam. 30 sept. 2023, 17:23 
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Denise vient de maintenir Patricia Borniol à la tête de L'Europe du Nord, il faut dire qu'elle avait été son élève à l'époque où elle était directrice de l'institut Ospif, des collabarateurs de la Mac Pyridine company. Patricia est par ailleurs une maniaque de la propreté, ce qui est très important dans les commerces de poissonnerie. Nous avons ici quelques notes de Denise au sujet de Patricia.

Collection "La Directrice"

Episode 1: "Patricia, la tripoteuse."
Onze heures. Je venais de terminer ma correspondance. Comme directrice de l'Institut Ospif j'avais un secrétariat très efficace, mais il y avait certaines choses que je préférais faire moi-même. La correspondance en était une, l'administration de punitions pédagogiques en était une autre. Les jeunes filles qui s'inscrivaient dans notre Institut étaient averties dès le départ: "L'Institut Ospif se réserve le droit d'infliger des punitions corporelles s'il le trouve opportun, afin de guider l'étudiante dans la voie choisie".
La plupart d'entre elles devant être guidées à un moment ou à un autre, j'avais développé toute une série de punitions, allant de la simple réprimande, à la séance de cravache très douloureuse. Au fil des années j'avais appris qu'un juste dosage de douleur physique et psychique était la clé du succès.
Un derrière rouge d'une bonne fessée fait bien plus mal à l'amour-propre quand il se trouve exposé devant la classe...

Un coup discret sur la porte de mon bureau me fit lever la tête.
"Entrez!"
La porte s'ouvrit et Patricia, une élève de dernière année se présenta devant mon bureau.
Sans un mot, les yeux baissés, elle me remit une enveloppe. C'est la façon avec laquelle je communique avec certains de mes professeurs pendant les cours.
Je lus rapidement le message provenant de Madame Surreau, professeur de Biologie. "Cette petite pimbêche se tripote pendant mon cours, veuillez la corriger." Signé "Suzanne Surreau".

Elle n'en avait pourtant pas l'air, la petite Patricia. Avec ses long cheveux foncés encadrant son joli petit minois, il faisait plutôt penser à une petite sainte nitouche.
"Tendez la main."
Je lui pris la main et la renifla. Patricia rougit violemment.
"Vous vous conduisez comme une petit salope, hein. Eh bien, on va vous aider. Enlevez vos chaussures."
Elle s'exécuta sans broncher, la peur de ce qui allait suivre dans ses grands yeux bleus.
"Maintenant enlevez votre culotte et mettez-la sur le bureau."
Après une légère hésitation elle plongea les mains en dessous de sa jupe à plis et fit glisser son slip de coton blanc. Elle le froissa en une boule et le déposa sur mon bureau.
Je lui indiquai un petit banc recouvert de cuir – il faisait partie du fauteuil et servait à supporter les jambes une fois le fauteuil incliné.
"Couchez-vous là-dessus, sur le dos."
"C'est bien. Maintenant avancez un peu, que votre derrière dépasse du banc." Ses pieds reposaient bien à plat sur le tapis.
"Relevez votre jupe. Jusqu'au hanches."
J'étais toujours assise à mon bureau, et de là j'avais une vue imprenable entre ses jambes. Je sentis une bouffe de chaleur éclater dans mon ventre.
"Ecartez les genoux."
En voyant le sexe rose légèrement béant de l'adolescente j'aurais donné une fortune pour pouvoir plonger la tête entre ses cuisses musclées...
"Vous aurez dix coups de latte sur la vulve. Non, ne fermez pas les cuisses, ou j'augmente le nombre!"
Puis me vient une idée: comme la donzelle aimait se tripoter, elle allait pouvoir se tripoter...

Brutalement je lui demandai:
"Mademoiselle, combien de fois masturbez-vous par semaine?"
Patricia sursauta quand elle se réalisa la portée de ma question. Je dus la lui répéter une deuxième fois avant qu'elle ne murmure: "Six ou sept fois..."
"Donc tous les jours?"
Je devinais plus qu'entendais son "Oui".
"Bien, j'apprécie votre honnêteté. Maintenant vous allez vous caresser comme quand vous êtes seule, car après votre correction je crains qu'il vous faudra quelques jours avant de pouvoir toucher à nouveau votre sexe."

Patricia devint d'abord pâle, puis vira pivoine. Instinctivement elle avait fermé les cuisses. Alors je me levai et plaça deux tabourets devant elle: un de chaque côté. Puis je lui pris les jambes fermement, les ouvrit malgré la résistance et lui plaça les pieds sur les tabourets. Maintenant son entrejambes était exposée comme pour un examen gynécologique. Plus moyen de fermer les cuisses sans que ses pieds tombent des tabourets. Son regard me suppliait d'arrêter la punition mais je fis comme si je ne voyais pas son air paniqué.

"Mettez votre main droite sur votre sexe.
Caressez-vous. C'est cela. Maintenant humez vos doigts."
Elle ferma les yeux de honte mais fit quand même ce que je lui avais ordonné. Elle n'essaya même pas de jouer la comédie et de faire comme si c'était la première fois. Sa main redescendit vers son ventre.
J'avais pris sa culotte qui traînait sur mon bureau et le renifla. Elle ne devait pas être loin de l'aboutissement quand Madame Surreau l'avait interrompue, à sentir son sous-vêtement. J'y regardai de plus près, et comme j'avais anticipé, une large couche de sécrétion blanchâtre tapissait le fond de son slip.
"Vous allez mettre votre majeur gauche dans votre rectum, mais mettez-y d'abord de la salive..."
Patricia, toujours les yeux fermés, mit son doigt en bouche, puis, après une courte hésitation où ses dernières inhibitions tombèrent, elle se contorsionna légèrement pour atteindre son anus par le dos.
Elle poussa un léger soupir, puis lentement, millimètre par millimètre, enfonça son doigt dans son rectum. C'était une vue hautement érotique et j'en profitais que l'adolescente avait les yeux fermés pour glisser une main en dessous de ma robe et de me frotter rapidement le sexe à travers ma culotte.
L'autre main de Patricia s'était mise au travail et du bout des doigt elle titillait allègrement son clitoris, n'interrompant le mouvement circulaire que pour puiser du lubrifiant dans l'ouverture de son vagin.
Sa respiration se fit haletante: cette fille était bien rodée aux plaisirs solitaires. Le doigt dans son anus allait et venait lentement; à chaque fois elle l'enfonçait le plus loin possible, puis le retirait entièrement pour ensuite recommencer le même manège.
Je lui pris la main gauche et lui arracha le doigt de son rectum. Puis je lui mis le doigt légèrement brillant devant le nez. C'est comme si je lui avais injecté l'un ou l'autre dopant, car elle se mit à respirer rapidement, la bouche grande ouverte, une sorte de râle émergeant du fond de ses poumons. L'orgasme ne se ferait plus attendre longtemps.

Je lui mis le doigt contre ses lèvres et d'elle même elle l'engouffra et se mit à le lécher en lui donnant un mouvement de va et vient comme elle avait fait dans son rectum. Sa respiration devint sifflante. Sa main droite menait un ballet effréné dans son sexe trempé. Ses poils collaient ensembles en un magma odorant. Patricia bougea son bassin avec de petite secousses, mimant un coït bestial.
Je dus faire un effort surhumain pour me dominer, et pour me tenir prête. Je l'enjamba de façon à me trouver face à la fourche de ses cuisses, le dos vers elle. Puis son orgasme se déclencha. Elle se cabra, s'arrêta de respirer, tendit son corps en un arc de cercle, son ventre nu venant délicieusement frapper mon entrejambes. Elle retira la main de son sexe maintenant hypersensible et voulut fermer les cuisses pour mieux cuver et prolonger sa jouissance, mais je l'en empêcha et de toutes mes force j'abattit la latte de plastique souple sur sa vulve.
L'effet de la douleur mélangé à l'orgasme fût si fort qu'elle perdit connaissance pendant quelques secondes. Puis j'abattit la latte une deuxième fois. Cette fois-ci elle se mordit la main pour ne pas crier.
Lors du troisième coup le latte n'était pas bien à plat ce qui fait que le bord coupa douloureusement
dans les lèvres de son sexe. Patricia se tordit de douleur et vint se coller à moi, entourant mes hanches de ses bras, frottant son visage contre mes fesses. Un instant je m'imaginais être nue, la tête de l'adolescente enfouie entre mes fesses...
Un peu par frustration le quatrième coup visa le sexe bien à plat. Le coup était si fort que les lèvres furent blanches pendant quelques instants, tout le sang ayant été repoussé. Le clitoris pointait entre les plis de chair quand j'abattit la latte une cinquième fois. C'en était trop pour Patricia: elle se mit à uriner sans pouvoir se retenir. De puissants jets rythmiques jaillirent d'entre les lèvres malmenées. Je me mis à frapper le plus rapidement que je pus, éclaboussant son bassin chaque fois que la latte s'abattit sur le sexe d'où l'urine continuait à gicler en longs jets.
Je lâcha la latte et plaqua ma main sur sa vulve. Je sentis sous mes doigt le liquide brûlant jaillir et le frotta sur ses fesses, sur son ventre, sur son anus. Je ne pus m'empêcher d'enfoncer un doigt dans
son sexe. Le conduit vaginal était brûlant et serrait mon doigt comme un gant. Puis je m'aventurais entre ses fesses et trouva le renflement de son anus, trempé comme le reste. Retenant avec peine un cri de pure jouissance érotique je sentis le muscle du sphincter se relâcher pour me permettre de le pénétrer.
Quand je regardais entre ses jambes je vis que Patricia avait recommencé de se caresser, mais plus prudemment que la première fois. L'excitation sexuelle du premier orgasme masquait encore la douleur de son sexe torturé. Une fois cette anesthésie tombée, sa vulve serait horriblement douloureuse pendant plusieurs jours. Je la laissais donc faire, me délectant du rectum palpitant autour de mon doigt.
Puis il se passa quelque chose de totalement imprévu: comme un zombie Patricia mit la tête sous ma robe! Je dus mordre sur mes lèvres pour ne pas l'encourager de vive voix. Mais ce n'était pas nécessaire: elle n'avait pas besoin d'encouragements. Sa main gauche file aussi en dessous de ma robe et je sentis qu'elle m'arracha la culotte, la faisant glisser le long de mes jambes au plus loin qu'elle le put avec mes jambes écartées autour de son torse. Puis sa main se plaqua sur mon sexe trempé. Je crus défaillir. J'étais mouillée comme si j'avais fait pipi. Patricia, sans arrêter de se caresser de la main droite, se mit à frotter rapidement sa main gauche sur mes lèvres. Je ne masturbais jamais ainsi et cette sensation d'être caressée par quelqu'un d'autre était sublime. Je sentis mon orgasme approcher. Elle dut le sentit aussi, car je l'entendis dire "Laissez-vous aller, s'il vous plaît."
Puis elle plaqua sa bouche sur mon anus et se mit à titiller le muscle hypersensible du bout de sa langue. Je partis comme une fusée. Je me sentis devenir légère - je n'étais plus qu'un sexe en train de jouir. Je goûtais mon sang, ayant mordu sur ma lèvre pour ne pas crier. Puis, sentant que Patricia accélérait, je relâchais mes muscles et senti bientôt l'urine chaude couler le long de mes jambes. Comme je l'avais fait chez elle, l'adolescente se mit à disperser le liquide brûlant sur ma vulve et sur l'intérieur de mes cuisses. Je continuais à jouir si longtemps que j'urinais; elle jouissait aussi...

Il va de soi que depuis cette mémorable "correction", j'ai dû punir Patricia régulièrement...


Charlène O.
Ps :Ceci est une archive de la Mac Pyridine company, mais elle n'en est pas l'auteur qui est identifié ci-dessus.


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MessagePosté : dim. 01 oct. 2023, 13:44 
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro enculé par madame, probablement Bisexuel.
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Des rumeurs circulent quant à la future grande patronne de la compagnie pour la Chine.


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MessagePosté : dim. 01 oct. 2023, 17:20 
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro enculé par madame, probablement Bisexuel.
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Nous avons eu vent à la Mac Pyridinne company du prochain reportage d' Elise Lucet, cette femme fait beaucoup de bruit pour remplir sa bourse, les personnes qui agissent pour le bien d'autres personnes sont beaucoup plus humbles dans leurs démarches et leurs manières, rien ne sert de crier au loup si on ne connait pas les moeurs de l'animal.
Il ne m'est jamais arrivé de commander un gros plug anal qui je le sais vas me faire mal au cul pour aller porter plainte ensuite contre le fabricant ou le sexshop en ligne.
Interdire le porno? C'est comme interdire le tabac et la bière, des biens de consommation qui font plier les populations pauvres, il n'est jamais venu à l'esprit des romains de fermer le Colisée, du pain et des jeux pour les pauvres madame, ils n'ont pas les moyens de se payer des gigolos pour veilles bourgeoises.
Votre prochain reportage pour protéger les jeunesses catholiques "Il ne faut pas confondre la BBC et une BBC".
Quelquefois trop c'est trop.


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MessagePosté : sam. 07 oct. 2023, 17:08 
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro enculé par madame, probablement Bisexuel.
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Denise vient de nommer Martine et Nathalie à la direction de L'europe centrale, il faut dire que ses deux éléves avaient déjà étés ses complices à l'institut Ospif qui formaient les naviguants de la Compagnie en cinq ans.
Ici l'histoire de Sophie Michaud aujourd'hui capitaine du TIME BANDIT à Homer, en cinquième, c'est à dire lors de sa première année à l'école de Anania Mac Pyridine, elle fumait ce qui était interdit, le père d'Anania, George Borniol, avait presque été tué par ce poison.
Vous trouverez plus bas un portrait de Martine et Nathalie.
Nous présenterons Sophie et son navire un peu plus tard, lorsque Nicole aura fini de rénover la flotte.

Collection "La Directrice"

Episode 2: "Défense de fumer."

D'une voix distraite j'avais répondu "Entrez!".
Trois élèves vinrent se mettre devant mon bureau. La jeune fille au centre s'appelait Sophie Michaud; les deux qui l'encadraient faisaient partie de ce que j'appelle "mes petits soldats", des élèves de dernière année qui m'étaient tout dévouées.
Toutes les trois portaient l'uniforme de l'Institut Ospif: blouse blanche, cardigan bleu, jupe plissée grise et des bas de même couleur jusqu'en dessous du genou.
"Oui?"
"Madame la directrice, Sophie était en train de fumer dans les toilettes..."
Sophie protesta:
"Ce n'est pas vrai, Madame la directrice, c'était pas moi, ça venait d'une autre cabine!"
Je me levai, fit le tour de mon bureau et vint sentir son haleine. Elle essayait d'abord de ne plus respirer, puis de respirer par petites goulées. Je la regardais dans les yeux, impassible.
"Nom, prénom, classe..." je lui demandais, bien que je connaissais la réponse.
Elle essaya de tourner la tête avant de répondre mais je lui pris le menton et tourna son visage vers le mien. "Alors?"
Elle murmura entre ses dents "Michaud - Sophie - 5ième C..."
Même une personne enrhumée aurait senti qu'elle venait de fumer une cigarette!
J'enfonçai le clou encore un peu plus:
"Et Sophie Michaud de la 5ième n'a pas fumé?"
Elle devint pivoine et baissa le regard. Je retourna m'asseoir à mon bureau.
"Pourquoi avez-vous menti?"
Sophie ne broncha pas, le regard vers le sol, ses longs cheveux foncés formant un rideau de part et d'autre de son visage.
J'attendis quelques secondes avant de continuer:
"Vous savez que fumer est interdit dans cette école. Vous serez punie. Mais ce qui est bien pire, c'est de m'avoir menti. Cela vous le regretterez jusqu'au jour où vous quitterez cette école!"
Aussitôt j'ordonnai à mes petits soldats:
"Déculottez-la!"
Martine, la petite brune costaud, passa derrière Sophie et lui prit les mains derrière le dos, tandis que sa copine Nathalie s'agenouilla devant l'adolescente. Regardant Sophie dans les yeux, un sourire moqueur aux lèvres,
Nathalie fit glisser ses mains sur l'extérieur des genoux nus de la jeune fille. Sophie était trop sidérée pour réagir quand les mains disparaissaient sous la jupe plissée, mais quand elle sentit Nathalie agripper sa culotte et
se mettre à tirer dessus...
"Madame, vous ne pouvez pas lui laisser faire ça! Madame! C'est pas permis, m'enfin! Mes parents vont porter plainte!"
Je fis comme si je n'avais rien entendu et m'adressai à nouveau aux autres:
"Mettez-la à quatre pattes sur la table de conférence, je vais la punir immédiatement, il faut que la punition suive de près l'offense!"
Nathalie fit glisser la culotte blanche le long des jambes de Sophie, malgré que celle-ci pressait ses genoux l'un contre l'autre pour l'en empêcher. Puis d'une bourrade, elle désarçonna la jeune fille et lui enleva sa culotte. Elle
me la tendit.
Malgré ses protestations Sophie fut entraînée vers la grande table en bois de teck que j'employais quand je réunissais quelques professeurs pour un meeting.
En moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, l'adolescente se retrouva sur la table, s'appuyant sur ses mains et ses genoux, la panique dans le yeux.
De mon armoire toujours fermée à clef je sortis quelques lanières de cuir et des menottes de cuir tressé. Sophie fut rapidement attachée dans la position où elle se trouvait, les genoux largement écartés.
Pour l'humilier je disposais sa culotte devant elle sur la table, le fond légèrement souillé bien en vue.
"Pas très propre, n'est-ce pas? Si tu veux je te la mets sur la tête, ton gribouillis de femelle bien en vue, et je te renvoie comme ça en classe, qu'en dis-tu?"
Sophie ne répondit pas. Vaincue, elle venait d'accepter sa punition...
Pendant que je cherchais une cravache dans mon armoire, je m'adressai à Martine:
"Mettez une serviette imperméable entre ses genoux, je crains qu'elle ne se mette à uriner. Et regardez un peu si elle mouille."
Martine déplia la serviette et la mit sous le ventre de Sophie. C'était une grande serviette de cellulose absorbant, doublé d'une feuille de plastique mince bleu pâle, comme on met dans les lits des personnes incontinentes.
Du coin de l'oeil je regardais mes petits soldats opérer: elles se mirent de part et d'autre de la table, prirent l'ourlet de la jupe grise et, comme on dévoile une statue, relevèrent le tissu jusque sur le dos de Sophie, exposant les fesses blanches bien rebondies. Martine se pencha et mit sa tête entre les cuisses écartées, étudiant l'entrejambe béant.
"Non Madame, je ne vois rien!"
Par acquit de conscience, Nathalie alla voir aussi. De deux doigts elle écarta délicatement les lèvres déjà entrouvertes, puis confirma ce que venait de dire son amie.
"Bon, masturbez-la alors."
Les deux filles se mirent à caresser consciencieusement les cuisses et les fesses de Sophie, comme je leur avais appris, en évitant le sexe - si elles touchaient le sexe trop tôt, la fille se rebifferait et cela durerait beaucoup plus longtemps avant qu'elle ne laisse aller.
Ses cuisses se couvrirent de chair de poule, ses yeux s'ouvrirent en grand et elle me dit:
"Mais... Madame... je ne... elles... laissez-moi tranquille je vous prie!"
Souriante, je tendis un appareil de massage médical à Nathalie. Elle le brancha et l'applique légèrement sur le sein gauche de Sophie. Malgré le cardigan gris le vibrations firent leur effet: Sophie sursauta comme si une guêpe l'avait piquée. Puis Nathalie recommença. Sophie ferma les yeux et se laissa faire, apparemment le traitement n'était pas trop désagréable...
La tête vibrante de l'appareil se mit à tracer des cercles de plus en plus grand autour du sein de Sophie, puis lentement se dirigea vers son ventre.
Entre-temps Nathalie avait branché un gode vibrant, blanc et lisse, et en appliqua l'embout par à coups sur l'anus de l'adolescente. Absorbée par la danse de l'appareil de massage sur son ventre, celle-ci se laissa faire, les yeux toujours fermés. Si c'était ça la punition, ce n'était pas trop grave, mis à part l'humiliation, mais heureusement il n'y avait que trois personnes qui l'auraient vue dans cette pose...
Malgré elle, Sophie se détendit et cessa de penser, laissant son corps apprécier le traitement qu'on lui infligeait. Lorsque Nathalie força l'anneau de ses reins, c'est à peine si elle sursauta, surtout que Martine venait d'atteindre son bas-ventre avec son outil diabolique.
Je regardais faire mes petits soldats pendant quelques minutes, puis, quand Sophie se mit à haleter - Martine appliquait alors très légèrement l'appareil de massage sur les grandes lèvres de son sexe - je jetais un coup d'oeil entre ses jambes, en dessous du gode que Nathalie fit coulisser avec une lenteur calculée dans le rectum de Sophie. Les sécrétions de la jeune fille étaient maintenant abondantes et quelques gouttes avaient déjà atterri sur la serviette imperméable qui protégeait la table entre ses genoux écartés.
Il était temps de commencer la punition...
Je fis signe à Nathalie et celle-ci prit un butt plug, un gode spécialement conçu pour l'anus: sa forme conique fait qu'on ne peut pas l'expulser par la force des muscles du rectum.
Je lui fis signe de continuer. Elle poussa une dernière fois le gode blanc dans le conduit étroit, le plus loin qu'elle put, puis le ressortit. L'anus resta ouvert quelques secondes, assez pour que Nathalie y enfonce son butt plug lubrifié. Comme celui-ci était beaucoup plus gros, Sophie cria de douleur, le sphincter brutalement étiré. D'un coup sec Nathalie enfonça
l'objet entièrement dans le rectum. Sophie suppliait d'arrêter mais déjà Martine intensifiait ses contacts avec son appareil de massage, stimulant la sécrétion d'endomorphines; bientôt une sensation bizarre et plutôt désagréable
avait remplacé la douleur.
Rouge de honte Sophie bougea son bassin tantôt vers l'appareil médical, frottant sa vulve d'une façon obscène contre l'embout vibrant, tantôt vers le gode anal, essayant de s'empaler dessus.
Nathalie activait la petite pompe de caoutchouc et la bulbe du butt plug se gonfla dans le rectum de l'adolescente. Sophie eut l'impression qu'elle devait très fort aller à la toilette et fit tout ce qu'elle put pour se retenir. Mais quand Nathalie pompa encore quelques fois, la pression contre la paroi anale devint si forte que Sophie ne put s'empêcher de relâcher ses muscles; au lieu de sentir le mouvement bien connu d'évacuation, la pression augmenta dans son rectum: le rebords du butt plug, gonflé jusqu'à avoir doublé de volume, empêchait l'éjection.
C'est ce moment que je choisis pour abattre la cravache une première fois. Au bord de l'orgasme, tiraillé entre la crispation de ses muscles intimes pour mieux sentir le vibromasseur et la relaxation de ses muscles fessiers pour
moins sentir l'énorme butt plug, Sophie eut un violent sursaut quand la morsure de la cravache dépassa de loin l'anesthésie de ses endomorphines. La cravache dessina une longue ligne rouge en travers des fesses blanches.
Martine applique l'appareil de massage directement sur le clitoris de la jeune fille qui se mit à haleter comme un coureur de fond.
Le deuxième coup de cravache dessina une ligne parallèle à la première. Son cri fut plus de frustration que de douleur: le choc l'avait écartée de l'embout vibrant de l'appareil de massage. Elle bascula son bassin en avant, jusqu'à ce qu'elle sentit à nouveau les vibrations contre son sexe.
Nathalie actionna la pompe à nouveau, au risque de déchirer l'anneau du sphincter. Martine et moi travaillaient en parfaite synchronisation: elle excitait Sophie jusqu'à ce que cette dernière ressente les premiers picotements du plaisir; au moment où la jeune fille retenait son souffle pour mieux arriver à l'orgasme, j'abattis la cravache de toutes mes forces sur son
derrière, alternant les fesses et l'arrière des cuisses.
Après le vingtième coup de cravache Sophie était comme folle. Les cheveux en lionne de trop avoir secoué sa tête, ses yeux rougis par les larmes de douleuret de frustration, elle balbutiait des mots sans suite où "s'il vous plaît, s'il vous plaît" revenait sans cesse comme une incantation païenne...
Je pris une longue latte en plastique souple - le modèle que les informaticiens emploient pour lire des listings de logiciels - et fit signe à mes petits soldats que c'était "l'hallali", qu'on allait "l'achever".
Martine pressa la tête vibrante sur le clitoris gorgé de sang, soulevant presque Sophie; au même moment Nathalie se mit à tirer sur le butt plug gonflé, amenant la partie la plus large - énorme - dans le muscle anal.
Sophie se mit à crier sans discontinuer et comme je l'avais prévu laissa couler son urine. Dès que Nathalie eut retiré entièrement le butt plug, je visai soigneusement et me mis à frapper de petits coups rapprochés en plein sur la chair gonflée de sa vulve, augmentant de force à chaque coup. Son orgasme en fut prolongé pendant d'interminable secondes. Le cri de bête
s'arrêta enfin, faute de souffle, puis elle s'effondra dans une mare d'urine, les fesses continuant à se crisper rhytmiquement comme des spasmes post-mortem.
Il lui fallut pres d'une demi-heure pour retrouver ses esprits. Entretemps mes petits soldats lui avaient enfilé une couche-culotte: le traitement que Nathalie lui avait infligé la rendait incontinente pour quelques jours. Comme la couche était du type super, les autres filles de sa classe verraient à la grosse bosse sous la jupe, que leur copine portait une couche. En plus, la
culotte de caoutchouc qui gardait le tout hermétiquement fermé, faisait un bruit bien caractéristique à chaque mouvement.
En voilà une qui ne fumera plus dans les toilettes...


- fin de l'épisode -
_© Charlène O. (octobre 2000)


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