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BM... W
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Auteur :  bibi [ lun. 23 mai 2011, 11:55 ]
Sujet du message :  BM... W

Bonjour à tous !
Je ne suis pas très assidu en ce moment, pas mal de choses à faire et ces journées qui ne font que 24 petites heures !
Un homme est venu chez moi il y a quelques jours (devinez pour quoi faire !); un mec très bien, et sous tous rapports !!!
Il a garé sa belle BMW dans la cour, en est descendu élégamment vêtu, et nous avons échangés les premières banalités d'usage.
Puis rapidement, l'usage veut qu'un homme chez moi me présente ses attributs; "J'en ai une belle, me dit-on.", m'avait-il modestement confié.
Et bien le monsieur avait une véritable œuvre d'art entre les jambes, du 5 étoiles NN.
Voilà, d'abord l'aspiration... je m'en suis délecté. Puis, une fois terminé, c'est l'inspiration qui m'a fait écrire ce texte.
Bonne lecture, et n’oubliez pas que la critique est constructive !


BM... 1
Généralement, c’est moi qui prends les devants : je quitte. Là, allongée contre moi, Gaby m’annonce avec sérénité qu’elle désire mettre un terme à notre relation, invoquant le fait qu’on n’ira jamais plus loin “nous deux”. Pour ma part, les choses étaient claires dès le départ, nous prenions du plaisir ensemble, et puis “nous verrons bien où cela nous mène !”. Aujourd’hui, il n’y a plus rien à voir, de toute évidence.
Ce petit bout de femme brune d’à peine 1,60 mètre au corps d’adolescente m’avait plu au premier regard. Son regard de braise, ses cheveux noirs aux reflets de geai la rendaient simplement irrésistible, je n’avais pas hésité longtemps pour l’aborder et lui faire la cour. Femme de caractère, ce n’est pas le premier soir que je l’avais conquise, ni le deuxième d’ailleurs. Chose originale, elle m’avait embrassé passionnément alors que je la déposais devant chez elle, justement à l’issue du deuxième rendez-vous. Ma main se posa alors délicatement sur son ventre plat, tout en savourant ses lèvres. M’imaginant déjà la découvrir quelques minutes plus tard, mes doigts remontaient lentement vers ses seins. Une fois que ma main fut parvenue à destination, elle me demanda si je bandais. A ma réponse positive, elle me dit alors : “Branle-toi, là, devant moi !” Déstabilisant, pour le moins, ce genre de demande. J’eus beau essayer de la convaincre de monter chez elle, ou bien de venir chez moi, rien à faire. Néanmoins, je m’exécutai, espérant… qu’elle change d’avis.
Le siège en bascule de quelques degrés, je dégrafai mon bénard, baissai mon caleçon, et ma queue bandée bondit hors de sa cage. Ses commentaires furent aussi hot qu’élogieux, puis de nouveau, elle m’intima l’ordre de me branler devant elle. Voyant qu’elle ne lâcherait pas, je me mis en branle de la main gauche, persuadé qu’en lui caressant le dos, ses lèvres viendraient à mon secours. C’est bien la première fois que je me branle au premier rendez-vous. Enfin, devant ma conquête, car en principe, c’est juste après lorsque l’on n’a pas pu conclure ! Ma main coulissait régulièrement sous le regard fixe de Gaby tandis qu’elle m’invitait à lui montrer ma jouissance. Elle consentit à poser sa tête contre mon torse, ce fut ma condition pour jouir, sous peine de tout remballer. Ses cheveux dans mon visage, je m’enhardis quelque peu, et c’est en l’étreignant fort contre moi que je lui balançai en plusieurs salves de mon plaisir en plein visage.
Ce n’est que le lendemain que je découvris son corps d’antilope, et ce fut également la dernière fois que mon sperme se perdit. Pour l’heure, c’est notre complicité qui s’abîme. Son désir de construire est plus fort que nos orgasmes, je peux le comprendre, et ne tente d’ailleurs pas de lutter : la coupe est fêlée, les dés jetés.
Comprenant que Gaby ne plaisante pas, je me lève, enfile mes vêtements, dépose un tendre baiser sur ses lèvres pulpeuses, et sans un commentaire, me retire dans la nuit, la mort dans l’âme. Une rupture, provoquée comme subie, est un échec, et il n’y a aucune fierté à tirer, seulement un enseignement, tout au plus. Le Cintra m’accueille royalement, étalant son tapis de zinc rien que pour moi, privilège réservé aux V.I.P. Pas une âme, on doit être proche de la fermeture. Le Canadian Club que me sert le barman me réconforte temporairement, la Camel brouille ma vue, et la musique d’ambiance me les brise menu. Au troisième Whisky, je me dis que noyer ma tristesse dans l’alcool ne m’apportera rien, et décide d’aller marcher dans la nuit. L’air cru me fait du bien, et au fil des rues, l’alcool m’apporte le réconfort salvateur. La nuit porte conseil, dit-on. Et c’est vrai même sans forcément dormir. Mes pas me portent à travers la ville endormie, et sans même m’en rendre compte, je me retrouve une fois de plus à l’orée de ce grand parc où les hommes aiment à se retrouver quand vient le soir.
Je me pose sur un banc, en allume une, et la ritournelle reprend : homme, femme, quand vas-tu choisir une sexualité et t’y tenir ? Le temps t’est compté, un jour tu seras seul comme un con, tu verras. Pas de famille, pas d’enfants, des manies de vieux… C’est casse-couille, une tronche, quand le compteur s’emballe. Et un homme seul est toujours mal accompagné…
- Je peux m’asseoir ? Putain, je ne l’avais même pas vu arriver, celui-là. J’acquiesce, il se pose à côté de moi, à la limite légale qu’un banc public tolère. Et il commence par la météo, alors que je n’ai rien projeté. Je suis victime de mes pieds ! Ce sont eux qui m’ont tiré jusque là !
- Ecoute, je ne suce pas, je ne baise pas, j’ai une toute petite bite, et ma copine vient de me larguer, je ne sais même pas ce que je fous là. OK ? Ca, c’est dit, il va se lever et partir.
- Désolé. La mienne aussi, elle s’est barrée. Je me sens con, mais alors con… lâche-t-il.
- Désolé, dis-je en me sens sentant idiot d’avoir été si brutal. Il y a longtemps ?
Un mois, m’affirme-t-il. Et ce soir, il s’est dit que peut-être il rencontrerait un mec sympa pour passer un moment, qu’il en avait assez de partager ses larmes et ses branlettes avec sa boîte de Kleenex. Le temps qu’il m’explique son cas, je le dévisage un peu. 40 ans, bonne gueule, jean et chaussures de cuir, un superbe blouson “fleur de cuir”, ce n’est pas un indigent. Ses phrases sont formées, il sait s’exprimer, et il est direct, au moins. Puis il me demande ce qui m’est arrivé... même si je ne baise pas, ni ne suce. Il a de l’humour, au moins. En évoquant mon dernier rapport avec Gaby ce soir même, il me qualifie de veinard, que ses besoins ont toujours été importants, et que ses burnes lui remplacent presque le cerveau. Et à brûle-pourpoint, il me demande si j’ai déjà essayé avec un homme. Il a de toute évidence faim, et ne perd pas de temps.
- Disons que ce n’est pas la première fois que je me retrouve là. Et toi ? ne désirant pas abattre toutes mes cartes d’un coup.
- Au lycée, avec un copain. Il m’a sucé quelques fois, je l’ai branlé un peu, mais il en avait une toute petite, c’était frustrant. Et une autre fois il y a quelques années, un mec m’a abordé sur un parking et m’a divinement sucé, le pied total. Et ce soir, je t’ai vu arriver, je me suis dit que tu ne devais pas être une folle, tu n’as pas l’air… louche. me livre-t-il en massant son entrejambe.
- On a une chose en commun : on n’aime pas les petites bites ! dis-je avec ironie
- Ma femme m’a toujours dit que j’en avais au moins pour deux, risque-t-il alors, un peu décoincé. Ma bite aurait bien besoin d’un peu de compagnie, ce soir. Tu… veux la voir ?
Je m’approche un peu de lui tout en disant que je n’ai pas trop la tête à la bagatelle, posant ma main sur sa bosse d’un geste quelque peu désinvolte. Il s’avère tout de même que ce premier contact est fort sympathique, “ça” a l’air bien dodu ; une verge très dessinée irradie ma paume d’une douce chaleur. Bien que peu enclin à un banal plan qui se bornerait à une petite pipe derrière un buisson, là… je lui propose de nous isoler dans sa voiture, même si la nuit est calme. Il suffit que je me penche sur lui pour que quelques excités déboulent comme des mouches, et j’argumente sur le fait que son jouet semble mériter un peu plus d’intimité. Il accepte sans hésiter, mais me confie avoir tout autant le trac que l’envie, et s’excuse d’être un peu puceau sur ce coup. Nous faisons quelques pas en nous rapprochant du parking, ce qui me permet de jauger sa démarche, et de voir que nous faisons la même taille. Sortant ses clefs de sa poche, il bipe et c’est un superbe coupé BMW qui répond à l’appel. Je siffle d’admiration alors qu’il m’invite à monter côté passager. Les portes refermées, je lui propose de prendre la route vers la montagne. Nous pourrons alors discuter en roulant et voir autre chose que le cul des voitures. Dans un feulement, la voiture s’ébranle…
Tout en enchaînant les virages, Jérome me parle de sa femme, de sa beauté, de son corps… et m’explique que son boulot l’a tellement accaparé ces 2 dernières années, qu’il ne s’est pas rendu compte à quel point elle s’ennuyait. Et à l’approche des 40 ans, une femme a besoin de plaire, d’entendre qu’elle est désirable… Un “ami” est passé par là, appliquant le vieux dicton à la lettre : la femme d‘un ami, c’est sacré. Elle passe avant les autres ! Et tout est allé très vite. Trop vite. Il est rentré un soir après 3 jours de déplacement, elle était partie avec toutes ses affaires. Sur la table, une lettre coincée sous une bouteille de vin… l’effondrement.
Je l’invite à se garer sur un parking situé sur les hauteurs. De là, nous avons une vue magnifique sur toute la ville, et ce n’est pas à une telle heure de la nuit que l’on viendra nous casser les pieds, ni les couilles d’ailleurs. Sur un fond musical sympathique, je me permets de lui demander pourquoi un beau mec comme lui ne cherche pas plutôt une nouvelle copine, ou ne se paie pas les services d’une professionnelle, et vient chercher du sexe dans un endroit aussi glauque que ce parc ?
- Depuis cette superbe pipe que ce mec m’a fait vivre, j’ai un petit goût d’inachevé, l’impression de louper quelque chose d’enrichissant. Avant de me consoler dans les bras d’une autre femme, il va falloir que j’oublie la mienne, c’est trop frais, il me faudra du temps. Et puis le cul d’une femme, ça, je connais ! Un homme, ce n’est pas la même chose. Enfin, j’imagine ! C’est plus physique, moins cérébral, plus pour le sexe, je pense, enfin… j’espère ! Et pas la peine de lui faire la cour des heures durant pour finir avec une fille qui ne suce pas ou ne sait même pas te rouler une pelle. Et puis j’aimerais beaucoup goûter le sexe d’un homme, savoir ce que cela fait de sucer.
- Tout un programme ! Mais j’ai fait l’amour juste avant de te rencontrer, je ne vais pas te la proposer. Par contre, j’ai beaucoup aimé ce que j’ai senti dans ton pantalon, assis sur le banc.
- En revanche, moi je suis propre ! Tu ne suces vraiment pas ? risque-t-il timidement. Il est carré, franc, et a besoin d’attentions particulières, le personnage est attachant. Lentement, l’envie de mettre un goût sur le sexe dont ma paume a deviné les contours vient “gratter” le bout de ma langue.
- Il ne faut pas écouter toutes les légendes urbaines, et encore moins y croire lorsque vient la nuit. J’accepte de me pencher sur ton cas. Montre-la moi vite. dis-je en retirant mon blouson pour être plus à mon aise.
Il recule son siège et d’instinct, s’allonge pour que je puisse m’occuper de lui plus aisément. Il dégrafe sa ceinture, déboutonne son pantalon, puis relève également sa chemise. Même s’il s’agit d’une pipe en voiture, un peu de sensualité ne nuit pas, je ne veux pas spécialement l’essorer en quelques secondes. Ma main glisse dans l’ouverture et rencontre une belle grosse bébête ainsi qu’une solide paire de couilles, confirmant que je ne devrais pas m’ennuyer. Naturellement, ses fesses se soulèvent et de ses doigts, il descend son pantalon jusque sur ses chevilles. Ainsi libre de ses entraves, il écarte de lui-même ses jambes, s’offrant ainsi à mes yeux habitués à la pénombre, révélant pleinement la beauté de son solide sexe. Son torse puissant et son ventre plat quasiment imberbe se terminent sur quelques poils pubiens entretenus, juste au-dessus d’une belle verge renflée. Ses lourdes et volumineuses couilles sont parfaitement en rapport avec sa queue, il dispose d’un sérieux matos, une belle arme, bandée au 3/4, le gland presque recouvert par un prépuce qui semble ronger son frein pour libérer toute l’artillerie. Sa queue est à l’image de sa voiture, c’est une belle cylindrée ! Ma main droite vient malaxer ses belles grosses boules alors que la gauche traverse son abdomen juste au-dessus du pubis, mes lèvres lui chuchotant que son corps est passionnant, qu’il me donne envie de le goûter, de le sucer.
- Putain… je sais que je ne vais pas tenir longtemps, j’en ai trop envie. Suce-moi, s'il te plaît. Suce-moi vite, j’ai les burnes qui vont exploser tant elles sont pleines.
Comprenant l’imminence de la situation, je le maintiens par la base tandis que ma bouche se pose sur l’énorme bonbon que forme son bout en pleine croissance, et descend en le décalottant, ce qui lui arrache un gémissement si caractéristique de l’abandon, ou de l’aboutissement. De la langue, je découvre la douceur de son beau gland, m’attardant longuement sur le frein, ma main cajolant toujours ses testicules. La bouche pleine de salive, je dévale l’épaisse hampe en de lents va-et-vient langoureux, gagnant quelques centimètres à chaque aller-retour, pour souvent remonter lécher son gros nœud maintenant en pleine érection. Sa solide queue occupe complètement l’espace, plus j’en avale, plus il en pousse ! Et, bien que je ne sois pas parti pour une aventure ce soir en traînant mes guêtres dans ce foutu parc, je ne regrette pas ce qui coulisse dans ma bouche en ce moment. Jérome bande maintenant comme un cerf, mes lèvres le parcourent avec appétit, prenant autant de plaisir à le sucer qu’à l’entendre me dire qu’il va hurler tellement je lui fais du bien.
Il ne tiendra pas, c’est une évidence, mais cela n’a aucune importance. Ma fellation est douce, régulière, jouant cycliquement de la langue sur son gros gland dur, massant ses belles couilles pour bien les stimuler, et veillant à bien pomper sa hampe en l’aspirant fort pour la comprimer. A peine sept ou huit minutes de ce traitement suffisent. Il me crie de faire attention car il va jouir, pensant probablement que je me vais me retirer pour le finir à la main ! Il est vrai que nous n’avons pas parlé des modalités avant, mais avec le plaisir que m’apporte une telle queue, il est hors de question pour moi de gâcher l’instant et de ne pas le laisser venir entre mes lèvres. Je garde le même rythme langoureux et le sens se tendre, se gorger de sang. A l’instant où son bassin part vers le ciel, le majeur de ma main droite lui presse le scrotum tout en conservant ses burnes dans ma main. Ma main gauche enchâsse fermement la base de sa longue hampe, alors que de puissantes ondes le parcourent. Son sperme me claque dans la bouche, brûlant, fougueux, goûteux, en de longues giclées que je m’empresse d’avaler. De nombreuses secondes, il jouit ainsi, violemment, semblant aussi incapable d’arrêter de crier son plaisir que de disperser son abondante semence, comme s’il déversait d’un coup entre mes lèvres l’excès de sa solitude forcée.
Comme à mon habitude, je raccompagne sa belle verge dans sa retraite, le léchouillant gentiment pendant qu’il se détend, avant de gober ses belles couilles pour les remercier du sperme qu’elles viennent de me donner. Son goût de mâle se combine alors à celui de son nectar, laissant à jamais son empreinte intime gravée dans ma mémoire. Délicatement, de la pointe de la langue, je parcours sa grosse bête maintenant au repos sur son ventre, baise son gland, et me redresse silencieusement, tandis que la radio lance “Have a drink on me” d’AC/DC. Ironie ? En tous cas, le plaisir de l’avoir fait jouir, et dégusté.
- Je… je ne m’attendais pas du tout… à un truc pareil. Je pensais… je ne sais pas, moi... que tu me finisses à la main ! Oh le pied que tu m’as fait prendre ! C’était génial. Je ne suis pas ton premier mec, c’est clair.
- Si, si, je t’assure. Tu es le premier… de la journée ! Tu sais, je viens de me prendre un râteau, et je ne pensais pas du tout me retrouver entre les jambes de quelqu’un en déambulant dans les rues. Ni homme, ni femme. J’étais plutôt parti pour prendre une cuite, seul, dans un bistrot.
- Y a pas d’alcool dans mon sperme, je te le garantis, tu peux y aller tant que tu veux !
- Tu as une queue formidable et un sperme délicieux, je pourrais te sucer toute la nuit ! Tu as exactement le genre de calibre que j’aime prendre entre les fesses. J’aime les larges pénétrations, être rempli en douceur. C’est comme si ça ne s’arrêtait jamais, on a le sentiment de goûter à l’éternité.
- Heureux qu’elle te satisfasse. Wouahh, tu m’as fait décoller. Tu es complètement bi ?
Sans trop lâcher son sexe, me voilà parti à lui expliquer mon amour pour les deux sexes, ma propension à pouvoir prendre du plaisir avec un homme lorsque son sexe me plaît, lorsqu’il est propre et sympathique, acceptant sans aucun problème qu’il me sodomise lorsque “le courant passe bien”, et que sa bite est éligible à l’acte. Sucer, baiser, avaler, mais pas de pelles avec un mec ! Nous discutons ouvertement, et il n’hésite pas à me questionner sur mon ressenti, ce que m’apporte le sexe d’un homme, si je suis viril lorsque je suis avec une femme, si la sodomie est douloureuse. Il m’avoue ne jamais avoir pris une femme par derrière, que son épouse lui avait toujours systématiquement refusé ce plaisir, alors qu’elle adorait pourtant le sexe en général. Rien d’étonnant lorsque l’on découvre le calibre de la bête, c’est du XXXL, et peu de femmes raffolent de ce genre de jouet dans le croupion. Les mecs sont plus téméraires, ou plus masos ? !
A un moment, nous sortons en griller une, tous deux appuyés contre son capot de voiture, les lumières de la ville s’étalant à nos pieds. De compagnie agréable, nous refaisons le monde, nous sommes bien là, à prendre le frais, et je le lui fais remarquer.
- Euh… tu m’as beaucoup soulagé ! ironise-t-il. On y prendrait vite goût !
- Tu prêches un convaincu. Le foutre d’un homme, si tu aimes, tu ne peux plus t’en passer. Sucer, ça devient une addiction, c’est un peu comme pour les vampires. Sucer sans aller jusqu’au bout, sans avaler, ou tout au moins laisser mon amant s’oublier entre mes lèvres, finalement, ne m’apporte pas grand chose. Et pour peu que la queue soit belle...
- Tu me fais bander rien qu’à t’entendre en parler. Tu peux me sucer encore un peu, s'il te plaît ? Cette fois, je devrais tenir un peu plus longtemps, si tu veux…
- Quoi, si je veux ?
En guise de réponse, sa main vient me peloter les fesses, me faisant comprendre que tirer un petit coup... Décidément, ce mec commence à bien me plaire, et je réalise que depuis que je suis en sa compagnie, Gaby ne me manque pas du tout. C’est incroyable, ce don qu’ont certains mecs pour occuper l’espace !
Pour toute réponse, je dégrafe mon pantalon, le fais glisser avec mon caleçon pour le retirer.
A poil au beau milieu de la nuit sur un parking à quelques dizaines de mètres de la route, mon côté provoc prend le pas, la situation, tout comme la belle bite de Jérome, m’excite.
- Tu es un chaud, toi ! me lance-t-il en débouclant sa ceinture, satisfait de mon acquiescement. Je me penche sur lui alors qu’il dégrafe son pantalon, et sa belle queue luisante se retrouve livrée à la lumière lunaire. Ma main la lui agrippe et ma bouche ouverte l’engloutit jusqu’aux couilles d’une seule traite. Lui, c’est ma tête qu’il attrape, appréciant mon enthousiasme, et son autre main vient caresser mes fesses libres d’accès. Toujours sensuellement, je pompe son gros sexe gonflant rapidement entre mes lèvres, veillant bien à l’honorer sur le plus de longueur possible. Ma langue joue allègrement lorsque je n’ai plus que son gland en moi, je l’aspire fort pour lui “tirer le sang à la tête”. Ses petits cris de satisfaction me parviennent à peine tant la tâche m’absorbe, et ses doigts qui découvrent un nouveau terrain de jeu m’émoustillent. Ils ne tardent pas à m’investir le rectum, à en tester la souplesse, l’élasticité. Qu’elle est bonne, sa bite, bien renflée, volumineuse, son gros gland lisse tendre comme un énorme bonbon en gélatine…
Alors que sa bonne barre bien humide de ma salive martèle mon visage, j’aspire une à une ses boules fermes, n’hésitant pas à les “remorquer” un peu pour bien l’aguicher, puis passe un bras entre ses jambes pour venir lui pétrir les fesses, tout en lui disant que sa queue me plaît, qu’il devra décharger au moins autant que tout à l’heure, que je n’aime pas les “petits joueurs”, qu’il ne fasse pas semblant de bander lorsqu’il va me la mettre. Je lui mords maintenant la hampe en parcourant sa raie du plat de ma main, et sens bien au travers des soubresauts de sa bite que cette caresse ne lui est pas indifférente, je m’attarde vers son anus et le masse en appuyant mon index et mon majeur réunis, sans toutefois chercher à le pénétrer. Lui ne s’en prive pas, me doigtant de plus en plus intensément. Mon cul se réveille, réalisant la potentialité de ce qui circule entre mes lèvres, et le plaisir que cette bite va lui procurer ! C’est son gland qui me pénètre de nouveau jusqu’aux amygdales, large au possible, gonflé à bloc. Cette pine me fait trop bander, il me la faut. Sa bite est enflée, ma bouche est grande ouverte, et il me traverse le crâne, je suis prêt.
- Ta queue m’excite, j’ai trop envie que tu me prennes. Elle est si grosse, j’adore ça ! Tu vas me « gabariser ».
- Ca risque rien, tu es sûr ? Et si quelqu’un arrive ?
- On sera plus nombreux ! Et toi, tu risques de me faire jouir très fort ! Laisse-moi faire, ne jouis pas trop vite et tout ira bien. Viens !
Je me mouille les doigts et m’enduit l’anus de ma salive. Ce qui est pratique, c’est que lorsque l’on suce, au bout d’un moment, la salive s’épaissit et devient un peu gluante, remplaçant agréablement tout lubrifiant, j’y ai souvent eu recours. Je m’en masse très fort les bords de mon trou pour bien l’assouplir, il en aura besoin.
Par expérience, je sais que lorsque j’ai vraiment envie de me faire prendre, je peux y parvenir à sec, avec un minimum d’excitation. Bavant copieusement sur son gland le temps de quelques aller-retour et je me redresse, prêt à me livrer.
- J’ai trop envie de la sentir me traverser le ventre. Viens vite me la mettre.
Sans perdre de temps, je me tourne et prends appui sur le capot tout en saisissant la lourde queue de Jérome pour l’attirer entre mes fesses. Le contact mouillé de son gland contre mon anus établi, je le promène circulairement plusieurs fois en lui demandant de bien s’enfoncer en moi, puis le place juste à l’entrée de mes reins.
- Vas-y, viens en moi, écartèle-moi. Viens jouir en moi, fais-moi hurler.
D’instinct, ses mains me saisissent aux hanches et déjà ses reins le propulsent délicatement vers moi. Mes mains écartent mes fesses au maximum, et son gland repousse enfin mon sphincter. Je pousse pour bien m’ouvrir en reculant par petits coups légers vers lui pour bien lui faire comprendre qu’il doit plonger graduellement. Son bout bien gluant de salive me pourfend et ma main se saisit de sa queue pour l’immobiliser quelques instants.
- Je ne te fais pas mal ? s’inquiète-t-il alors. Tu es tellement serré !
- Non, c’est toi qui es surdimensionné, je prends juste le temps de m’ouvrir à ta queue. Viens, encule-moi maintenant. Mets-la moi.
Je sens ses doigts me serrer les hanches, et sa barre coulisse en moi timidement. Ma main se pose à plat contre son pubis, et chaque fois que j’ai besoin qu’il recule, une simple pression le lui fait comprendre. Avec beaucoup de délicatesse malgré l’embonpoint de son membre, Jérome investit mes reins, et ses commentaires en disent long sur le plaisir qu’il “en tire”. Sa large queue me procure un plaisir fou en distendant mon trou au maximum alors que ses couilles sont encore loin derrière.
- Viens, prends-moi, entre en moi ! Ta queue est faite pour mes fesses, enfonce-toi bien profond, fais-moi jouir. Je veux que tu jouisses en moi, que tu m’inondes de ton foutre, brûle-moi de ta semence.
Mon invitation le motive, et en quelques coups de reins, le voilà planté jusqu’à la garde. Qu’il est gros, long, chaud comme un fer rouge. Ses couilles dans ma main, je l’attire en moi en lui disant de ne pas me ménager, de m’enculer sérieusement, de penser à son plaisir avant tout. Lui me dit qu’il se sent bien en moi, que je suis profond, qu’il ne pensait jamais pouvoir toute me la mettre, et qu’il ne tiendra pas aussi longtemps qu’il le voudrait tant il est serré entre mes fesses.
Je place un genou sur le capot et m’allonge de tout mon long, offert au maximum. Ses bourses viennent lourdement s’écraser contre mes fesses à chaque plongée, m’arrachant des râles de plaisir. Il me calibre avec régularité, me faisant grimper au rideau avec une incroyable rapidité, certainement parce que je le désire véritablement.
- Tu me baises bien, tu sais déjà comment faire pour me faire vibrer. J’aime les grosses queues, et la tienne est si bonne... vas-y, vide-la en moi, décharge entre mes fesses, donne-moi tout !
Est-ce parce qu’il a mon assentiment ? Toujours est-il que ses râles s’intensifient, et il me dit qu’il ne va pas tarder à jouir, de me tenir prêt. Ma main passe sous moi pour venir agripper ses burnes en répétant de me la mettre plus fort, de me remplir le cul de sa queue et de son foutre. Soudain, il s’accélère la cadence et plante d’un coup son dard au plus profond de mon ventre, ses couilles s’écrasent contre le bas de ma fesse; d’intenses soubresauts parcourent sa hampe, son gland me dilate les intestins, il me semble être juste derrière mon nombril tant il est en moi. Raide en moi, il palpite et m’envoie d’énormes giclées de sperme, généreux comme lorsqu’il a joui dans ma bouche un peu plus tôt. L’intense chaleur qui caractérise les éjaculations “inséminantes” traverse agréablement mon ventre, m’inondant de foutre, certes, mais surtout de sérénité, de bonheur. Toute aussi copieuse que la première, l’éjaculation de Jérome me comble de ce plaisir indicible que seuls celles et ceux qui aiment recevoir le sperme de leur amant peuvent comprendre. C’est comme une onde de choc, une décharge électrique, à laquelle se mêlent le plaisir d’offrir à celui de recevoir, mix de goûts et de sensations extrêmes. Et faire jouir un homme, dans sa bouche comme entre ses fesses, c’est recevoir un véritable cadeau.
Totalement immobile en moi, le temps semble s’être arrêté pour Jérome, il savoure son orgasme, le premier entre mes reins, et j’espère déjà qu’il voudra bien réitérer ce délicieux voyage avec moi. Usant d’intenses petites contractions, je le cajole en moi tout en le sentant doucement débander. Lentement, il recule, entraînant son sabre glissant hors de moi. Sans un commentaire, je me glisse à ses pieds, porte une main à ses bourses, tandis que l’autre saisit sa lourde hampe mollissante à la base et remonte vers le gland pour récupérer les dernières gouttes que contient son urètre. Ma langue cajoleuse vient les recueillir directement sur son méat, puis mes lèvres se referment autour de lui pour le nettoyer avec beaucoup d’application. Son délicieux goût parvient ainsi à ma bouche alors qu’il s’y repose, sa belle queue débandant lentement sous mes tendres coups de langue. Comme presque à chaque fois, je n’arrive pas à rendre un sexe qui m’apporte tant de plaisir.
Tout en me redressant, je pose ma main sur ses belles couilles en lui disant qu’il m’a beaucoup réconforté ce soir, qu’il m’a donné ce dont j’avais besoin, alors que je pensais n’avoir besoin de rien. Maintenant, s’il le désire, nous pourrions nous revoir…
Alors qu’il me redescend en ville pour me déposer vers ma voiture, je sens sa semence glisser en moi. Le remerciant pour la qualité et le volume de ses éjaculations, je lui demande s’il réagit toujours ainsi. Il avoue avoir “une certaine facilité”, et c’est ainsi qu’une fois arrivés à destination, Jérome me redonne sa belle verge à sucer. Son siège en couchette, c’est sous l’œil attentif d’un mec en quête de sexe venu voir “qui débarquait” qu’il décharge encore une fois entre mes lèvres gourmandes en me traitant d’insatiable. Remis de ses émotions, les couilles enfin vides, nous échangeons nos coordonnées. Nous convenons de “faire quelque chose” dès vendredi soir. Cela nous laisse deux jours pour nous reposer.


BM... 2

Une…, deux…, trois…, quatre…, cinq…, et une sixième ! Son énorme gland pulse au rythme de son cœur entre mes lèvres distendues, alors que mes papilles découvrent le délicieux nectar que vient de me verser Jérome à l’heure du goûter. “Je ne tiendrai pas la longueur si tu ne me soulages pas un peu avant de partir ! Je me connais, le premier coup part vite en général. J’ai toujours faim !” s’est-il inquiété lorsque je lui ai proposé ce plan à trois. C’est donc “tout naturellement” que je lui ai demandé de venir me récupérer chez moi, que je le sucerai pour le calmer juste avant d’y aller, de manière à ce qu’il soit ainsi plus serein pour la suite. Lorsque je lui ai ouvert la porte, il avait déjà déballé sa belle poutre bandée à tout rompre et ses lourdes burnes, et me dit en la faisant sautiller :
- Je ne voulais pas arriver les mains vides, et ne savais pas si tu aimais les fleurs, j’ai pensé que tu préfèrerais ça.
- Et comment !
Sa grosse queue finit à peine de palpiter, mes lèvres se font toutes douces autour de son épaisse hampe, l’accompagnant vers son déclin, satisfait d’avoir eu la primeur ce soir. Que le sexe d’un mec est bon ! Celui d’une femme est exquis, tendre, délicat, subtil, cette cyprine qui vient nourrir un bon cunnilingus, mes doigts qui se mélangent à ma langue pour le butiner… Mais avoir les lèvres distendues par un énorme pieu goûteux, impétueux et, qui plus est, in fine… me dispense généreusement sa crème avec fougue, je ne pourrai jamais y renoncer.
Ma mission est accomplie, il pourra se contenir plus facilement pour la suite. Alors qu’il se rince le gland sous le robinet de la salle de bain, je souligne le fait que j’ai trouvé son sperme meilleur.
- Je mange plein de fruits depuis trois jours et carbure au jus de pomme. A chaque gorgée, je pense à tes lèvres autour de ma bite ! Ce que tu suces bien ! On est obligés d’y aller ? sourit-il.
Pas de mérite, avec un pieu de cette qualité. Je pourrais le pomper dix fois par jour. J’attrape une bouteille de champagne dans le frigo, et nous filons. Tout en roulant, il me demande si TOUT sera possible, comment il doit se comporter vis-à-vis de moi… Avec Sophie, nous nous connaissons depuis des lustres. Elle sait tout de ma bisexualité, sur le fait que j’aime autant les femmes que le sexe des mecs, nous n’avons rien à cacher. Je lui ai déjà raconté notre rencontre. On couche parfois ensemble lorsque l’on n’a personne, ou que cela nous prend, mais surtout, nous nous racontons souvent nos “plans” respectifs. Depuis longtemps, elle voulait voir comment deux mecs s’emboîtaient, mais cela ne s’était jamais fait. On ne pourra plus le dire tout à l’heure.
Ce mec est vraiment cool, bien de sa personne, souriant, et… BM ! J’ai vécu énormément de rencontres entre hommes, mais il faut tout de même avouer que celles qui se “reconduisent” en mode régulier sont souvent celles qui ont un certain standing. Peut-être aussi parce que je n’adhère pas du tout aux rencontres de type “barbaques”, caves et autre garages d’immeuble, même si baiser avec 2 ou 3 mecs ne me dérange pas. Mais je ne vais pas dans les traquenards à risques, et préfère de loin trois costumes à trois survêtements.
Sophie nous reçoit avec un grand sourire, vêtue d’une magnifique robe de soirée qui ne cache pas grand-chose de ses magnifiques courbes. Cette jolie brune de 32 ans est ce que l’on appelle “une belle plante”, d’un naturel avenant, toujours en pleine forme. Ses yeux verts pétillent, son visage est angélique, une bouche pulpeuse arbore une dentition irréprochable, une véritable invitation à la débauche.
- Ainsi le voici, ce beau garçon dont tu me vantes les mérites ! Heureuse de faire ta connaissance. On peut se faire la bise, ce sera plus cordial ! Entrez vite, les garçons, nous n’allons pas passer la soirée sur le pas de la porte, nous avons certainement mieux à faire, n’est-ce pas ?
Alors que nous sommes assis devant nos coupes de champagne, Sophie rentre dans le vif du sujet, en demandant à Jérome comment il vit cet “aspect de la sexualité”, tout en le mettant très à l’aise sur le fait que beaucoup d’hommes en usent et en abusent sans le faire d’une façon “ouverte”. Elle rajoute pour préambule que je n’avais visiblement pas eu à trop insister.
- Disons que c’est un peu bizarre. Ma femme m’a jusque-là plus que comblé, et mes expériences de lycéen n’étaient qu’un lointain souvenir, quelque chose que “l’on a fait”. Une tentative fructueuse il y a environ cinq ans m’a fait revenir beaucoup de choses à la surface, mais tromper ma femme ne me tentait pas du tout. Là, depuis plus d’un mois de solitude… c’était l’occasion d’essayer… et j’ai donc rencontré Max il y a 3 jours, hyper cool et… aussi doué que persuasif.
- Et alors ? C’était bon ? s’impatiente la dame, les yeux pétillants.
- Et alors j’ai pris un pied incroyable, je n’aurais jamais imaginé que ce soit aussi… aussi cool, aussi simple. Désolé, ça me gêne d’en parler devant une si belle femme que toi, mais il m’a fait jouir aussi bien qu’une femme. Je pense que j’ai un côté bi à…
- Découvrir? Exploiter ? Sois à l’aise, j’aime bien faire l’amour avec une femme de temps en temps, et je ne le vis pas comme une tare.
- Si un mec devait être mal ici, c’est bien moi ! m’empressai-je de dire pour décomplexer les choses. Mais tu vois, j’aime la vie et ses plaisirs. Et dans une situation telle que ce soir, je serais incapable de choisir entre Sophie ou toi pour avoir du plaisir, car je suis capable d’en prendre autant d’un côté que de l’autre, ce n’est qu’une question d’adaptation qui ne me cause pas problème : j’aime les deux sexes, point barre. Les fesses de Sophie, ou la queue de Jérome… et bien je prends les deux.
- Gourmand, va. Par qui tu commences ? s’inquiète faussement notre hôte.
- Viens t’asseoir à côté de moi, que je puisse choisir. lui intimai-je.
Afin de bien démontrer que les choses sont bien claires, elle me rejoint et vient poser ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser. J’envoie ma main droite malaxer l’entrejambe de Jérome, et alors que sa langue fouille ma bouche, la belle me masse le sexe, donnant le coup d’envoi de cette soirée. La main de Jé’ vient rejoindre celle de So’ pour me peloter le “3 pièces”, et de concert, leurs dix doigts me débouclent la ceinture, ouvrent mon pantalon, et en un rien de temps, me voilà nu à leur merci. Une main féminine me branle doucement, alors qu’une autre, plus large et ferme, découvre mes couilles. De mon côté gauche, je retrousse la robe de ma belle branleuse et glisse mes doigts vers son string, tout en sentant le sexe de mon amant grossir dans son pantalon. Je m’empresse de le dégrafer, et révèle à la lumière son imposante virilité.
- Tu n’as pas exagéré lorsque tu m’as dis “plutôt très très bien monté” ! s’exclame Sophie en découvrant la bête. Elle est magnifique, je veux la même pour Noël !
- Tu comprends maintenant toute l’ampleur de mon problème, chère Sophie.
Mon pantalon retiré, je me lève, fais face à mes deux amants pour retirer la robe de Sophie, libérant ses jolies seins nus que je caresse tendrement. Mais la belle attrape la grosse queue raide de notre troisième larron et lui demande de s’approcher d’elle.
- Viens vers moi, on va le sucer ensemble, tu vas voir comme c’est bon un homme à deux. Ca va te donner envie que l’on te fasse pareil.
Très à l’aise, il retire d’abord calmement ses vêtements, alors que So’ me prend en bouche avec beaucoup de tendresse. Assis à ses côtés, Jérome pose une main aux abords de sa petite chatte alors que de l’autre, il lui prend un sein à pleine main. La réciproque est immédiate puisqu’elle lui reprend sa verge également, gloussant à son contact tout en s’activant régulièrement sur ma virilité. Les pointes de ses seins dressées, elle délaisse quelques instants ma verge, embrasse passionnément Jé’ à pleine bouche, et l’invite enfin à me sucer. Contre toute attente, il s’exécute sans sourciller, laissant glisser ses lèvres sur ma hampe. Sophie plaque sa joue contre lui et me gobe les couilles, puis profite que son comparse “débouche” pour prendre ma hampe par le côté, ses yeux dans ceux de son voisin. D’une main sur chacune de leur tête, j’oblige Jérome à revenir me sucer, et leurs lèvres se rencontrent soudain, unies de part et d’autre de ma queue pour une caresse d’une grande sensualité. Sans se concerter, c’est leurs langues qui maintenant m’astiquent le gland en binôme.
Il prend visiblement beaucoup de plaisir à l’ouvrage, et sa main se pose désormais sur ma fesse, ses doigts écartant mes globes, sachant très bien ce qu’il cherche. So’ ne perd pas non plus le Nord puisque sa main vient écarter mon autre fesse, et qu’elle l’invite à me préparer doucement pour “la suite”. C’est ainsi que mon amant plonge un doigt inquisiteur dans mon anus et prend mon gland seul en bouche, m’enculant tout en me suçant. Il me faut des couilles en béton armé pour ne pas décharger sur le champ, surtout quand un doigt féminin vient grossir les rangs en se plantant en cadence dans mon intimité, soucieuse de bien m’ouvrir. Elle veut de l’action, la miss. Moi aussi, je veux devenir actif.
- Arrêtez, je vais jouir comme un puceau si vous continuez à ce rythme, c’est dommage. Je voudrais me réserver pour jouir par tes assauts tout à l’heure. Là, j’ai envie de vous lécher et de vous sucer tous les deux en même temps.
Jérome a sa queue plus que jamais dressée vers le ciel, assis sur le canapé, et So retire son string en effectuant quelques caresses sur sa fente juteuse à souhait avant de le chevaucher et de lui donner ses seins en pâture, la croupe projetée en arrière, sa choupinette venant amoureusement narguer son gland turgescent. De ses doigts perdus dans les cheveux de son amant, elle pousse sa tête et ses lèvres vers ses seins et l’oblige à les lui lécher Une de mes mains soupèse les lourdes bourses pleines de son précieux jus, l’autre saisit la base de son vit et le fait glisser le long des lèvres de l’amazone qui se trémousse en implorant verbalement la présence de ma langue.
Sa délicate mouille inonde ma bouche à peine mes lèvres posées à l’entrée de son vagin. Son bouton d’amour solidement entrepris par le nœud de Jé’, ma langue plonge dans son intimité et en lape son élixir, puis redescend lécher la base du gland pour mieux revenir vers son vagin. Tout ce que j’adore concentré au même endroit, mes deux trésors… mes deux passions. Je reste un moment à dévorer ses lèvres, remontant jusqu’à cet anus que j’enculerai certainement un peu plus tard, puis tire la grosse queue de sa caresse clitoridienne pour la pomper royalement, la croupe de Sophie ondulant dans mes cheveux.
- Vous êtes diaboliques, tous les deux, s’exclame Jérome. Comment voulez-vous que je tienne si vous me chauffez de la sorte.
- Qui t’oblige à te retenir ? lui susurre la miss. Jouis quand tu le veux, il n’y a aucune obligation de résultat, nous faisons juste l’amour, c’est tout.
Je voudrais bien le garder en moi et le faire jouir ainsi, mais ce ne serait pas très fair-play de ma part. Après quelques coups de bouche, je lèche de nouveau la belle fontaine, y plantant ma langue goulûment, puis place la verge dure et gonflée juste sur la petite fourchette de l’entrée.
Comprenant le message, ma complice se laisse lentement tomber pour s’empaler sur ce mât brûlant par petites ondulations. Serrant toujours fermement ses couilles et sa queue à la base, je lèche tantôt la réunion des lèvres écartelées, tantôt son épaisse hampe, vivant cette pénétration en direct. Tel le diaphragme d’un appareil photo, l’anus de Sophie s’ouvre et se referme sous mes yeux, le rendant irrésistiblement accueillant. Je m’y attarde longuement, y insinuant ma langue de plus en plus loin. Elle est déjà prête de ce côté là, même sans aucune préparation préalable, je connais les lieux.
- Ce qu’elle est épaisse ! Tu sens comme tu m’écartes? Tu me sens autour de toi ? Viens en moi, je veux sentir ton gros bout au milieu de mon ventre, juste à côté de la queue de Max.
Sa petite chatte digère l’objet graduellement. Comprenant l’invitation, je me redresse, passe une main entre eux pour que mes doigts puissent caresser son clitoris, et place mon gland contre sa porte arrière. Penché contre son dos, mes dents mordillent son épaule au niveau des trapèzes, et sans plus attendre, je m’introduis en elle, mon nœud glissant contre la hampe de mon “rival” au travers de la mince couche de tissu qui sépare ces deux orifices distincts.
- Ohhhh, oui, venez les garçons. N’hésitez pas, prenez-moi comme ça, tout doucement, vous me rendez déjà folle. Je n’ai jamais eu autant de volume en moi, avec vos deux grosses queues.
Allez Jérome, prends-moi, remplis-moi comme tu as rempli Max l’autre soir, fais-moi hurler à mon tour.
Alors qu’il s’exécute, je suis de mon côté investi jusqu’à la garde, et mes couilles viennent caresser les siennes. Les doigt tournant sur son bourgeon, l’autre main pinçant un de ses tétons, je l’encule à longs coups langoureux, les couilles en feu, répétant que c’est trop bon pour que je puisse tenir très longtemps. Jérome râle, parvenu à s’enfoncer lui aussi de presque toute sa longueur, ses paluches écartant les fesses de la miss hurlante de bonheur, jouissant en continu sous nos longs assauts réguliers. Cela ne dure que quelques minutes, je suis le premier à éjaculer, déversant ce qui me paraît être des litres de foutre dans son intestin, ma queue broyée par l’énorme gland qui va et vient “de l’autre côté”. Pourtant sur le point de jouir il y a quelques minutes, Jé’, lui, semble avoir trouvé un point d’équilibre, peut-être le plaisir d’offrir quelque chose d’exceptionnel à Sophie. Je l’ai déjà eu “au cul”, assez pour savoir que Jé’ n’est pas un bourrin.
- Que c’est bon, mais que c’est bon, ouiiiiii, viens, baise-moi, ce que tu me baises bien, encore ! glousse-t-elle en sautillant sur son épais fût.
- Ooooohhhhhhhh, je vais jouir à mon tour ! hurle-t-il soudain juste comme je me retire des entrailles de notre maîtresse.
Tout va très vite alors : Sophie se retire précipitamment, et nous nous retrouvons tous les deux réunis par les lèvres sur le gland gonflé de Jérome. De ma main droite, je le branle frénétiquement et dans un cri d’extrême jouissance, il décharge interminablement entre nos bouches soudées son puissant foutre en jets épais et goûteux. Nous n’en perdons pas une goutte, retrouvant les saveurs subtiles des deux sexes mêlées. A tour de rôle, nous l’engloutissons doucement pour le conforter dans son plaisir, le nettoyant ainsi de la mouille qui le recouvre.
Dans un silence quasi religieux, il se remet, anéanti par la puissance de son orgasme. Secoué par le mien, je m’allonge de tout mon long à même le sol, revivant l’intensité de cette rencontre. Délicatement, Sophie vient me recouvrir de son corps à la peau si douce, ses seins contre moi, et m’embrasse avec toute la passion et la reconnaissance qu’aurait une femme amoureuse en pareille circonstance.
- Merci. me dit-elle tendrement. A toi de hurler maintenant. J’aime le sexe avec toi, Max.
Ses lèvres déposent plein de tendres baisers sur mon torse, mon ventre, puis dans un rapide mouvement, elle passe sa jambe au-dessus de ma tête et vient poser ses fesses sur ma bouche tout en aspirant mon sexe. La belle me rend mon foutre. De mes mains, je lui écarte son adorable postérieur, je n’ai qu’à aspirer son petit trou pour le récolter. Des petits coups de reins plaquent sa vulve contre mon menton, m’invitant à alterner entre ses deux plaisirs, le temps de nous nettoyer consciencieusement avant de nous resservir un peu de champagne.
J’adore ces instants où nous sommes complètement désinhibés, sereins, assis côte à côte à rire et plaisanter avec cette évidente complicité. Jé’, assis entre nous, nous demande la recette pour pouvoir être si “à l’aise” dans des moments pareils. Il n’y a pas de réponse, nous vivons l’instant, simplement, mais avec un profond respect d’autrui. A partir de là… tout est permis.
- Max ne m’a encore jamais amené un de ses copains à la maison. dit-elle en s’adressant à Jé’. J’aimerais beaucoup vous voir “l’un dans l’autre”. Tout en lui flattant sa virilité d’une main tendre, Sophie rajoute : Tu en as une si grosse, si lourde... je suis curieuse de la voir en lui, de l’entendre jouir.
Rapidement, Sophie nous emmène dans sa chambre. Nous nous retrouvons allongés de part et d’autre de notre amant installé au beau milieu du lit. Nos bouches s’enlacent autour de son gland, nous relayant pour le pomper, ne laissant aucune zone de son sexe sans attention, burnes comprises. Quelques minutes de ce traitement le font vite rebander. Ses mains flattent nos deux croupes, mais assez rapidement, je guide ses doigts vers mon petit trou. Comprenant l’intérêt de ma manœuvre, il m’enfonce deux doigts et entame un va-et-vient régulier; cette fois, tout est prévu; je me suis bien préparé, ma petite porte est pré-lubrifiée. Sophie exige les mêmes attentions, arguant une certaine parité tout à fait légitime à mon sens. Jérome ne rechigne pas à la tâche en lui administrant également deux doigts dans le fondement, et nous voilà deux à nous trémousser en le suçant à perdre haleine.
- Vous êtes des dingues, tous les deux, j’ai l’impression de me transformer en pierre. Je vais vous prendre tous les deux par le petit trou, puisque ça a l’air de vous plaire.
Bandé comme un âne, prêt à saillir de nouveau, Sophie le chevauche quelques instants pour bien lui graisser la colonne de son abondante mouille. Une fois de plus, je tiens le mât qui va la pénétrer tandis que de ses mains, Jérome lui écarte largement les fesses alors qu’elle me fait face. Son adorable bouton entre mes lèvres, la voilà qui descend, s’empalant par petits coups, mais nettement plus vite que la première fois. Sa matrice trempée d’un désir quasi permanent ruisselle à souhait sur la hampe qui va bientôt nous enculer à tour de rôle, selon notre désir. Cette simple pensée suffit à me faire chauffer le ventre tant j’aime être rempli par la queue d’un mec. Et voir ce pieu distendre la petite chatte de ma copine m’électrise.
- Ohhh, que c’est bon de prendre son pied ! Tu en as une si grosse, je pourrais jouir dessus en continu.
Son jus coule sur ses couilles, elle en tremble de plaisir, les seins gorgés, les tétons érigés, la tête en arrière, et son clitoris turgescent en a décalotté son capuchon, violet tant il est gorgé de sang.
Je récupère sa précieuse mouille sur les couilles de Jé et m’en masse l’anus, pressé de le sentir me sodomiser. Après quelques minutes à jouer au bilboquet sur sa queue, dans un grand bruit de vide, la belle se retire pour me laisser la place.
Majestueuse, luisante, sa queue se tend vers le plafond… irrésistible. C’est allongé contre lui que je m’offre, en chien de fusil. Alors que de sa main il me soulève la cuisse, c’est à Sophie que revient le rôle de pointer l’énorme dard en moi. Ne voulant pour rien au monde manquer quoi que ce soit de cette pénétration, elle m’écarte fermement les fesses de sa main libre, lorgnant le gros nœud qui frappe à ma porte.
- Quel morceau ! C’est à se demander comment il va pouvoir te la mettre. Il est encore temps, Max, tu sais ? ironise-t-elle.
- Viens, mets-la moi, j’en ai trop envie. Regarde bien, car après, c’est à ton tour !
Emoustillé d’être ainsi observé, je suis concentré sur mon sphincter afin d’offrir à la petite curieuse une prestation digne de ce nom, une parfaite “entrée en matière”. Lorsque Jé’ imprime sa poussée, le gros bout repousse l’ourlet de chair comme s’il s’agissait de pâte à modeler, entrant d’un coup dans mon fondement graissé à souhait d’au moins 5 bons centimètres. De lui-même, il stoppe sa course quelques secondes, vantant les mérites d’une bonne sodomie, me demandant s’il doit aller jusqu’à me mettre ses couilles à l’intérieur aussi. “Il “ a déjà tout compris, et sait que les mots ont un puissant impact, qu’ils constituent une véritable pénétration psychologique. Mais bien avant que j’aie à lui répondre, il me pénètre de nouveau, s’enfonçant de moitié cette fois. Une exquise vague de chaleur me submerge, des milliers de terminaisons nerveuses diffusent un délicieux message de… saturation. Etre bien plein, complètement distendu, c’est cela que j’attends de la part d’un mec. Ce n’est pas me faire sodomiser par un sexe, c’est me faire grassement enculer par une grosse queue. Non, ce n’est pas de la vulgarité dans ce cas : c’est rencontrer l’extase.
- Qu’elle est bonne, ta grosse queue, encule-moi jusqu’au nombril… jusqu’aux amygdales si tu veux, mais fais-moi jouir !
- Je vais te la mettre jusqu’à ce que tu décharges ! J’espère pouvoir te faire jouir et avoir encore de quoi honorer les jolies fesses de Sophie. Putain, ce que tu es souple !
Sa massue recule régulièrement jusqu’à ce que la couronne de son gland se cale derrière ma rondelle, puis il me la renvoie bien droite, exactement comme j’aime les sentir m’investir, ce qui ne manque jamais de m’arracher quelques râles de plaisir. Aguiché par la bouche de So’ qui me gobe les burnes, empalé par cette puissante verge, je me laisse aller au plaisir. A l’image du surfeur prenant son pied à chaque nouvelle vague, des ondes de plaisir me parcourent les reins et le bas ventre à chacun de ses assauts, le sentant m’investir toujours plus loin en moi, jusqu’à entendre notre spectatrice dire qu’il ne lui reste plus que les couilles dehors !
Sa queue massive va et vient avec délicatesse, Jé’ n’hésitant pas à varier les plaisirs en jouant sur la “quantité”, tantôt bien à fond, tantôt qu’en partie. Il pousse même le vice en demandant à notre équipière de la lui reprendre un peu entre les lèvres, ce qu’elle fait volontiers, puis elle le replace bien mouillé sur mon oignon, et le voilà reparti pour me besogner tendrement pendant que la dame retourne me sucer gentiment la bite.
Après m’avoir enfoncé je ne sais combien de mètres de bite entre les fesses, il me ceinture fermement de son bras et se couche sur le dos, m’entraînant ainsi sur lui sans déculer. Ses mains sous mes fesses, le revoilà toujours aussi vigoureux à m’enculer avec une cadence régulière. Sophie grimpe sur nous et vient me plaquer sa petite chatte sur les lèvres et se remet à me sucer avec application, tout en me massant bien les couilles. Elle sait que j’aime ça. Voilà deux êtres qui semblent bien s’accorder, et qui se trouvent réunis pour m’offrir un plaisir d’une incroyable intensité. Transformé en mille-feuille vivant, je rentre en transe, plein de sa queue et le jus de cette douce minette, mes sens s’emballent, entre jouir et… disjoncter ! C’est un peu comme si mon corps rebondissait sur un trampoline, coulissant sur une ligne de plaisir passant entre mes fesses et ressortant par mon gland. Lorsqu’il m’envoie son nœud bien au fond, j’en reste comme suspendu dans les airs, délicatement retenu entre de douces lèvres refermées sur mon gland brûlant.
Mes tripes tordues par tant d’assauts ne cessent de m’informer sur l’intensité de ce rapport devenu tout autant anal que buccal; j’aspire comme un forcené le clitoris de So’ entre mes lèvres, mon cul se referme en un série de contractions autour de cette majestueuse hampe tandis que mon foutre s’écoule interminablement entre les lèvres de mon amazone. Dire que je jouis est un faible mot : les spasmes qui propulsent mon bassin d’avant en arrière font que je me vide de ma semence autant que je me gorge du sexe dure dur, disponible à souhait planté dans mon fondement. De la mouille ruisselle dans mon cou, des cuisses me serrent la tête et le sexe de So’ tressaute sur mes lèvres. Elle a toujours été une jouisseuse, capable de partir avec une facilité remarquable à la moindre sollicitation, sans forcément être des plus démonstrative, mais plutôt avec grâce et sensualité, toujours très féminine.
Immobiles, nous restons quelques minutes ainsi empilés, incapables du moindre mouvement. Mes yeux admirent ce somptueux cul ouvert devant mes yeux embués de plaisir. Trempée de cyprine et de sueur, cette rosette aux replis parfaits semble si innocente… Ma main vient effleurer sa croupe avec tendresse, savourant l’exquis grain de sa peau de la pulpe de mes doigts. A bout de souffle, je rassemble mes forces pour lui chuchoter :
- A toi ma belle.

Auteur :  Dudule la tarentule [ lun. 23 mai 2011, 15:34 ]
Sujet du message :  Re: BM... W

Je me répète à chaque fois ... mais j'adore ! :love:
Désolée, c'est pas très constructif, hein ? :koi:

Auteur :  georline [ mar. 24 mai 2011, 16:40 ]
Sujet du message :  Re: BM... W

Quel plaisir de lire ça, c'est bandant au possible, d'ailleurs je n'ai pas arrêté de bander pendant toute la lecture :love:
Mon cochon, tu as bien du talent :ctop:

Auteur :  sergio [ mar. 31 mai 2011, 10:30 ]
Sujet du message :  Re: BM... W

Je viens de lire le second chapitre, après avoir lu le premier, il y a quelques jours. Bibi, tu as une plume faite pour écrire des histoires pour adultes. Jamais vulgaire, toujours dans le détails sans que cela n'apparaise comme des gros plans façon film de Q.

Et surtout, tu arrives à faire bander un hétéro qui n'a jamais eu d'attirance pour les relations entre hommes.

Bravo. :clap:

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