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MessagePosté : mer. 27 nov. 2019, 14:17 
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J'ai posté récemment sur un autre site, le récit de mon initiation. Je l'avais écrit il y a quelques années de cela à une amante épistolaire. Je me suis dit que les vassiliennes et vassiliens pourrait apprécier ce texte. Je vous livre donc le premier chapitre. Vos réactions, questions et remarques sont évidemment les bienvenues.

Ma première expérience avec un homme

J'avais 18 ans. J’avais déjà eu une relation avec une fille de ma classe, mais c'est une autre histoire.
Bien qu'ayant toujours rêvé de sexes d'hommes et n’être pas effrayé par la nudité mâle, je ne m'étais jamais vraiment pose la question. Sans être timide, il était difficile de découvrir des partenaires dans les années 80 sans être amené à se rendre dans des lieux de rencontres adaptés.
Aujourd'hui, c'est quand même beaucoup plus simple.

A cette époque, j'habitais logiquement chez mes parents. Sans être fluet, j'avais déjà des pectoraux qui pointaient et que je ressentais déjà comme des seins. Ils étaient très sensibles aux caresses et je ne manquais jamais de les solliciter lorsque je m'adonnais aux plaisirs solitaires. Une activité importante à cet âge. Parfois je me disais que cela me faisait des seins comme à une femme et que ce n'était pas joli ou très viril. Et j’étais encore pas mal imberbe à cette époque. Ce que j'ignorais, c'est que cela plairait énormément à mes partenaires, hommes ou femmes.
Nous habitions dans une zone pavillonnaire. C'est-à-dire des maisons serrées les unes contre les autres façons clapiers. Le voisin de droite était très sympa. C'était un gars de 35 ans environ, un brun barbu de taille moyenne, marié avec une charmante femme dont j'ai oublié le nom. Lui se nommait Patrick. Il nous donnait souvent des coups de main et disposait d'un long atelier construit comme une espèce de garage.
Il faisait très chaud cet été-là.et j'étais seul à la maison. Il me fit signe et me proposa de venir boire une bière chez lui, ce que j'acceptai volontiers, sans aucun arrière pensé. Il me dit de venir dans son atelier, pour être à l'abri de la chaleur. L'endroit était assez protégé et très encombré. Malgré tout, je suais et la bière fraiche ne tarda pas à faire son effet.
Patrick se rapprocha de moi. J'étais vêtu d'un tee-shirt serré à col en V et d'un petit short comme il y en avait dans les années 80. C'est alors qu'il me passa le revers de sa main sur le sein gauche en remontant vers le mamelon. La sensation fut immédiate et avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, il me sortit une banalité du genre " c'est joliment moulé ! " puis de répéter son geste sur mon autre sein. Instinctivement, je cambrai le dos ce qui eut effet de me faire gonfler le torse. " Détends-toi et profite de ces caresses. Tu sues, mets-toi à l'aise " ajouta-t-il.
C'est dans ces moments que le cœur s'accélère. On comprend les choses instantanément. J'enlevai mon tee-shirt en tremblant un peu mais en essayant de dissimuler mon émotion. Il continua de me caresser sans rien dire et je lui tendais ma poitrine de plus belle. Je revois l'image de cette offrande que j'acceptai de lui faire et qui me ravissait. Il me pinçait simultanément les tétons avec délicatesse puis vint palper mon short. Il eut vite fait de sentir la forme qui y avait prit place.
J'étais contre l'établi et il me faisait face. C'est alors que sans un mot, il prit place devant moi. Il me baissa mon short des deux mains et ma verge dure nous apparut. Il me branla et je pus percevoir l'excitation qu'il vivait. C'est alors qu'il me dit d'enlever mon short tout en se déshabillant…
Je me trouvais donc nu en tennis, la peau moite par une chaleur forte d’ un beau début d'après-midi de juillet. Mon sexe était réellement dur et Patrick se dénudait révélant sa verge dans d'une taille et d'un état équivalent au mien. Il était d'une taille moyenne et poilu, d'une assez belle plastique.
Il s'approcha contre moi et je dus écarter les cuisses. Nos sexes se touchèrent. Il m'embrassa, je me laissais faire. Il se frottait délicatement et je sentais sa respiration et son sexe contre le mien, contre mon ventre. Il me caressa les seins à nouveaux et sa main droite descendit vers nos membres pour les saisir ensemble et les branler. Il se recule légèrement pour mieux nous regarder. " Je crois que tu aimes. Tu n'avais jamais connu cela ? " Je ne répondis pas. Il se baissa et entrepris de me lécher. Je me souviens l'avoir laissé faire sans même le toucher. Il me massait si légèrement que ma verge était en feu. Je sentis alors la chaleur de la ponction de son palais sur mon gland. Il empoigna fortement mes boules d'une main et me tenait la hanche de l'autre. J'avais le sentiment de bander toujours plus fort. Une vague m'atteint et je lui dis d'un murmure de se retirer. Je maitrisais tant bien que mal une éjaculation et seules quelques
larmes de sève sortirent. Ce spectacle l'a surement excité à outrance. Il se releva à une vingtaine de centimètre de moi et commença à se caresser vigoureusement. " Regarde me dit-il " je vais jouir pour toi. Sa main gauche passa rapidement de mon sexe à mes seins puis il s'arque-bouta en poussant un râle. Il éjacula face à moi et j'en reçu quelques jets sur les cuisses.
Ne sachant trop que faire, je me branlai à mon tour après ce spectacle si intense. Il me prit à nouveau les boules et les malaxa avec fermeté, sans que soit jamais douloureux.
C'est lorsqu'il me pompa un téton que je jouis dans la seconde. Nous prîmes tout deux des retombées de mon explosion.
Il fallut quelques minutes pour que nous retrouvions nos esprits. Il prit un chiffon sale qui traînait pour nous essuyer puis me dit : « Reviens demain à la même heure »
De retour, je me posais plein de questions. Cela avait duré 20 minutes max. Je devais faire le constat que j’avais trouvé la chose extraordinaire. Je pensais sans cesse à son invitation du lendemain. Devais-je y retourner ?


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MessagePosté : jeu. 28 nov. 2019, 16:50 
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Très belle narration et fort excitante !!! :champ: :lip:

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Le plus grand crime peut-être de la société, c’est d’avoir rendu l’amour honteux.

Albert Samain


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MessagePosté : ven. 29 nov. 2019, 08:52 
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Merci, alors la suite !

J’ai beaucoup tergiversé pour retourner voir mon voisin Patrick.
Allais-je oser retourner le visiter ? J’étais partagé par une forme de culpabilité contre nature, car je ne m’étais pas préparé à aimer baiser avec un homme. À cette époque-là, je cherchais à rencontrer des filles et j’ai connu quelques échecs cuisants. Mon tableau de chasse était réduit à la portion congrue et force m’était de constater que ma relation furtive avec Patrick m’avait procuré un effet au-delà de ce que je pouvais fantasmer. Mais l’envie était trop forte et j’y suis retourné, façon farouche et sans frapper, je suis allé dans l’atelier du fond du jardin. Patrick était assis dans un vieux fauteuil buvant un café. Il se leva, vint vers moi et m’embrassa. Sa langue me laissa un goût de café. Il m’entraîna près de l’établi et m’ôta mon tee-shirt pour me baiser les seins. Patrick appréciait le côté un peu éphèbe que pouvait avoir un jeune homme de 17 ans.
Rapidement, il me dénuda entièrement et me caressa tout le corps, comme s’il m’inspectait. Je ne savais pas quoi faire et je trouvais cela très agréable. Aussi je me laissai faire. Il me retourna et me palpait les fesses généreusement. Il me pencha vers l’établi, s’accroupit et m’écarta les fesses, pour inspecter mon intimité. Il déclara : « Il est vierge lui. Veux-tu que nous le travaillions ? »
Évidemment, il l’était. Je m’étais déjà introduit pas mal de choses cependant. Je ne sais pas comment une telle idée perverse m’était venue, mais je me souviens d’un bout de manche à balai que j’avais raccourci à 50 cm. Je caressais en m’empalant dessus. Cela me procurait des sensations très puissantes lorsque je jouissais.

Face à l'établi, mon excitation était maximale. J’avais peur d’avoir mal, mais je savais que je prenais un immense plaisir avec mon cul. Aussi, je lui répondis : « En douceur alors. » Encore aujourd’hui, j’ai un petit trou qui ne me permet pas de satisfaire mes partenaires les plus exigeants. Il faut dire que je ne le travaille peut-être pas assez.

Patrick commença à me caresser le pourtour du trou, puis il m'enfonça un doigt. Il me disait de me détendre et palpa mes bourses et ma verge. Je ne bandais pas. Je me sentais pris au dépourvu. Il agit alors avec fermeté sur mon sexe en empoignant toute la grappe. Il me massa ensuite la verge et me décalotta. Il me suça le gland, toujours par-derrière, en tirant sur la base de mon pénis. Je me mis à bander. Il continua à me caresser le trou. " Je vais te lubrifier. " il m'appliqua de la vaseline d'un pot qui devait lui servir à bien d'autres tâches moins sexuelles. Il me mit ensuite un second doigt.
Je le sentais aller et venir de ses doigts épais. La sensation était merveilleuse. Puis il me dit : " Tu vas t'empaler là-dessus " et me montra le manche d'un gros tournevis rouge. Il le badigeonna puis me l'introduit sans trop forcer en le faisant aller et venir en profondeur. Je le sentais en moi à chaque coup de boutoir. Il stoppa pour se déshabiller et m'ordonna : " accroupis-toi face à moi et suce-moi " Je fus initié à la fellation. Il bandait plutôt mollement et décrivit la façon dont il voulait que je le suce. Il durcit, m'empoigna la tête et s'enfonça dans le fond de ma bouche. Je faillis m'étouffer et me recula, laissant sa verge tendue et baveuse. J'en avais oublié le tournevis dans mes entrailles.
Il me releva et me dit : " tourne-toi, je vais te prendre ". Il me retira le tournevis, qui me fit un effet puissant. Mon cœur battait la chamade, comme à chaque fois où je me fais prendre. Il me dit : " Pousse quand je te pénétrerai. " Je m'accrochai à l'établi et je forçai, sentant sa verge me posséder.

À ma grande surprise, ce ne fut pas douloureux et même rapidement exquis. Je sentais sa respiration forte. En moins d'une minute, il me secoua avec force. Il avait joui en moi…

" À ton tour. " Il m'amena jusqu'au fauteuil et me suça délicatement. Je me caressais la poitrine et il vint me la sucer et m'embrasser tout en me branlant. Finalement, il me fit jouir et je retins sa main pour l'arrêter. J'avais éjaculé généreusement. Patrick me dit : " Reviens quand tu veux, j'ai plein d'autres trucs à te montrer. Je crois que cela te plaît. "


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MessagePosté : mar. 03 déc. 2019, 11:39 
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J'adore, peut-être que cela me renvoie à mes premières fois!!!

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Albert Samain


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MessagePosté : mar. 03 déc. 2019, 15:56 
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Encore merci, nos premières fois doivent se ressembler pour beaucoup de personnes.

La suite !

3 Après-midi galante

Après mon initiation forte en émotion de l’été de mes 18 ans, j’ai dû patienter longtemps avant de pouvoir renouveler l’expérience. Ce n’était pourtant pas l’envie qui me manquait. Mais c’était une traversée du désert pour un jeune homme de vingt ans. Ce n’était pas facile de faire des rencontres en ces temps où les sites internet gay n’existaient pas. Pourtant…

Je fus invité à un vernissage par le biais d’un groupe d’ami. Sur place, je discutais avec de nombreux inconnus en devisant devant les œuvres. Un homme délicat, la quarantaine et élégamment vêtu vint converser avec moi sur les tableaux. Rapidement, nous nous mîmes à refaire le parcours en dialoguant très naturellement. A la fin du vernissage, il me laissa sa carte et m’invita à le rappeler pour qu’il me montre sa collection personnelle.
J’ai toujours été attiré par les hommes mûrs et Jean-Charles ne me laissait pas indifférent. De taille moyenne, il était sobre, mais élégant, cultivé et délicat. Je le rappelais dans le courant de la semaine et pris rendez-vous pour aller le visiter le samedi. Impossible de savoir ce qui se passerait, si l’homme avait des visées coquines. C’était intimidant.
Arrivé devant une superbe maison, je sonnais et il m’accueillit tout sourire. Nous nous rendîmes dans le salon et il me fit asseoir sur un superbe canapé Chesterfield pendant qu’il allait faire du café. L’ambiance de cette maison était étonnante, avec une décoration très typée 1900, fleurie et pourtant absolument pas poussiéreuse.
Jean-Charles s’assit à côté de moi. Au détour de propos artistiques, il me complimenta sur ma plastique et particulièrement sur mon buste. À la fois gêné par ces propos incongrus et attiré par la tournure de la conversation, je me rendis vite compte de ses intentions. Ce n’était pas pour me déplaire. Il entreprit même de me toucher, d’abord le bras puis la poitrine. L’effet fut intense. Ses mots accompagnaient ses gestes et me mettaient en confiance. L’homme savait y faire. Lorsqu’il me demanda de retirer ma chemise pour admirer ma plastique, j’acceptais avec excitation, tout en feignant une nonchalance qui ne le trompait probablement pas.
Il me complimenta sur mes seins et entrepris de me les caresser. Mes tétons devinrent durs et je me cambrais pour mieux mettre en valeur ma petite poitrine. Il est vrai qu’elle me faisait complexer quand il m’arrivait de me déshabiller au sport ou à la plage, j’ai deux petits seins qui pointent. Ils ne font pas très masculins. Je découvrais que cela pouvait aussi beaucoup plaire…

Jean-Charles continua et me demanda de me dénuder intégralement. J’acceptai. De me retrouver nu, face à cet homme habillé m’excitait au plus haut point. Ma verge commençait d’ailleurs à prendre du volume sans que je ne puisse la contrôler. Et plus on tente de se maîtriser, plus les choses se compliquent.
A ce moment-là, il choisit de mettre sa main sur mon sexe et de m’embrasser délicatement. En me caressant les mamelons, il me dit : « cette belle poitrine mérite un joli soutien-gorge. Qu’en penses-tu ? » Je balbutiais une approbation humoristique. Il me soupesait les seins, coinçait mes deux mamelons entre les pouces et les index. C’était outrageusement jouissif. Il dit alors : « Tu sembles apprécier. J’ai ce qu’il te faut. Je reviens. » Il réapparut avec une boîte et en sortit un soutien-gorge noir. Il me dit : « As-tu déjà porté des sous-vêtements de dentelle ? Ce n’est pas que pour les femmes, mais aussi pour les femelles. »
Je dus reconnaître qu’effectivement, il m’était arrivé d’en emprunter à ma sœur, culotte, soutien-gorge ou maillot de bain. Je les enfilais et m’excitais énormément.
Jean-Charles passa derrière moi et m’ajusta un très petit soutien-gorge, mais suffisant pour ma petite poitrine. Régulièrement, il effleurait mes seins. « Et un porte-jarretelles, aimerais-tu en porter un ? » Il me fit enfiler des bas et m’ajusta l’ensemble. « Voici des chaussures à talons, cela ajoutera une touche encore plus érotique ». C’étaient de petites sandales vernies noires avec un talon de 5 ou 6 cm. Elles étaient trop petites, mais les brides élastiques me permirent de les enfiler sans problème.
« Tu es superbe, Marche un peu pendant que je me déshabille » J’allais au bout de la pièce et je revins vers lui, comme pour un défilé de mode. Je ne me sentais pas ridicule, mais excitante. Quand je me retournais au bout de la pièce, il était nu et bandait dur. Il fut plus directif : « Mets-toi à genou sur le canapé. » Je m’exécutais. « Cambre-toi d’avantage » Il me caressa la raie en me massant mon petit trou puis descendit sur mes bourses et me prit la verge, toujours dure.
« Tu es superbe. Tu as libéré ta féminité. Tu vas prendre un immense plaisir. »
Il passa derrière le canapé, face à moi. Je ne bougeais pas. J’attendais d’être dirigé par ce professeur si convaincant.
Mon visage était face à son sexe. Il était dur et droit et d’environ 15 cm. Il me mit la main sous le menton et dis : « Prend. » J’ouvris la bouche et il s’avança. Sa verge me remplit d’excitation. Il allait et venait lentement, son souffle fort. Parfois, il tendait une main vers mes mamelons qu’il pinçait plus fort qu’auparavant. Puis il ressortit sa verge et dit : « A ton tour, assied-toi au bord du canapé » Il se mit alors à genou face à moi et me commandât d’écarter les cuisses. Il appréciait le spectacle, c’était évident. Il s’agenouilla et commença à me sucer. La sensation était merveilleuse. J’étais là, en petite tenue ultra féminine, les jambes bien écartées. Mon sexe dans sa bouche et sa main commençait à me caresser mon intimité. Ma réaction devait l’encourager. Il me doigta jusqu’à la phalange et me dit : « Tu apprécies et sembles en vouloir plus. » Je lui murmurais que oui. Il engouffra un second doigt. C’était un peu douloureux, mais rapidement jouissif. Après quelques va-et-vient, il dit : « Je vais t’enculer ». Je n’osais rien dire. Je sentis son sexe entrer en moi. Après quelques aller et retour très lents, il me flanqua quelques coups de reins qui me firent sortir de petits cris. Il m’attrapa les anches et me dit : « je vais jouir dans ton cul » Il se plaqua contre moi en râlant puis se retira. Il s’assit à côté de moi et je me retournai. Je ne bandais plus, ses coups de boutoir avaient eu raison de mon érection. Quelle émotion. Je refusais poliment son invitation à me branler. « Rhabillons-nous alors » déclara-t-il. « Tu as été superbe. » son encouragement me fit grand plaisir. « J’ai adoré être ainsi vêtu » lui répondis-je. « Si tu veux revenir la semaine prochaine, nous pousserons un peu plus ta féminité. Tu seras rasé entièrement, devant et derrière » me dit-il. J’acceptai. En repartant, encore très excité par l’idée d’avoir son foutre en moi, il me tendit un sac. « Prends-les. Tu les enfileras ce soir et tu te donneras du plaisir en pensant à moi". Je souris. Je m’exécutais de bonne grâce le soir même.


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MessagePosté : mar. 03 déc. 2019, 21:51 
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Sexe et orientation sexuelle : Transgenre
Localisation : Aquitaine, Agen
Superbes récits qui me renvoie à mes premières expériences aussi. Perso j'étais plus jeune mais avec un garçon de 2 ou 3 ans plus âgé seulement.
Même si pas tout ne c'est pas passé de la même façon, les impressions de timidité et de honte l'étaient, mais surtout cette la jouissance au figurée était plus intense que la vraie. Mais surtout tellement bon de se sentir désirée et désirable. Avec cette envie de féminisation en plus.
Merci de me faire revivre cela.
Biz

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MessagePosté : mar. 03 déc. 2019, 22:53 
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Sexe et orientation sexuelle : travesti dans ma tête
Localisation : ouest parisien
Très joli récit.
A suivre ?


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MessagePosté : mer. 04 déc. 2019, 16:12 
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro
Localisation : Les Yvelines
Merci de nous raconter tes premieres fois, schpombeul. :D

C'est très bien écrit et donne l'envie d'en lire plus.

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MessagePosté : ven. 06 déc. 2019, 10:00 
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C'est gentil les amis, voilà la suite


4 Une expérience nouvelle
« J’ai une expérience nouvelle à te proposer. » Me déclara Jean-Charles. « Je pense que tu vas apprécier. »
Jean-Charles a un ami dans le genre soixantaine sèche et autoritaire. Il a lui-même une amie qui a de gros besoins. J.C. ne l’a jamais rencontré, mais il m’a dit que c’était une femme mûre, d’une cinquantaine d’années et qui aime beaucoup les petits jeunes endurants. Évidemment, l’idée d’une femme âgée m’excita terriblement. J’ai toujours été attiré par les messieurs dans la force de l’âge, mais une femme, je n’y avais pas pensé. En imaginant la chose, je me dis que c’était une très bonne idée.
Jean-Charles nous arrangea un dîner dans une célèbre brasserie où Jacques avait ses habitudes. J.C. et lui se connaissaient bien et la conversation était libérée. J’appris que Jacques appréciait les jeunes hommes aussi. Après deux bouteilles de vin, ils en vinrent à parler de cul et de ma poitrine et cela émoustilla Jacques, qui insistait pour que je déboutonne ma chemise, comme ça, en plein restaurant. Quand un homme le fait subrepticement et qu’il est dos à la salle, c’est assez facile. Égayé par le bon vin, je m’exécutais. Son regard lubrique n’en perdit rien, et il me passa rapidement le revers de sa main sur un mamelon. C’était excitant, mais quand même gênant. À la fin du repas, Jacques lança à Jean-Charles : « Tu me le prêtes 5 minutes à la voiture ? » Sans me demander mon avis, J.C. lui répondit : « D’accord. Je surveillerai les alentours ».
Nous descendîmes tous les trois au parking vers la grosse Mercedes de Jacques. Jean-Charles resta à l’extérieur de la voiture tandis que nous prenions place aux places arrière. « Enlève ta chemise », m’ordonna Jacques en gros vicieux qui a de la suite dans les idées. Il entreprit alors de me caresser les seins, puis ouvrit sa braguette : « Suce ». Terriblement excité par cette domination et prêt à jouer le jeu de la soumission, je m’exécutais sans rien dire. Sa demie molle devint vite dure. Je me mis à le branler. Il me força rapidement à le reprendre en bouche en me tenant la tête. Très peu de temps après, tout en me tripotant les seins et sans rien dire, il m’éjacula dans la bouche en poussant un râle. Il me qualifia de bonne petite pute. J’avoue que cette situation m’excitait énormément. Je m’étais retrouvé le jouet sexuel d’un vieux pervers.
Je me rassis sur la banquette et ce fut Jean-Charles qui prit place. Je compris qu’il voulait lui aussi profiter de ma bouche. Il bandait déjà dur et me dit : « Je t’ai vu à l’œuvre, tu sembles apprécier les grosses berlines. » Je le pris dans ma bouche et il ne tarda pas lui non plus à me jouir sur la langue. Jacques s’était installé au volant et n’avait rien perdu du spectacle. Une fois Jean-Charles rebraguetté, il me dit : « J.C. ta parlé de mon amie Monique. » C’est une gourmande qui aime les petits jeunes comme toi. Elle devrait te plaire.
« Viens manger samedi midi. Je la convierai. D’ici là, pas de branlette. Elle aime la sève »
Quelques jours passèrent, je pris soin de ne pas me caresser et l’envie de sexe devenait de plus en plus forte. Le samedi matin, je me rendis chez Jacques, dans un bel appartement ancien du centre-ville. Monique était déjà arrivée. C’était une femme mûre, raffinée et qui avait dû être très belle. Elle portait une petite robe fine rouge qui laissait voir de jolies formes bien féminines, des bas coutures couleur chair plutôt élégants et des escarpins noirs. Quelques bijoux en or convenaient parfaitement à son teint mat et légèrement bronzé. Sa coupe de cheveux châtains était du plus pur style années 80. Elle était très excitante.
Je m’assis dans le canapé à côté d’elle pendant que Jacques partit chercher une nouvelle bouteille de Banyuls. Elle me dit alors : il paraît que tu préfères les hommes. Aimes-tu aussi les femmes ? »
« Oui » lui répondis-je un peu gêné. « Et vous êtes superbe ». Elle croisa ses jambes sous mon regard. « Vraiment ? » Elle me prit la main. Jacques revint avec une nouvelle bouteille et déclara : « Allez-y, je vais vous regarder. » Puis il s’assit dans un fauteuil. La situation était inconfortable, mais excitante. De ses mains manucurées aux ongles parfaits, elle m’ouvrit la chemise puis la sienne. « Jacques m’avait parlé de ta petite poitrine » : elle me pinça un téton puis demandât de me dénuder intégralement. Ce que je fis en commençant à bander.
Monique fit de même. Elle était très excitante en soutien-gorge, en culotte et en bas, toujours sur ses escarpins. Elle s’accroupit et me retira mon caleçon. Je bandais et je mouillais. « Très bien, tu es très mignon. J’ai l’air de te faire de l’effet » C’est le moins que l’on pouvait dire. Elle nettoya mon sexe avec sa main et me mit ses doigts dans la bouche. Le goût de ma propre mouille était enivrant. Je lui baissais sa culotte qui dévoila une chatte superbement taillée. Surtout, ses lèvres étaient rasées. Elle y mit ma main et je sentais qu’elle mouillait. Lui ayant totalement retiré sa culotte, elle me tourna le dos pour s’agenouiller sur le canapé. « Prends-moi » me dit-elle. Jacques n’en perdait pas une miette, la main dans sa poche…
Je la pénétrai lentement avant de poser mes mains sur ses généreuses hanches bardées du plus excitant des porte-jarretelles. Elle était vraiment féminine et sa tenue la rendait encore plus attirante. Je commençais quelques aller-retours lents. Monique ondulait de plaisir et se cambrait. SA vulve était grande ouverte. Jacques s’était rapprochait et se branlait tout en gardant ses distances.
Après quelques râles, Monique se retourna et s’assit au bord du canapé, retira son soutien-gorge puis écarta ses cuisses. « Viens me caresser les seins » : elle me les présentait pour que lje les prenne en bouche. Je pompais ses tétons et la pénétrais à nouveau. Nos souffles s’accéléraient. Jacques se colla à moi et m’ordonna de le sucer alors que je travaillais Monique qui se caressait les tétons. Il jouit dans ma bouche en très peu de temps. Je me retenais douloureusement, en évitant de penser à cette scène de libertinage vraiment excitante. Monique mit un doigt sur son clito et ne tarda pas à jouir. Ma verge était inondée. « Jouis sur mes seins ! » me cria-t-elle. Je sortais mon pénis turgescent et prêt à exploser pour lui arroser généreusement sa merveilleuse poitrine. Aussitôt soulagé, Jacques m’ordonna : « Nettoie-la. » Quand j’eus presque terminé, Monique me susurra : « Embrasse-moi ».


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MessagePosté : sam. 07 déc. 2019, 00:45 
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Sexe et orientation sexuelle : Masculin, bi léger pas encore parfaitement accompl
Localisation : Derrière toi, attention, c'est affreux !
Merci pour tous ces récits, ils sont très excitants !


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MessagePosté : lun. 09 déc. 2019, 18:57 
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro
Localisation : Les Yvelines
Decidement, tu as rencontré de sacrées personnes pour tes premières fois. :D

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MessagePosté : mar. 10 déc. 2019, 10:10 
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Sexe et orientation sexuelle : travesti dans ma tête
Localisation : ouest parisien
Citation :
Merci pour tous ces récits, ils sont très excitants !

je dirais même plus : très, très excitant


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MessagePosté : mer. 11 déc. 2019, 11:41 
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Enregistré le : sam. 28 mai 2011, 14:41
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Parfait, mon boxer tendu durant la lecture en témoignerait s'il pouvait!!! :D :champ:

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Le plus grand crime peut-être de la société, c’est d’avoir rendu l’amour honteux.

Albert Samain


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