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 Sujet du message : Ebranlé !
MessagePosté : dim. 20 févr. 2011, 16:08 
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Membre Bavard
Membre Bavard
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Enregistré le : mar. 14 déc. 2010, 09:19
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Sexe et orientation sexuelle : Bi & Bitophile
Salut à tous !
Une nouvelle petite histoire entre mecs bi, ça vous étonne ?
Cela démarre souvent de pas grand chose : quelques souvenirs d'amants exceptionnels, une image trouvée par-là... l'envie de remettre le couvert, et ma bitophilie chevillée au corps.
Bonne lecture!

Et encore une fois, cette irrépressible pulsion taraude mes viscères, joue avec mes papilles : l’appel du sexe mâle. Des images de belles verges dansent devant mes yeux, alors qu’un puissant goût de sperme empli ma bouche, me signifiant qu’à ce stade, la plus belle et suave petite chatte féminine, le plus angélique des visages de femme n’étancheront en aucun cas mon besoin d’en “avoir une bonne grosse en bouche”.
Des années que cela dure, le scénario est bien rôdé, je dois trouver un mec à sucer, et un qui satisfasse mes exigences. Ce sera un simple mec bien monté, je le dégusterai avec voracité jusqu’à ce qu’il abreuve ma bouche de semence, et je repartirai calmé pour un certain temps. Parfois, le gars sera un peu plus entreprenant (et endurant !), et une seconde pipe pourra s’envisager, voir une pénétration. Mais l’heure n’est pas au développement durable, un mec d’aplomb, propre et correctement armé fera mon affaire. Je mets mon clignotant et me gare sur le parking.
Il est 15h00, et ce recoin de la RN7 est très fréquenté, tant par des locaux que des commerciaux, quelques routiers, et il est somme toute assez facile d’y faire son marché. Trois voitures stationnent d’ailleurs là, dont deux vides, je me gare un peu plus loin de celle occupée par un homme d’âge mûr. Le bois doit “contenir” les deux autres, de toute évidence. Je reste un moment à l’intérieur, juste le temps d’observer les lieux, d’en saisir l’ambiance. A cette heure-là, il n’y a pas foule, pas comme vers les 18h00. C’est généralement plus délicat de trouver une personne en prenant son temps, c’est l’offre et la demande, genre “au suivant !”
Je descends et décide de passer devant les autres véhicules, tout simplement pour avoir remarqué une corrélation entre leurs états et la personnalité de leurs chauffeurs. Un intérieur “bordélique”, des glaces salles “à l’intérieur”, des pneus lissent, autant de signes qui en disent longs, notamment sur la négligence. Et prendre un mec en bouche n’est pas anodin…
J’approche de la première berline, une suédoise. Bien chaussée, lustrée de peu, elle inspire justement le contact. Son propriétaire baisse sa vitre à mon approche, me gratifie d’un sympathique sourire et d’un franc bonjour. Je m’approche naturellement de lui, il n’est parfois pas nécessaire d’aller chercher très loin son 4h00 !
D’environ 35 ans, les cheveux châtains, un visage ouvert arborant une mine joviale sur un cou de taureau. Par sa vitre ouverte, il sort un bras énorme dont le sweat-shirt laisse apparaître un biceps hypertrophié. C’est un athlète, mais les plus musclés ne sont généralement pas les mieux montés, par expérience. Et déjà l’homme enchaîne :
- Bel après-midi, n’est-ce pas ? Un temps à rester au bord d’une piscine plutôt qu’à tourner en rond sur un parking douteux !
- De toute évidence, oui ! Mais je n’ai pas de piscine, et l’idée de me retrouver avec 500 personnes hurlantes dans l’eau ne m’est pas très motivante.
- Je n‘en ai pas non plus, et c’est pour cela peut-être que je suis aussi ici. L’envie de “communiquer” a été plus forte que celle de rester seul chez moi. ajoute-t-il.
Je lui réponds que c’est précisément ce besoin presque urgent de communiquer qui m’amène ici, mais qu’en terme de communication, j’ai certaines exigences. Bien qu’assez banale, cette conversation nous permet de nous jauger, de nous évaluer. Vêtu “sport”, cet homme sans le propre, aucune effluve disgracieuse ne s’échappe de sa personne, ni de sa voiture, d’ailleurs aussi nette à l’intérieur qu’à l’extérieur.
- Et pourrais-tu me dire quelles sont tes “exigences, s'il te plaît ? Je suis curieux de nature.
- Sympathie, allure générale soignée, hygiène et bonne dotation en matériel ! lui dis-je. Je n’aime pas les imbéciles, les mauvaises odeurs et… les p’tites bites. Et toi, tu es à la recherche d’un quelconque idéal ?
- Au moins, tu es franc, les choses sont dites; et comme toi, j’ai des griefs. J’aime la franchise, la gourmandise, la compétence, que l’on prenne son temps. Il ne reste qu’à tester nos compatibilités, et cela n’engage à rien. Au pire, nous passons notre chemin, au mieux… Mais j’ai des arguments qui devraient au moins aller dans ton sens, et certainement ailleurs aussi. Tu viens t’asseoir à côté de moi ?
J’aime qu’en ça va vite. Nous ne sommes plus des gosses, et nous sommes là pour conclure ! Je fais le tour, et en toute confiance, ouvre la portière pour m’installer. A peine ai-je le visage tourné vers lui que sa main tendue attend la mienne pour une virile et puissante poignée de main. Je lui commente mes premières impressions quant à sa carrure. Il “s’entretient”, me répond-t-il en soulevant son sweat sur une cascade d’abdominaux. Aussi provocateur que sûr de moi, je le pique en lui disant que j’ai très souvent été déçu en baissant le slip de body-builder. Il rétorque immédiatement qu’il ne porte jamais de slips pour mieux “la sentir vivre”, tout en passant sa main dans l’ouverture de son pantalon de toile pour en sortir un beau gros morceau de chair rosée d’une très belle longueur. Cette quéquette toute molle tombe lourdement sur la toile de son pantalon lorsqu’il la lâche; son gland est encapuchonné par un prépuce tout fripé, rendant cette verge “craquante”, irrésistible. J’adore les prépuces.
Mes papilles en ébullition, je me penche en la saisissant d’une main, et la porte aussitôt à ma bouche grande ouverte. Je la prends sans préparation en entier, puis remonte mes lèvres avec lenteur le long de sa hampe flasque pour en apprécier la douceur. Sans la ressortir, j’immisce la pointe de ma langue entre son gland et son prépuce pour l’exciter délicatement en effectuant ainsi plusieurs tours. Sa peau est très abondante, toute tendre, à croquer. Aucun goût ne parasite mes sens, même lorsque ma main tire sur sa hampe pour bien le décalotter, et c’est un gros gland bien lisse que ma langue arpente. La couronne lisse se place juste derrière mes lèvres alors que j’explore son méat. Je voulais sucer une bonne queue, et ce soir c’est fête, car c’est de l’excellent bite qui coulisse lentement entre mes lèvres.
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- Tu as l’air d’aimer sucer, toi. Elle te plaît ma p’tite bite ? ironise-t-il.
Je relève la tête, lui réponds qu’elle me plaît beaucoup, et que je n’en espérais pas autant en arrivant ici cet après-midi. Ma main le branle lentement alors qu’il dégrafe son pantalon pour le baisser sur ses genoux et m’offrir un accès total à la bête.
- Allonge-toi, mets ton siège en bascule, que je puisse te sucer comme il faut, bien à fond. lui dis-je en découvrant qu’il est aussi bien burné que monté. Une bonne vingtaine pour bien 5 de large, parfaitement épilée, ne conservant qu’une touffe odorante au niveau du pubis, un vrai régal, presque une œuvre d’art.
Je passe ma main sous son gros paquet et mes lèvres redescendent sur sa queue bandée, l’enfonçant un maximum dans ma bouche en quelques va-et-vient langoureux. Juste le plaisir de sucer, une main sur son pubis, l’autre pelotant ses fermes burnes.
- Que c’est bon, j’en avais vraiment besoin. Me dit-il. Tu es doux, n’arrêtes surtout pas.
Mais je n’y pense même pas ! je relève la tête pour admirer son pieu, et constate que ce dernier reste à la verticale, épais massif, parcouru de belles veines. Ma langue le darde, lui mordille le gland, puis, relevant davantage la tête, je lâche un long filet de salive à la manière d’une coulée de miel. Celle-ci coule du gland le long de sa hampe, mais déjà je le ravale et lui pompe sa queue sur seulement 7-8 centimètres, mais très bruyamment en faisant bien mousser ma salive. C’est à ce moment-là qu’il pose sa main sur ma nuque et m’invite à continuer ainsi. D’humeur joueuse, je m’exécute en alternant la plongée de ma bouche, tant en longueur qu’en direction. Cette queue me fascine, m’électrise, il m’en tarderait d’en goûter la semence pour peut-être encore mieux la sucer de nouveau. Après une grande inspiration, je pars à la conquête de la base, engloutissant toute la hampe d’un coup, son gros gland déformant ma glotte pour s’insinuer dans ma gorge. Je refoule un haut-le-cœur naturel, mais tente de le garder ainsi planté en moi alors que je lui malaxe ses lourdes boules, puis repars à l’assaut de sa tige en la pompant de très longues minutes avec autant de régularité que de plaisir tant elle est bonne, grosse, chaude...
Il se tortille en respirant fort sous mes caresses buccales, gémit que je lui fais monter la sauce. Et j’en ai soif, de sa sauce. Je l’espère abondante, goûteuse, mélange de soufré, de salé et d’acide, du bon jus d’homme. Ma succion reprend en parcourant vigoureusement sa puissante hampe de nombreuses fois, ne marquant la pause que pour lui laper son beau gland largement décalotté, faisant tourner ma bouche autour de celui-ci comme une rotule dans son logement. Alors que ses couilles sont bien serrées dans ma main, il me supplie de continuer à lui téter le gland, que cette fois il va m’arroser la glotte. Ma main gauche tient la base de cette grosse queue pour bien lui dégager le nœud, je continue ma caresse insistante. Ses belles tablettes de chocolat ondulent, parcourues de spasmes, et soudain son bout devient énorme tandis qu’il éructe un cri de jouissance, m’expédiant sa première salve de foutre directement contre mon palais. Son goût salé domine instantanément en emplissant ma bouche d’une intense chaleur. Je déglutis pour en recevoir davantage. Sa seconde giclée est beaucoup plus abondante et épaisse. Ma langue s’enroule autour de son gland pour bien le stimuler, puis en penchant la tête sur le côté, je lape son méat gluant de son miel aux saveurs désormais plus douces. Mais l’homme n’est pas un petit joueur et me gratifie de six bonnes giclées de sperme en tout avant que sa main ne vienne se poser sur mon épaule.
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C’est avec beaucoup de tendresse que je lui suçote le bout de sa queue à peine dégonflée, en exerçant le moins de pression possible, les joues encore pleines de son foutre. J’adore cet instant “d’après”, la bouche complètement imprégnée des jus de celui que l’on vient de faire jouir, lorsque son sperme devient presque piquant, acide, et que sa queue tuméfiée perd de sa superbe, s’abandonne. Ma tête penchée côté volant, je fais remonter mes doigts le long de sa hampe pour bien le vider et le nettoyer efficacement, dégustant ces dernières larmes en admirant son ventre musclé. Je lui aspire ses gros testicules afin de dériver l’attention, et ainsi diminuer l’hypersensibilité de sa verge après l’orgasme. Lourds et bien pendus, j’aime leur odeur musquée et ce goût presque amer de leur peau, ainsi que le poids de sa verge qui tombe contre ma joue. Je viens de sucer un beau mec, je suis heureux, détendu.
- Tu m’as sucé comme un Dieu ! s’exclame-t-il alors que je mâchonne sa grosse quéquette avec gourmandise, sans réussir à la laisser. Tu as une bouche fabuleuse, ça fait longtemps que l’on ne m’a pas aussi bien sucé, merci.
- Je peux t’en dire autant ! Tu as joui comme un Dieu, et ton sperme est un délice. Je n’arrive pas à me résoudre à te la rendre ! dis-je en me relevant enfin. Je ne connais même pas ton prénom, mais déjà ton intimité.
- Alexandre, pour te servir. Tu serais prêt à recommencer dans de meilleures conditions ? Je n’habite pas très loin, si une bière te tente, c’est très volontiers.
Je n’ai aucune obligation en cette fin d’après-midi. Je pourrais tout autant trainer un bon moment sur ce parking et enchaîner encore quelques rencontres, comme il m’arrive de procéder lorsque “j’ai trop faim”. Cela se produit généralement dès que le mec se casse une fois qu’il s’est vidé les couilles, comme pratiquement tous les hommes mariés venus chercher la turlutte que Madame leur refuse, le “complément”. La culpabilité les saisit dès l’orgasme ! Moi, j’aime autant sucer après que pendant, et n’apprécie pas la hâte post-coïtum. Je retrouve souvent les mêmes têtes sur ce parking, nous nous reconnaissons d’un coup d’œil, et ils se souviennent de moi. Sans un signe, ils se dirigent immédiatement dans un recoin, vérifiant que je suis bien sur leurs traces. Lorsque je les rejoins, ils ont presque toujours leur belle queue à la main, le gland turgescent trempé de désir, se branlant nerveusement en attendant que je prenne la relève, ce qui ne tarde jamais. Leurs mains se referment sur ma tête et rythment ainsi leur gâterie plus ou moins égoïstement, se contentant la plupart du temps de me baiser la bouche, me limant les lèvres à grands coups de queue. J’avoue aimer cela, je ne suis pas dupe ! Rapidement, ils me la plantent au fond de la gorge sans se préoccuper de mon confort ; et alors qu’ils s’imaginent inséminer leur femme dans un coït passionnel, c’est dans ma gorge qu’ils déversent leur trop-plein de sève et d’hormones. Aucun sentiment, aucune attention, une fois essorée, ils remballent leur queue mollissante encore gluante, remontent leur fermeture éclair et filent comme des voleurs, probablement honteux d’avoir eu cette pulsion… jusqu’à ce que le besoin resurgisse.
Et cet après-midi, je viens de sucer un mec qui me plaît, ni rustre ni ingrat, doté d’un physique de super athlète et d’une queue de rêve. C’est avec plaisir que j’accepte de le suivre jusque chez lui.
Son trois pièces (l’appartement !) est à l’image de sa personne ou de sa voiture, hyper clean ; tout est à sa place, l’air semble frais. La décoration et l’agencement épuré lui donnent une impression d’espace. Alexandre m’invite à prendre place dans un des fauteuils de son salon et me rapporte une bière en me précisant de ne pas trop m’enivrer, car il a d’autres projets pour me faire tourner la tête. Nous parlons un bon moment en nous rafraîchissant ; il m’apprend être prof de culturisme en salle, fraîchement séparé de sa copine après 8 années de vie commune ; elle ne supportait plus sa passion pour le culturisme, ni son infidélité récurrente. Il rêvait de candaulisme, de partage sexuel, d’épanouissement, bi depuis… qu’il sait marcher, tout comme moi d’ailleurs ! Il pratique également beaucoup de sport (et ça se voit !), veille à manger équilibré, bref, il prend soin de sa personne. Sa puissante musculature est impressionnante, et je me sens presque ridicule lorsqu’il retire son sweat pour me montrer ses muscles rebondis.
- Ne t’arrête pas en si bon chemin, montre-m’en plus ! lui demandais-je.
- Non, non, après toi. A toi de m’en montrer un peu, je n’ai vu que tes amygdales, pour ainsi dire.
Je ne lui refuse pas, puisque cela veut dire qu’il attend probablement plus de moi qu’une bonne pipe. En quelques secondes, je me retrouve nu devant lui. Sa main malaxant son entrejambe, il me demande de tourner sur moi-même, puis de faire quelques pas dans la pièce pour bien mater mon p’tit cul.
- Tu as un beau paquet, cachotier, t’es bien monté aussi ! Et avec un beau petit cul en plus. Tu m’excites de nouveau. Viens me montrer ça de plus près.
De ses mains, il caresse mes hanches et me fait me tourner. Dos à lui, il passe entre mes jambes et saisit fermement mon 3 pièces (non, pas l’appartement !), puis m’écarte les fesses de sa main libre. J’écarte instinctivement les jambes et me cambre un peu, conscient que l’intérêt qu’il porte à mon cul sera ainsi plus accessible.
- Joli petit trou plissé, pas un poil, qu’est-ce que l’on doit être bien là-dedans ! Tu aimes te faire mettre ? Si tu baises aussi bien que tu suces, ce doit être le kif.
- Que quand c’est bien fait, bien préparé, en prenant son temps, et par une grosse queue pour bien la sentir.
- Et une comme la mienne te suffira ?
- Oh oui, mais après l’avoir longuement pompé, et si tu me la mets sans chercher à me casser en deux, sinon, fin de l’histoire. Je veux jouir, pas souffrir. Et ce serait vraiment dommage, vous me plaisez beaucoup, ta bite et toi.
De sa main entre mes jambes, il m’attire à lui, plus exactement à sa bouche, et je sens soudain ses dents se poser sur mes fesses pour les mordre gentiment, puis sa langue lécher par petits coups ma raie en surface, juste pour me faire frissonner. N’écoutant que mon courage, je me penche en avant et prends appui sur la table basse devant moi. Ainsi ouvert, la petite langue léchouille la base de mes bourses et son nez frôle mon petit trou en émoi. Ma queue s’allonge rapidement, et trouve naturellement place dans sa main, alors que son nez joueur me taquine et que sa bouche gobe un de mes testicules. Exquises sensations. Enfin, sa langue pointe mon petit trou, d’abord timidement, peut-être pour en vérifier la propreté ; mais en quelques secondes, Alex passe à la vitesse supérieure, n’hésitant pas à me violer de sa bonne langue musclée et bien mouillée, mais aussi à m’aspirer l’anus pour bien le dilater. J’adore cette caresse, mais ce n’est pas très souvent que l’on me la pratique. Je suis aux anges, et sa main coulissant sur ma queue ne me laisse pas de glace non plus.
- Bouffe-moi bien, c’est trop bon ! Je vais te pomper jusqu’à la moelle, après un traitement pareil. Oh oui, vas-y, mouille-moi bien, comme ça tu rentreras tout seul.
Branlé par devant, sucé par-derrière, et en plus par Conan le barbare en personne, je sens la soirée bien engagée. Déjà, la route de mes fesses lui est royalement acquise.
- Donne-moi ta grosse queue, s'il te plaît, j’en ai trop envie. lui dis-je entre deux râles.
- Attends un peu, je vais d’abord la laver. Viens avec moi dans la salle de bain.
Chaviré de désir et de plaisir, je me redresse et le suis, la bite à l’horizontale. Son dos, ses trapèzes, ses triceps, tout est démesuré chez ce mec ! Il devrait pouvoir tuer une personne d’un seul coup, s’il le voulait. Lorsqu’il se retourne une fois parvenu dans la pièce, sa grosse queue dépasse de son pantalon, droite et puissante, décalottée. Dans sa voiture en le suçant, je pensais 20 bons centimètres. Mais c’était assis, car debout, son gland masque le nombril, et ça, c’est 22/23 cm garantis. A 20 cm, on voit encore le nombril, croyez-en ma vieille expérience. Je lui commente mon désir de l’engloutir là, sur le champ, de le téter jusqu’à ce qu’il me gicle son foutre chaud, mais il me demande quelques secondes encore pour bien se laver avant de me l’offrir.
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L’eau glisse sur son corps devant mes yeux gourmands, et je n’y résiste pas. J’enjambe la baignoire et lui prends le gel douche d’autorité. Je ne suis pas homo, mais je ne peux réfréner le désir de le laver, rien que pour promener mes mains sur son corps parfait.
- Laisse-moi te caresser avant de t’appartenir complètement. dis-je en déposant le gel sur ses pectoraux.
Je n’ai jamais savonné un homme, mais instinctivement, mes doigts débutent par sa poitrine. Lorsque ses tétons durs entrent en contact avec mes paumes, une sorte de chatouillement, comme un courant électrique parcourt ma verge ; je n’avais jamais ressenti cela en contact avec un homme, aussi séduisant fût-il ! Docilement, je le retourne et parcours son dos ; celui-ci me fait penser à un chemin pavé de galets tant ses muscles sont fermes et dessinés. Ses fesses rebondies sont tout aussi dures. Je tombe à genoux pour mieux les savonner, passe le plat de ma main dans sa raie profonde plusieurs fois, puis traverse sous son corps pour lui savonner la queue dans un branle langoureux, sensuel. Mon corps vient se plaquer contre ce puissant fessier alors que mes mains s’occupent de sa virilité, une branlant sa longue tige, l’autre malaxant ses couilles fermes et lourdes.
- Hummm, quand tu vas me la mettre… chuchotais-je en coulissant avec lenteur ma main glissante de mousse fermement serrée du bout de son gland jusque contre son ventre, mimant ainsi une pénétration, je vais prendre un pied incroyable tant elle est longue et grosse.
A genoux contre lui, j’ouvre l’eau pour bien le rincer sans cesser mes va-et-vient sur son vit, l’eau qui glisse sur son dos ruissèle entre nos corps, douce caresse. Sous le charme, je suis maintenant prêt pour me faire baiser, par la bouche, par les fesses, voir les deux à la fois. Tel un flash, je me revois puissamment sodomisé par l’énorme queue de Patrick en pompant celle de Frank, et le plaisir qu’ils m’avaient procurés cette nuit-là. Mais là, nous ne sommes que deux, je n’ai qu’une envie, celle de me donner à cet homme puissant. Je lui demande d’enfin se retourner pour le sucer, que je n’en peux plus de l’attendre. Sa lourde queue frappe ma joue pendant la manœuvre, je vais le lui faire payer ! L’eau coule toujours sur nous. Je saisis ses couilles et ma bouche se plaque contre elles pour les gober avec avidité, la tête bien maintenue par ses mains.
- Bouffe-moi les, oui, c’est très bien. Ta bouche est trop bonne ! Suce-moi bien pour que je t’encule bien longtemps, je vais te la mettre dans tous les sens !
Sa barre bat contre ma joue, l’eau martèle ma tête, et je lui suce ses burnes en buvant ses paroles crues, mais pas du tout irrespectueuses. Je ne supporte pas la vulgarité, comme de me faire traiter de “p’tite pute”, ou de “salope”. Je suis un mec qui aime le cul, les bites, les vagins, les seins, mais je ne suis pas une femme ; je respecte mes amants en attendant les mêmes égards de leur part.
Ma bouche remonte le long de son mât tel un poisson-pilote sous son squale, l’eau coule dans mes narines et dans mes yeux, mais cela ne m’arrêtera pas. Enfin son frein prononcé m’annonce le début du gland, le bout de sa lourde queue. Mes dents tentent de le terroriser, en vain, il est gonflé à bloc, massif, majestueux, et semble indestructible. A la façon d’une toupie, ma langue taraude son méat tandis que sa voix chuchotante couvre le ruissèlement de l’eau :
- Avale-la, s'il te plaît. Suce-moi. m’implore-t-il dans un feulement.
Ma bouche pleine de salive s’entrouvre sur son membre pour l’y faire plonger. Une main sous ses burnes, l’autre sur sa fesse, et les siennes viennent en renfort pour être certain que je n’arrête pas. Dans ma tête, juste un étage au-dessus de son épaisse queue me pénétrant le crâne, mon cerveau l’implore en boucle de me baiser, de me pourfendre, de me la mettre sur toute la longueur, sans violence, mais indéfiniment. Mon ventre s’échauffe et se détend au rythme des va-et-vient de sa bite entre mes lèvres ; concentré à ma tâche, seuls ses râles me parviennent, ce qui m’euphorisent encore davantage, et provoque une accélération crescendo de ma succion, tête basculée tantôt à droite, tantôt à gauche, mais toujours à fond, lorsque mon nez touche ses poils pubiens. Son gland gonflé martèle ma gorge à chaque plongée, me prédisposant à le sentir me limer le fondement incessamment ; dès qu’il le désirera, je serais prêt à le recevoir, ouvert à souhait.
C’est à croire qu’il devine mes pensées, car soudain, il me plante son vit bien à fond dans ma bouche, et me demande de lui offrir ma croupe, affirmant que si je continue dma fellation à ce rythme, il va obligatoirement décharger. Je me retourne rapidement, toujours à genoux dans la baignoire. Pendant ce qui me semble durer une éternité, Alex brasse dans mon dos, j’entends des bruits de vannes... puis l’eau coule, ne ruissèle plus; il vient de mettre le bain à remplir alors que je l’implore de venir me prendre, de m’enculer, la tête sur le rebord de la baignoire, en maintenant mes fesses écartées. Un liquide froid coule dans mon sillon, une quelconque crème ou lait hydratant je suppose, puis enfin, une main se pose sur ma croupe et de son gland, il étale la crème en parcourant toute ma raie. J’en tremble d’impatience, un frisson me parcourt.
- Viens ! Je n’en peux plus de t’attendre, enfonce-moi la, ta grosse queue. Baise-moi, je la veux !!!!
A peine son gland sur mon anus, je “pousse fort” et recule mon bassin pour bien m’empaler, pour enfin le sentir entrer en moi. Adieu l’inconfort, la température, la faim ou la soif. Que ce soit devant mille personnes, sur le capot d’une voiture en pleine ville, à même le sol dans la forêt, plus rien n’aurait d’importance, du moment qu’il m’encule ! L’homme idéal ? Oui, certainement. Le sexe idéal en tout cas. De son sabre il me pénètre sans douleur, sans heurt, trouvant instantanément asile au creux de mes reins, comme si j’étais calibré pour son vit. J’en lâche mes fesses pour venir agripper le rebord de la baignoire, immédiatement mis en confiance par le comportement d’Alex ; je peux me laisser aller à mon plaisir. Je suis venu cet après-midi sur ce lieu de drague avec l’idée de pomper une bonne teub, et voilà que je suis à quatre pattes dans une baignoire avec un Hercule qui promène en moi ses 22/23 X 5 cm de chair brûlante, qu’espérer de mieux ?
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D’un diamètre constant du gland jusque son pubis, aussi rectiligne qu’un mât de bateau, dur comme l’acier, il s’enfonce en moi avec régularité, m’invitant à bien me cambrer afin de pouvoir se loger entièrement entre mes fesses. Ses assauts sont francs, 100 % invasifs, il n’hésite pas à venir me plaquer ses testicules pendants contre les miens, mais sans chercher à me démonter. Il me la met en prenant soin de me combler. Je délire complètement, lui répétant en boucle que son sexe n’est que plaisir tant il coulisse librement en moi, qu’il me fait vibrer.
- Ton cul est comme ta bouche, tu te refermes sur moi comme un gant, je ne vais pas tenir longtemps dans ton piège à bite ! Quel cul !
Mon piège à bite prend justement un pied du terrible, et je lui demande encore cinq minutes d’effort pour me faire partir. Je suis déjà au bord de l’orgasme ; l’eau monte dans la baignoire, je ne me rends pas compte du temps qui passe. Si le rebord avait été en bois, je l’aurais déjà lacéré, mordu, déchiqueté tant mes mains se crispent lorsqu’il s’enfonce en moi jusqu’à la garde, venant coller ses puissantes cuisses contre les miennes. Mais soudain, ses mains puissantes m’extirpent de l’eau, Alex se redresse et me voilà suspendu en l’air, la tête en bas, toujours agrippé à mon rebord, tel un T-shirt étendu, pendu par l’anus sur sa puissante tringle. Ses couilles contre moi, son gland quasiment dans ma gorge, il me fait naviguer sur sa colonne en revenant se planter systématiquement tout au fond.
Je hurle mon plaisir, une boule de feu irradie mes reins, contracte mon abdomen, et libère de puissants spasmes, contractant mon anus autour de sa hampe : je jouis bruyamment, je pars traverser l’univers, tout m’échappe. Tout… sauf une promesse. Je veux boire sa semence, c’était notre accord.
- Ton foutre, oh ouiiiiiiiii, je veux ton foutre, garde-le moi, vas-y, prends-moi, je jouiiiis !
Ses râles et ses cris trahissent l’intensité de son plaisir. Entre deux vertiges, je l’entends crier qu’il va me nourrir, qu’il va gicler des litres. Lorsque son épée décule, je me laisse tomber dans l’eau pour me retrouver face à cette puissante arme chargée à bloc. Il se jette à genoux, trempe sa queue dans l’eau en se branlant pour la rincer, puis me hurle de la lui bouffer, de l’avaler, de le faire décharger. Mes deux mains s’en saisissent et le branle frénétiquement, ma bouche autour de son gros dard gonflé, ses abdos pulsent comme un cœur, ses lourdes burnes remontées m’avertissent, si besoin en était, que son éjaculation est en route !
Ses cris de bête accompagnent chacune de ses puissantes giclées, et Alexandre n’est pas avare de son sperme. Il m’en décharge de longues coulées que je m’empresse d’avaler, ce qui décuple mon plaisir ; je jouis maintenant plus cérébralement que physiquement. Tout en tétant sa grosse queue, je sens l’eau m’investir en pénétrant mon trou béant, mais ne cherche en aucun cas à éviter cela. Il m’a limé comme un Dieu, et ce rafraîchissement n’est pas pour me déplaire.
Les dernières gouttes de son délicieux nectar avalées, je libère sa longue queue molle, et il s’écroule à son tour dans l’eau, le souffle court, la tête en arrière.
- Qu’est-ce que c’était bon de t’enculer ! Wouahh, tu as un de ces culs… Tu es très “sex”, c’est la première fois que je prends autant mon pied avec un mec. siffle-t-il, haletant.
- Et toi une bite... ce n’est que du plaisir. Tu me la remets quand tu veux ! Enfin… j’te laisse 1/4 d’heure !
Le temps de nous remettre, et nous sortons de l’eau. Nus, nous buvons un coup pour reprendre des forces. Son corps merveilleux, sa merveilleuse et non moins longue queue se terminant par un prépuce dont je me ferais volontiers un cache-nez pour l’hiver, son sperme, sa façon de baiser… je ne trouve aucun point qui me gêne en ce mec, et me dis que la limite entre homo et bi est finalement très frêle. Seule sa bouche ne m’attire pas. Je le quitte en roulant une interminable pelle… à sa queue, tournant plusieurs fois ma langue autour de son gland.
- A bientôt ! lâche-t-il en me claquant sa main sur le cul. Nos numéros de téléphone sont dans nos portables !
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Und lieben will ich ! Lieben, bis mir das Fleisch von der Seele fällt.
Konstantin Wecker (Lieber Gott)


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 Sujet du message : Re: Ebranlé !
MessagePosté : lun. 21 févr. 2011, 11:51 
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Sexe et orientation sexuelle : bi? pas bi? allez savoir...
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Quelle belle manière de commencer la semaine, je me sens tout émoustillé. Merci Bibi pour ce texte, encore une fois, c'est tellement vivant qu'on s'y croirait, et toujours aussi excitant

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln

alors qu'est ce qu'on attend ? :D


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 Sujet du message : Re: Ebranlé !
MessagePosté : lun. 21 févr. 2011, 16:02 
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Sexe et orientation sexuelle : Femme plus ou moins hétéro
Localisation : A l'Est
Il ne manque pas un paragraphe, juste avant la fin ?

A part ça, je suis toujours aussi fan :love:


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 Sujet du message : Re: Ebranlé !
MessagePosté : lun. 21 févr. 2011, 16:46 
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Sexe et orientation sexuelle : Bi & Bitophile
Citation :
Il ne manque pas un paragraphe, juste avant la fin ?

A part ça, je suis toujours aussi fan :love:
A quel moment ? J'ai relu en diagonal, je ne pense pas, mais...
Merci à vous tous pour vos commentaires !
:biz: :lip: :biz:

_________________
Und lieben will ich ! Lieben, bis mir das Fleisch von der Seele fällt.
Konstantin Wecker (Lieber Gott)


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 Sujet du message : Re: Ebranlé !
MessagePosté : lun. 21 févr. 2011, 18:40 
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Bibi! :slt: :D :ctop:


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 Sujet du message : Re: Ebranlé !
MessagePosté : lun. 21 févr. 2011, 20:16 
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Sexe et orientation sexuelle : Bi & Bitophile
Citation :
Bibi! :slt: :D :ctop:
Merci les copains !
Je suis avec mon portable sur les genoux, bien engagé dans la suite "Une soirée réussie" !
Là, je m'occupe de Danièle :horr: :fou:
@ bientôt.

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Konstantin Wecker (Lieber Gott)


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 Sujet du message : Re: Ebranlé !
MessagePosté : lun. 28 févr. 2011, 17:39 
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Sexe et orientation sexuelle : Femme plus ou moins hétéro
Localisation : A l'Est
Citation :
Citation :
Il ne manque pas un paragraphe, juste avant la fin ?

A part ça, je suis toujours aussi fan :love:
A quel moment ? J'ai relu en diagonal, je ne pense pas, mais...
Merci à vous tous pour vos commentaires !
:biz: :lip: :biz:
Citation :
Je le quitte en roulant une interminable pelle… à sa queue, tournant plusieurs fois ma langue autour de son gland.
LA !!! - A bientôt ! lâche-t-il en me claquant sa main sur le cul. Nos numéros de téléphone sont dans nos portables !


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 Sujet du message : Re: Ebranlé !
MessagePosté : mer. 02 mars 2011, 08:38 
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Sexe et orientation sexuelle : Bi & Bitophile
Citation :
Citation :
Citation :
Il ne manque pas un paragraphe, juste avant la fin ?

A part ça, je suis toujours aussi fan :love:
A quel moment ? J'ai relu en diagonal, je ne pense pas, mais...
Merci à vous tous pour vos commentaires !
:biz: :lip: :biz:
Citation :
Je le quitte en roulant une interminable pelle… à sa queue, tournant plusieurs fois ma langue autour de son gland.
LA !!! - A bientôt ! lâche-t-il en me claquant sa main sur le cul. Nos numéros de téléphone sont dans nos portables !
Non, il ne manque rien. :koi:
Imagine la scène, tous deux près de sa porte, lui nu :fou: moi vêtu. Je me penche est lui baise affectueusement le gland :lip: en tournant ma langue sous son long prépuce. Enfin, je me relève pour lui dire au revoir... et là : A bientôt ! lâche-t-il en me claquant sa main sur le cul. Nos numéros de téléphone sont dans nos portables !
C'est ainsi que j'ai écrit cette fin. Et la phrase mentionnant nos portables n'est ni plus ni moins qu'une "porte ouverte" sur une éventuelle suite. :choc:

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