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 Sujet du message : Jeunesse perverse
MessagePosté : sam. 15 avr. 2017, 16:39 
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Enregistré le : sam. 15 avr. 2017, 16:11
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Sexe et orientation sexuelle : Homme, hétéro à tendances bisexuelles
Bonjour à tous et à toutes !
Il y a quelques années, j'occupais certaines nuit solitaires en écrivant quelques nouvelles érotiques et/ou sensuelles, qui mêlaient mes expériences avec mes envies, mes fantasmes avec mes pratiques.
Je vous propose de découvrir l'un d'entre eux, je devais avoir pas loin de 20 ans quand j'ai crée ce récit. Je vous en laisse juges...

— Tu es trop mimi, me lances-tu, avant de me violer la bouche d’un baiser passionné, ta main embrassant… mon paquet.

Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et nous nous retrouvâmes dans le hall en train de nous peloter, les lèvres soudées. Mes mains découvraient ta plastique, tes seins opulents. Tu ne portais presque jamais de culotte, tout au plus quelques jours par mois, et mes doigts ne trouvèrent pas d’obstacle en remontant sous ta robe.

— J’ai envie de toi, viens chez moi cette nuit… murmuras-tu entre deux baisers.

Résister ? Mais pour quoi donc ? Tes chaussures volèrent dès la porte fermée, ta robe tomba à l’entrée du salon, et c’est une superbe femme nue agenouillée qui dégrafe ma ceinture et mon pantalon alors que je retirais ma chemise. Je n’ai le temps d’admirer tes formes, tes mains me saisissent les fesses et propulsent ma verge tendue entre tes lèvres. Non seulement tu sais sucer, mais en plus, tu as l’air d’aimer cela, et ce n’est de toute évidence pas ta première fellation ; ta langue tourne autour de mon gland longuement puis elle embouche mes 19 centimètres sans sourciller en me regardant droit dans les yeux.

Quelques allers-retours, puis tu me lèches, agaces mon frein, puis m’aspires la peau des couilles bruyamment en plantant ton nez à la base de la hampe. Chaque testicule sera gobé, mordillé, lapé, tes yeux rivés dans les miens. Mes doigts se perdent dans tes cheveux frisés, caressent tendrement ton visage angélique, ton menton… Je te demande de calmer le jeu, je ne pourrai pas tenir tant ta hardiesse est excitante. Je désire également goûter à tes charmes, découvrir tes saveurs et tenter d’apprivoiser ton corps aux formes idéales. Un salon en cuir nous reçoit, je m’y vautre tandis que tu me chevauches, m’offrant tes seins à déguster. Ils sont impressionnants tant ils sont sublimes. Des seins en forme de poire, aux aréoles parfaites, des tétons assez proéminents ultrasensibles, et d’une tenue...!

Tu participes activement à cette dégustation, prends toi-même tes seins pour les porter à mes lèvres, roucoules lorsque je les lèche. Puis me tords le cou pour m’embrasser à pleine bouche. Tes fesses se trémoussent dans mes mains, ton bassin ondule pour bien écraser ton clitoris dur contre ma queue, tes grandes lèvres me branlant doucement au passage. Ta douce odeur se répand dans la pièce, ça sent l’amour, deux êtres s’enflamment rapidement.

Je me laisse glisser en embrassant ton ventre, plonge ma langue dans un bruyant « nombrilingus », descends encore et rencontre enfin le petit triangle tant convoité, ta toison pubienne soignée, découvrant toute la douceur de ton goût de femme, ton empreinte, ton véritable parfum, suave, envoûtant, dynamisant. Avec tendresse, je lape largement tout le tour de ton sexe pour te laisser dans l’attente.
L’extérieur de tes grandes lèvres, si douces et tendres, frémissent à mon contact. Tu remues et souffles comme une locomotive ; ma langue chatouille enfin ce petit territoire entre l’anus et le bas de ton vagin ; une marée de cyprine envahit ma bouche lorsque tes petites lèvres entrent en contact avec mes lèvres et que tu propulses ton pubis à ma rencontre : nos corps se marient, ils se soudent dans une étreinte buccale pour quelques instants d’éternité, au rythme de tes supplications intenses et du crissement de tes ongles sur le cuir du dossier du canapé.

Dorénavant, ta saveur et la subtilité de ta mouille resteront en moi, gravées sur ma langue et dans mon esprit.

Mes mains écartent tes fesses pour mieux te découvrir pendant que les spasmes de ton plaisir te font onduler sur ma bouche et ma langue. Ton clito gorgé de désir est décapuchonné, tantôt mordillé, tantôt aspiré ; ma langue se transforme en verge pour partir à la découverte de ton vagin goûteux autant qu’enivrant, ressort darder ta rosette, navigue entre les deux au gré de tes spasmes. Tes cris s’intensifient, ton bassin se bloque de plus en plus en antépulsion, ma bouche alors se transforme en ventouse épousant complètement ton sexe béant et j’aspire de toutes mes forces ton vagin et tes lèvres. Tes mains pressent ma tête encore plus fort contre ta vulve tandis que tu hurles ta jouissance, traversée de convulsions, répand tes jus intimes dans ma bouche.

Tes doigts écartés passent entre mes cheveux en relâchant progressivement ton étreinte, puis tu te laisses à ton tour glisser face à moi pour me rejoindre sur la moquette, me chevauchant toujours. Tout en me dévisageant, tu lèches amoureusement le tour de mes lèvres avant de plonger ta langue entre mes lèvres. Ton goût se mélange passionnément dans nos bouches, alors que tu saisis mon sexe pour le diriger vers ton ventre brûlant.

— Laisse-moi te faire jouir… murmures-tu à mes oreilles.

Quelle relation entretiens-tu avec ton propre corps ? Sommes-nous en parfaite symbiose de corps et d’esprit, avec nous-mêmes ? Est-on sûr de l’objectivité des sensations ressenties lorsque des milliers de récepteurs nerveux propulsent toutes ces réflexions vers notre cerveau ? Les quelques secondes que durent une première pénétration n’ont jamais été anodines pour moi, quel que soit mon âge ou le type de rapport, homo ou hétéro, que je sois actif ou passif, dominant ou dominé. C’est l’instinct de survie qui doit superviser nos actes, je ne peux concevoir cela autrement. La prise de conscience quant à la suite à donner à cette première étreinte doit être quasi immédiate. Et là, ce soir, notre compatibilité est parfaitement osmotique.

Tu t’empales délicatement sur ma queue gorgée de sang par de petites ondulations du bassin, la tête en arrière, le torse bombé, tes mains sur ma nuque. Ton vagin aspire mon gland avec douceur jusqu’à ce que celui-ci rencontre le col et s’immobilise quelques instants. Mes mains caressent ton dos tendrement, puis l’enserrent contre mon torse afin de renforcer ce premier contact. Tu contractes sa petite chatte sur mon pieu turgescent et ne sembles pas pressée de débuter le ballet qui nous conduira vers les sommets ; avec délicatesse, la pointe de mes doigts parcourt ta colonne vertébrale de part et d’autre pour venir embrasser tes deux globes à pleines mains, puis des paumes, caresser tes cuisses jusqu’à tes genoux pliés.

Imperceptiblement, en relâchant tes muscles puis en recontractant régulièrement tes muscles vaginaux, ton sexe caresse amoureusement le mien si chaleureusement inséré au plus profond de ta personne. Ma bouche se régale avec tes seins, lentement ton bassin commence à danser, ton corps entre activement en action. Je te demande de m’achever, je n’en peux plus et crains de jouir trop vite.

— Chuutttttttttttt, on s’en moque, on est si bien, me murmures-tu en enfonçant ta langue dans mon oreille pour me la lécher.

C’est la première fois que je subis cette caresse, et ne l’oublierai jamais d’ailleurs. Connectée par des milliers de neurones, tu sais exactement où j’en suis, et mènes le bal. Ton vagin semble être fait de petites mains qui enserrent ma hampe ; mes mains passent sous ta croupe pour t'intimer d’accélérer le rythme, mes couilles me brûlent dangereusement. D’autorité, tu prends mon majeur entre tes doigts et le guide jusqu’à ton petit trou pour me faire comprendre ce que tu désires. Ma bouche s’ouvre sur ton sein et aspire avidement l’aréole au complet en même temps que mon doigt plonge dans ton cul serré. Ton ventre me pompe la queue d’un seul coup en propulsant ton pubis de bas en haut, c’en est trop, trop d’informations et de sensations à gérer, c’est le tilt complet, je pars. Un cri traverse ma gorge, étouffé par le sein de ma belle inconnue, et de toute façon couvert par l’invitation verbale que tu me glisses dans l’oreille alors que ton cul monte et descend en s’emballant.

— Oui, viens maintenant, lâche-toi en moi, fais-nous jouiiiiiiiir !

Mon ventre se tend alors que mes couilles se calent en l’air. Un train complet de sperme venu directement de mes tréfonds part à la découverte de ton utérus avec toutes les intentions les plus louables. Tu te contractes et viens à la rencontre de mes assauts, répondant à chaque jet de foutre avec une spontanéité fusionnelle. Ma bouche lâche ton sein et rencontre alors la tienne pour un baiser langoureux pendant que ta mouille coule sur mes burnes vidées. Ma nouvelle maîtresse vient de me démâter, à tous les sens du terme.

Nous restons enlacés à dévorer nos langues de très longues minutes, nos sens en ébullition, nos peaux électriques se découvrant, mélangeant nos fluides. Les quelques instants suivant la jouissance sont divins, nous sommes tellement réceptifs ! Tes douces lèvres m’embrassent le visage, le cou, alors que je te remercie de cet orgasme.

— Mais je te remercie pour ces orgasmes également, tu es un merveilleux jeune amant, j’adore ta façon d’aimer !

Mon sexe reprend ses mensurations de repos et recule graduellement dans ton vagin. Mon foutre, mélangé à ta délicieuse mouille, s’écoule doucement le long de mes couilles. D’une contraction, tu éjectes ma verge de son chaud vagin en me souriant avec complicité.

— Et schwuppdiwupp ! ris-tu.

Te tournant sur le côté, ta main se pose sur mon sexe, étalant nos jus sur mes bourses dans un tendre massage ; puis tu plonges ta tête vers mon entrejambe, donne quelques coups de langue sur ma queue ramollie avant de la prendre entre ses lèvres et de l’aspirer jusqu’aux couilles. Je n’en reviens pas… ton côté nature est déroutant. Tu vis l’instant, sans préjugés. Ta langue tourne autour de mon gland qui se demande ce qu’il lui arrive. Mais alors que ma bite s’allonge de nouveau, tu l’abandonnes en se relevant pour m’embrasser d’un baiser autant langoureux que goûteux.

— J’en avais besoin ! J’ai soif, tu veux boire un jus de fruit ?

Je la vois debout devant moi, nue, splendide. Tu te tournes pour aller vers la cuisine ; des jambes parfaites surplombées par un cul à vendre son âme au diable. Svelte, élancée, divinement femme… et une bombe sexuelle de toute évidence.

Nous nous retrouvons vite sous la douche à nous découvrir. Nos mains et surtout nos doigts savonnent chaque centimètre carré de l’autre avec une attention toute particulière. Deux doigts à l’entrée de ta chatte serrée, un autre dans son tendre anus, ma bouche suçant la peau de ton cou auront suffi à te faire jouir encore une fois, alors que l’eau ruisselle sur nos corps. Je tombe à genoux pour venir de mes lèvres profiter de ta petite chatte triplement mouillée d’eau, de cyprine et de sperme.
De la pointe de ma langue, je darde l’entrée de son vagin, profitant pleinement de nos jus mêlés. Tu places alors tes doigts de chaque côté de ta vulve et l’écartes, l’ouvres au maximum. Ton vagin bée alors, surplombé de ton clitoris que tu décapuchonnes de la pointe de son index. Émerveillé par ton sexe ainsi ouvert ruisselant d’eau de douche, le visage à seulement quelques centimètres, j’entends alors un mot qui étrangement n’arrive pas très vite à mon cerveau :

— Pipi !

Effectivement, bien avant que j’en aie compris le réel sens, un jet doré sorti directement de ton méat éclabousse mon menton avant de couler dans mon cou et sur mon torse. Ma belle se libère la vessie, me faisant profiter de son concentré. Voyant mon étonnement, tu ris et pisses de plus belle, ne me laissant finalement guère d’autre alternative que de te laisser faire. Contre toute attente, je laisse un peu d’urine pénétrer ma bouche, mais la recrache presque aussitôt, surpris par ce quatrième goût.
Ta miction bien entamée, je décide d’y retourner de suite, plus pour ne pas perdre la face que par envie. Mes lèvres prennent la totalité de ta vulve en bouche qui t’aspire, te lèche, mélangeant toutes les saveurs de ma petite joueuse aux gros seins.

— Bois, c’est tout à toi, oui, lèche-moi ! me dis-tu, ta main dans mes cheveux.

Ce chaud flux transite par ma bouche, mais je le laisse couler sur mon torse, me contentant pour ce dépucelage de « jouer le jeu » en te dévorant ton adorable minou.

Allongée sur le dos en travers de ta couette, moi debout à ta tête, je me penche pour t’embrasser à pleine bouche, puis descend lentement vers tes seins, ton ventre… en même temps que ma queue est aspirée par ta bouche, tes jambes s’ouvrent, m’offrant ta succulente petite chatte à dévorer. Je passe tes jambes sous mes bras, prends tes fesses à pleines mains en les écartant outrageusement, pouvant ainsi promener ma bouche de ton petit trou jusqu’à ton clitoris. Je reste planté dans ta bouche et tu me suces avec une avidité n’ayant d’égale que ta détermination. Mon pouce trouve rapidement sa place dans ton anus bien mouillé de ma salive, mon autre main écarte le capuchon de ton gourmand clito pour que ma langue puisse le stimuler. J’adore planter mon nez à l’entrée de ton vagin et me saouler de ta merveilleuse odeur.

Sucé et branlé avec tant de vigueur, mes couilles remontent de nouveau et un grand frisson part de mes reins, m’ordonnant de planter mon pieu dans ta bouche accueillante pour y projeter ma semence. De ton côté, tu frottes frénétiquement ta chatte trempée contre ma bouche. Nous sommes synchrones dans notre seconde jouissance commune… et ce sera ainsi presque à chaque fois avec toi.
Secoué par l’orgasme, je nettoie méticuleusement ton entrejambe avant de m’écrouler sur le côté. Tu viens te blottir contre moi, de ta main diriges ma bouche vers la tienne. Au moment où j’ouvre les lèvres pour plonger ma langue à ta rencontre, un liquide chaud envahit l’espace, puis enfin ta langue vient se coller juste derrière mes dents ! La joueuse a gardé mon foutre et me le fait partager dans un étrange et torride baiser.

Heureux, repus, nous nous endormons ainsi, l’un contre l’autre, ma main gauche confortablement posée sur ton sein...



J'écrivais toujours ces récits dans l'idée de les faire lire à la femme que je fréquentais dans ces moments là. J'aimerais en écrire de nouvelles, peut-être l'une de mes lectrices saura être séduite par ma plus et tentera l'expérience à mes côtés, deviendra un genre de muse sensuelle, ahaha !
J'attends vos retours, bonne journée !


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 Sujet du message : Re: Jeunesse perverse
MessagePosté : dim. 16 avr. 2017, 09:07 
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Enregistré le : lun. 06 déc. 2010, 00:45
Messages : 16118
Sexe et orientation sexuelle : Hétéro
Localisation : Les Yvelines
Voila un texte qui ne laisse pas indifférent le lecteur que je suis. Chapeau. :D

_________________
"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".


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 Sujet du message : Re: Jeunesse perverse
MessagePosté : dim. 16 avr. 2017, 09:36 
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Enregistré le : lun. 22 nov. 2010, 10:17
Messages : 14996
Sexe et orientation sexuelle : pervers polymorphe
Localisation : 9.5.
Un très bon récit, très vassilien que je recopierais (si l'auteur en est d'accord) dans la section "histoires", du site
Félicitations et encouragement à l'auteur !

_________________
:mauve: L'ordre moral revient, ayons l'air occupé.


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 Sujet du message : Re: Jeunesse perverse
MessagePosté : jeu. 20 avr. 2017, 12:24 
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Enregistré le : mer. 02 nov. 2016, 13:36
Messages : 846
Sexe et orientation sexuelle : mâle bisexuel
Excellent récit , très vivant et très bien écrit :clap: :clap:

_________________
Une fois, j'ai fait l'amour pendant une heure cinq. C'était le jour du changement d'heure.

Citations de Garry Shandling


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