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Sous terre !
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Auteur :  bibi [ jeu. 16 déc. 2010, 13:28 ]
Sujet du message :  Sous terre !

Encore un de mes petits délires !
C'est toujours bi, j'annonce la couleur.
Bises à vous tous.
:lip:

Sous terre !

“J’y vais, ou je n’y vais pas ?”, telle est ma question. L’annonce a le mérite d’être claire : cherche homme 25-35 ans, clean, non efféminé pour me pomper dans parking souterrain le soir à partir de 20H00. (41 ans, 1.80 m, 72 kg, BM 21/5 réel, gros juteur, très… gourmand). Contacter pour lieu du RdV au 06 bla-bla-bla si très motivé, pas sérieux s’abstenir.
 Il est 19HOO, je compose le numéro ; mon pouce droit reste un instant suspendu au-dessus de la touche d’envoi, puis la gravité l’emporte, mon doigt descend et écrase la touche. Des hommes, j’en ai connu des centaines, dragués directement ou indirectement, seuls comme en groupe, de jour comme de nuit. Et pourtant, il y a toujours une sorte d’appréhension lors d’une première prise de contact. Pourtant, entre adultes consentants…
“Oui, allo ?” la voix est posée, dès la deuxième sonnerie, l’homme a décroché. Je lui explique avoir lu son annonce, et désirer en savoir plus sur sa personne dans la mesure où le “poste” serait toujours vacant. “Tout à fait, je n’ai eu que deux appels, mais pour l’instant, personne de sérieux!” Sa voix est rassurante, pas l’ombre d’une hésitation, et son élocution dénote une certaine intelligence. Il me raconte avoir envie de se faire sucer dans un parking souterrain, que la promiscuité des passants l’excite terriblement et qu’il est quasi certain de prendre un pied terrible. Sinon, les mensurations figurant dans l’annonce sont sans contestation possible et, selon ses dires, “on” le dit plutôt belle gueule. A sa demande, je me décris quelque peu, et lui demande s’il ne serait pas plus simple de faire un galop d’essai, histoire de voir si le jockey maîtrise l’étalon ! “Parking Bellefond, 2ème niveau, place 130, allée D, à partir de 19H45, porte arrière droite, je banderai déjà. C’est noté ?” La communication est coupée à peine ma confirmation exprimée. D’un autre côté, le virtuel ne nous intéresse ni l’un ni l’autre.
Je pénètre dans l’ascenseur, puis déjà les portes s’ouvrent. La petite boule est là, au creux de mon estomac : sur qui vais-je tomber ? Si le type me paraît louche, je n’aurai qu’à passer mon chemin, après tout. D’un pas décidé, je remonte les allées et m’engage dans la bonne. Il y a encore pas mal de voitures, probablement des bureaux où de consciencieux cadres dynamiques peaufinent de fastidieuses démarches, ou encore des employés des nombreuses galeries juste deux étages plus haut. Place 120. Encore une trentaine de mètres me séparent… des 21 cm annoncés ! Je souris de ma boutade en continuant d’avancer. Sur la place 130 est garé un Mercedes Viano aux vitres teintées. Ne distinguant personne à l’intérieur, je continue et prends à droite deux voitures plus loin, puis une fois encore pour revenir de face. Ne distinguant toujours personne, je crains un instant à une quelconque erreur, mais la porte latérale s’ouvre comme par magie à mon approche. Mon rendez-vous est bien là, nu comme un ver à l’exception de sa chemise ouverte, de trois quart tourné vers moi, jambes écartées, arborant une solide érection qui ne ment pas le moins du monde sur son excitation. “Salut, tu es à l’heure, c’est bien ! On t’attend, grimpe vite. Je m’appelle Charles. Et toi ?” Tout en me présentant, sans l’ombre d’une hésitation, je m’exécute et me retrouve assis à ses côtés, découvrant un homme d’allure sympathique, effectivement très beau gosse, le teint halé, assez musclé avec de beau abdos. Sa belle queue dressée surplombe une bonne paire de bourses s’étalant sur le cuir de la banquette arrière, le tout parfaitement épilé, lisse, appétissant. Ma main s’avance pour étreindre sa virilité en lui confirmant qu’il n’a pas menti, qu’elle est magnifique et que je vais prendre beaucoup de plaisir à lui en donner. Ce type de véhicule est très spacieux, un véritable salon roulant. Les sièges avant sont pivotants et tournés vers l’arrière, hauteur mise à part, il y a toute la place nécessaire pour s’ébattre. Je m’attendais à un plan voiture, souvent banquette arrière, là, je suis très surpris ! Je me mets à genoux sur la moquette du plancher, et après quelques mouvements de branle, histoire de faire connaissance, je le prends en bouche, enroulant ma langue tendrement autour de son gland décalotté et turgescent. Il sent le mâle propre, la peau de son vit libère un goût suave sur mes papilles. La boule au creux de mon estomac s’est envolée, l’appel à la débauche prend le relais calmement au fur et à mesure que mes lèvres descendent le long de sa bonne et longue hampe épaisse. “Hummmmmm, j’adore être sucé. Pendant que tu t’occupes de ma queue, je vais tout t’expliquer : d’habitude, ce sont des femmes qui me pompent, je suis un chaud. Mais il y a quelques semaines, on faisait une soirée chez des amis, et c’est parti en live. Saoul, je me suis retrouvé couché sur un lit, et une bouche me suçait avidement, je me suis laissé faire sans aucune objection, persuadé qu’il s’agissait d’une nana me faisant du bien. Quand je me suis réveillé, j’ai trouvé un mec à mes côtés, et c’était un des gars présents ce soir-là, lui-même qui m’avait fait autant jouir ! Je me suis enfui honteux, mais… ce fut la révélation, et depuis, je n’ai qu’une envie, c’est recommencer, ce pourquoi tu es là. Je ne veux pas être autoritaire, mais je voudrais que tu fasses ce que j’ai envie, j’aime la provocation. Des gens vont passer pour reprendre leur voiture, j’aimerais qu’ils nous voient et comprennent ce qui se passe, et que nous sommes deux mecs. Il n’y a pas de risques d’être vus par les caméras, nous sommes dans un angle mort, tu n’as pas à t’inquiéter de cela. Oui, suce-moi bien. OK ? J’assume les risques, c’est ma voiture, tu n’as rien à craindre.”

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Ma main malaxe ses belles couilles. Arrêtant de m’occuper de sa belle queue quelques instants, je lui réponds bien vouloir jouer le jeu, tant que nous restons dans du raisonnable, et que s’il va trop loin, j’arrêterai sans hésitation. Ma bouche se referme de nouveau sur sa verge, et cette fois, je m’applique à bien l’engloutir, puis remonte tout doucement pour le lécher comme une glace. Son méat est assez dilaté, ma langue s’y aventure alors que je le fais s’entrouvrir de mes doigts. Un beau trou comme celui-là doit bien débiter, je le vérifierai plus tard, et redescends ma gueule vorace pour le mordre tendrement le plus bas possible, lui arrachant quelques gloussements. “Continue, je vois une femme qui s’approche, j’ouvre un peu les vitres avant, continue, suce-moi fort, tu me fais bien bander !” Avec énergie, salivant beaucoup pour bien glisser, ma tête va et vient rapidement alors que les vitres descendent. Le bruit des pas sont distincts, la personne n’est qu’à quelques mètres, et mon hôte soupire et m’encourage d’une voix volontairement forte pour qu’elle arrive aux oreilles de la passante. Instantanément, les pas ralentissent, et alors que je me régale de cette bonne queue, je m’imagine la réaction de cette femme. “Oh oui, tu me suces bien, je vais bientôt venir !” feint-il pour mieux aguicher la dame. Puis il me chuchote que nous sommes localisés, qu’elle fait une drôle de tête, et que… c’est trop bon. Il entrouvre la vitre latérale avant de reprendre ses supplications à voix haute ! Les pas se rapprochent et en levant les yeux, j’aperçois une silhouette qui s’engage côté chauffeur entre les voitures, et s’arrête à la hauteur de la vitre ouverte d’une quinzaine de centimètres, mimant chercher dans son sac. Son regard croise le mien alors que je pompe cette belle queue et que Charles s’exclame bien fort qu’aucune femme ne l’a encore aussi bien pompé. Réalisant pleinement l’incongruité de la situation à laquelle elle assiste, ses yeux s’écarquillent, un rictus d’hébétude marque son visage, et la voilà repartie vers sa destination initiale. “J’adore ça comme situation, j’en bande comme un âne ! Et tu suces divinement bien, continue doucement, s’il te plaît.” Je lui décris la tête de cette brave dame, et qu’effectivement, cette situation me fait autant bander que sa belle et bonne bite. Il me demande alors de me déshabiller, que de me voir nu l’excitera davantage. Lentement, je retire mes chaussures et mes vêtements, les dépose sur le siège avant, ne gardant que ma chemise. Le véhicule n’a pas assez de hauteur, je suis donc penché en avant, lui offrant mon fessier à découvrir, tenant volontairement les jambes écartées pour qu’il voie bien mes grosses burnes bien lourdes. Sa main vient instantanément se coller à mes fesses, et alors qu’il me caresse l’intérieur de la cuisse et la raie, ses commentaires se font élogieux. Alors que je me retourne, ma queue dressée l’attire et il s’en saisit pour me branler un peu. “Tu es bien monté, toi aussi. Avec un beau p’tit cul. Reviens vite me sucer lentement.” 
Je me réinstalle docilement et ma bouche s’ouvre en grand pour me régaler de sa belle barre. Beaucoup d’hommes auraient voulu jouir depuis longtemps, pressés de se faire pomper ! Mais il semble se contrôler parfaitement, préférant laisser mijoter son orgasme que de consommer trop vite son plaisir. Ses couilles douces trouvent de temps à autre asile dans ma bouche, ce qui ne manque pas de le faire feuler. Soudain, il m’avertit qu’un homme approche, qu’il va “couiner” un peu plus fort pour attirer l’attention. Je suis à genoux à même le plancher, le cul bien exposé, toujours à le pomper avec délectation, lorsqu’il grogne comme une bête et sermonne des mots crus que seul un mâle en pleine action peut exprimer. “C’est bon, il nous a repéré !” chuchote-t-il avant de me supplier fort de lui pomper son gros dard. Sa grosse queue est vraiment très dure, une véritable barre d’acier, preuve que le jeu l’excite s’il en fallait une. Levant mes yeux pour l’observer, il feint d’avoir les yeux fermés pour paraître plus crédible et donner l’illusion d’être absorbé ! Absorbé, ça, je m’y emploie avidement, cambré au maximum, je me surprends même à glousser de gourmandise. Tant qu’à jouer, jouons ! Je pose un genou sur la banquette pour que mes fesses soient bien écartées, offertes, ne sachant pas de quel côté vient cet homme, ni s’il vient réellement ! Charles me tape discrètement sur l’épaule, je reçois cela comme la confirmation d’une présence, puis une voix résonne derrière moi :”Putain, y’en a qui ne s’ennuient pas, là dedans !” Et immédiatement, mon complice m’encourage à le pomper encore plus fort, criant qu’après il m’enculera comme je le voudrai, qu’il me baisera ainsi de tous les côtés, et que s’il le faut, il demandera de l’aide pour bien me faire baiser. Sans faiblir dans mon entreprise, je relève les yeux afin de voir ce qu’observe mon insatiable provocateur, et ce dernier est justement en train de faire un signe de la tête pour acquiescer quelque chose. Et l’instant d’après, le bruit du moteur de porte coulissante me fait comprendre que je suis largement exposé. Une main agrippe mes couilles pendantes, les serre fermement. Pendant quelques secondes, je me demande dans quoi je me suis embarqué, me traite de “fou de bites”, puis lorsque la main commence à branler ma hampe, mon attention se focalise de nouveau sur la grosse bébête qui se trouve dans ma bouche. “Putain, il me ferait bander comme un cerf à le voir te sucer ! Tu ne veux pas le partager un peu, le temps d’une pipe ?” Je me retourne pour voir un peu à qui j’ai affaire. Le type a une bonne tête, baraqué, bien vêtu. Même si ce n’est que l’organe qui m’intéresse chez lui dans cette situation, je ne veux pas de n’importe qui. Me retournant vers Charles, ce dernier comprend mon regard et m’invite à le sucer si j’en ai envie, en me précisant qu’il apprécierait beaucoup qu’une autre personne se joigne à nous.
Sans me démonter, je demande alors à cet illustre inconnu de me montrer sa queue, car je n’aime que les grosses, et uniquement si elles sont propres. Il jette un œil autour de lui et ouvre sa braguette, tire sur son slip et une belle queue encore molle en tombe, fière. Assez large, et son gland recouvert d’un beau prépuce mérite qu’on lui porte intérêt ; vendu, je lui demande de venir s’asseoir. Charles se redresse,  je me mets au milieu assis sur le sol pendant que notre invité s’assied. La porte refermée, les vitres remontées, il baisse spontanément son pantalon et son slip sur ces chaussures, exhibant fièrement son gros paquet, constitué d’une bonne paire de couilles et d’un gros morceau de bite. Je prends ces deux bites dans mes mains et les branle lentement, mais Charles me demande de sucer ce nouvel arrivant bien à fond, prétextant avoir hâte de voir comment j’avale la queue d’un autre, et qu’il va se branler en matant !
Je me mets à genoux, les fesses du côté du siège chauffeur et ma bouche vient gober le beau gland tout neuf qui s’offre à moi. “Oui, suce-le bien, prend sa bonne queue dans ta bonne bouche !” m’intime Charles qui se penche pour m’écarter les fesses. Voir une queue et la prendre en bouche sont deux choses bien distinctes, et j’en fais de nouveau l’expérience : tout est une question de proportion. Cette bite paraît grosse, mais sur son porteur, qui est très costaud, avec de grosses cuisses et un bassin imposant, sa verge est… proportionnelle, il a une belle andouillette entre les jambes ! Mais lorsque mes lèvres s’ouvrent pour la sucer, mes mâchoires s’écartèlent véritablement, car il est vraiment très large ! Et me revoilà parti à sucer, découvrant un autre goût, une texture complètement différente, une odeur très musquée. Pascal (c’est son prénom) est brun, même si sa peau n’est pas du tout mate, ses odeurs sont assez typées, tout en étant raisonnables. Alors qu’il nous commente sa joie de se faire sucer en nous précisant qu’il ne s’attendait pas à se faire pomper ce soir en prenant l’ascenseur, Charles, lui, a changé de siège pour se placer derrière moi. Il me plante son pouce entre les fesses tout en me caressant les couilles qu’ils trouvent très appétissantes. “Bouffe-moi les miennes, de couilles ! Tu suces si bien que je ne vais pas tenir longtemps, et ça fait huit jours que je n’ai pas déchargé, j’en ai plein pour toi.” Je lui gobe ses bijoux de famille alors que Charles, lui, une fois son pouce retiré, le remplace par son gros gland. Sa queue est en béton armé, inflexible. “Je n’ai jamais enculé un mec, mais ton cul m’excite trop, je vais te prendre pendant que tu pompes notre ami, et jusqu’à ce que tu le fasses juter entre tes lèvres !”

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J’avais prévu de me faire sodomiser ce soir, et ne crains donc rien. Mes reins sont propres et glycérinés ! Je dis à Pascal de bien se lâcher, que j’adore qu’on me jouisse dans la bouche, surtout lorsque deux belles queues m’envahissent ! Et je reprends ce gros gland en bouche avec avidité, tandis que Charles enfonce par petites poussées sa barre torride qui force mon intimité. D’un côté, un 18 XXXL, de l’autre, un 21 XXL, au milieu, un homme satisfait de son sort. Baisé dans une voiture tout en pompant un deuxième, à l’intérieur d’un parking souterrain, je n’y aurais jamais songé ! Mes verrous lâchent les uns après les autres, Pascal s’enfonce dans ma gorge jusqu’à la garde en soufflant, répétant qu’il va me noyer de foutre tant c’est bon. Derrière moi, mon enculeur commence à coulisser allègrement entre mes fesses, mais je sens qu’il hésite à aller trop loin. C’est particulièrement ce que j’aime en matière de sodomie, être profondément investi. “Viens bien au fond, colle tes couilles contre les miennes et reste bien au fond.” lui dis-je. Ses mains bien agrippées à mes hanches, il s’applique enfin à me pointer son long dard dans le rond, sans se presser. Je l’encourage verbalement, implorant les bienfaits de son membre et le plaisir que m’apportent le contact de ses burnes contre les miennes. Pascal m’implore de le reprendre en bouche en me disant qu’il ne tient plus et va jouir d’un instant à l’autre tant tout cela est torride. Ses couilles remontent à peine, et sa main vient se poser sur ma nuque, bien que je n’aie pas l’intention de fuir. Charles, les jambes pliées de chaque côté de mon fondement me tient et pilonne, maintenant solidement planté en moi, et donne des petits coups de reins très attentionnés en me remerciant de lui avoir donner mon cul pour une première. Et moi je m’empale encore davantage en pompant cette bonne bite, lorsque dans un râle puissant dont seul les hommes ont le secret, Pascal libère son sperme qui d’un coup me remplit la bouche. J’avale ce cadeau sans trop m’attarder sur le goût, conscient qu’il ne s’agit là que d’un premier jet. Effectivement, au second râle, il me régale de nouveau copieusement, m’ordonnant de bien le boire. “Oui, avale-le bien, essore-lui ses belles burnes, après ce sera mon tour, je vais te donner mon foutre à avaler aussi, même si jouir dans ton cul doit être délicieux !” Une troisième dose me parvient alors que la queue dans mon ventre me chauffe les reins en me donnant de subtiles bouffées de frissons. “Prends-en encore, il en reste !” geint Pascal qui jouit ses dernières réserves en me plantant sa large bite dans les amygdales. Mais le cinquième jet est le dernier. Ses couilles redescendent sur mon menton tandis que sa hampe désenfle légèrement. Mes mains caressent son bel organe, ma langue tournoie autour de son gland avec douceur, essayant de l’accompagner dans sa jouissance sans donner de désagrément. Charles me propulse sa belle tige en soufflant fort lorsqu’il me demande de l’accueillir prestement pour me donner le reste. Son foutre doit lui gargouiller dans les couilles depuis le temps qu’il se retient ! 

Il se retire rapidement de mon anus, me demandant comment je pouvais “autant” en prendre sans hurler de douleur ! “C’est tout naturel, à condition d’être respectueux et doux, une belle queue trouve toujours sa place en moi.” Ma main tient le sexe de Pascal qui se remet en nous observant, tandis que Charles s’affale jambe écartées à ses côtés, la bite tendue à rompre et les couilles déjà bien hautes. Impatient de le sentir se vider en moi, j’avale le gros gland gonflé de mon complice. Il disparaît entre mes lèvres qui aussitôt partent à l’assaut de sa hampe. “Putain, quel pied ! Mais quel pied !” répète Pascal, qui du coup me palpe les fesses. Moi,  je suis étonné de l’endurance de Charles, depuis plus d’une heure que je le suce ou qu’il me prend, il n’a à aucun moment faibli. Mon autre main lui serre fort les couilles, ma bouche l’aspire puissamment tout en coulissant sur les deux tiers de sa tige raide. “Oui, tu me suces bien, oui. Vas-y, ne t’arrête pas, encore, je vais décharger, ohhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !”
Brûlant comme de la lave, son foutre est projeté avec une puissance incroyable au fond de ma gorge. De multiples jets me frappent délicieusement, il n’arrête pas de se vider, ses dents serrées laissant juste filtrer son plaisir. Ivre de jouissance, il se saisit de ma tête et m’enfonce son arme à peine mollissante jusqu’à ce que mes lèvres atteignent sa large base, écrasant ses belles grosses bourses contre mon menton. “Quelle bouche, mais putain, quelle bouche !” répète-t-il en débandant entre mes lèvres. J’adore cet instant, lorsque le sexe de mon amant est mou mais suffisamment congestionné pour continuer à me remplir de sa chaleur, et que le puissant goût de son sperme “résonne” de papille en papille en glissant tendrement entre mes lèvres. Pascal semble fasciné par mon anus béant. Ses genoux sur la moquette, il me tient les fesses bien écartées en affirmant que s’il ne venait pas de jouir, il s’y enfoncerait volontiers. “Une autre fois, si tu le veux, je te le donnerai avant que tu jouisses ! Ce soir, je n’ai plus le temps, désolé.” lui dis-je en tenant dans ma main son gros paquet bien renflé. Ce n’est pas tout à fait vrai, mais j’ai bien envie de finir seul avec Charles, tout en voulant garder une éventuelle opportunité.
Il est temps de nous revêtir. Assis par terre, j’enfile très lentement mes chaussettes alors que Pascal s’est déjà rajusté. Il sort son portable et me demande mon numéro, désirant assez rapidement goûter aux joies de la sodomie. Ceci fait, il nous remercie et s’éclipse, nous laissant seuls… sous terre. 
Charles n’a pas bougé d’une couille, sa hampe pendant bas au-dessous du bord du siège, ses jambes toujours écartées. “Alors, as-tu apprécié ton plan ?” risquais-je en tendant le bras pour attraper mes fringues. “Tu m’as fait un bien fou, c’était encore mieux que prévu. Ton cul et ta bouche sont d’une souplesse et d’une douceur irrésistibles. J’aimerais encore t’enculer, mais cette fois, en prenant le temps de te combler, là, dans ce parking. Tu n’as plus envie ?”. Mes yeux sont rivés sur son beau et long membre, et je ne vois pas pourquoi je refuserais une bonne occasion ! Lisant dans mes yeux mon désir de rester, il se penche vers l’arrière et attrape deux couvertures. Il  me demande de l’aide pour les étaler sur le plancher du véhicule pour nous préparer une surface douillette, puis me demande de m’y allonger sur le dos. Ses genoux se placent de chaque côté de ma tête afin de me poser ses couilles sur la bouche.

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A peine je commence à les lui sucer qu’il se penche sur moi et prend lentement mon sexe entre ses lèvres, contre toute attente, et entame alors une lente esquisse de fellation. Mon sang ne tarde pas à prioriser ma verge, lui donnant en quelques secondes tout son volume et sa longueur. J’aspire à mon tour son vit et m’empresse de le faire durcir, lui répétant que j’ai vraiment envie qu’il me la mette jusqu’aux couilles ! Il passe une main sous mes fesses et nous fait basculer sur le côté. Nos bouches sont avides et dévorent nos queues avec fougue, impatients de nous unir, de nous mélanger, de nous étreindre plus intimement.
Mes fesses disjointes, la queue palpitante, Charles laisse couler un long filet de salive directement sur mon rond. L’exquise sensation humide m’ouvre comme une fleur et ses doigts profitent de mon hospitalité pour s’immiscer dans mon rectum. “Oh oui, prépare-moi, crache bien dans mon cul pour le rendre glissant !” Sa hampe est raide, ses 21 cm sont effectifs, gluants de ma salive, je le veux vite en moi, je veux qu’il me baise, je lui en intime l’ordre. D’une rapide culbute, il se place entre mes jambes, son gland large et gorgé comme un fruit trop mûr me pointe. Tel une pucelle en chaleur, j’envoie les fesses vers son ventre en lui prenant les couilles à pleine main, et en une seule poussée commune, nous nous emboîtons jusqu’à la garde, ce qui m’arrache un puissant râle de satisfaction. “Lime-moi, baise-moi, remplis-moi le cul, fais de moi ce que tu veux, mais ne sors plus de mon ventre, je t’en supplie. Empale-moi longuement, vide-toi en moi, je te veux tout entier, queue, couilles et foutre.”
Charles me replie alors les jambes haut sur la poitrine et s’allonge sur moi en me plantant sa grosse queue par petits coups de quelques centimètres. Le délicieux contact de ses testicules ne quitte quasiment pas mes fesses et son pubis écrase agréablement les miens alors que son gland semble investir mon estomac. Ses yeux me fixent tandis qu’il me pilonne de longues minutes, me demandant comment je le ressens, si j’aime sa queue, s’il veut que j’arrête. Mon ventre se tend, et s’il me baise ainsi, je sais que je vais jouir d’une façon spontanée. Je l’encourage à me faire jouir, lui demande de prendre le temps. Mais il veut tout de même varier les postures, et sans quitter mon intimité, parvient à me faire progressivement mettre à plat ventre alors qu’il me couvre. Cambré au maximum pour être encore plus offert, il m’encule comme un Dieu, laminant mon rectum sur une belle longueur. Je m’écarte les fesses de mes mains pour le prendre jusqu’à l’ultime millimètre, sentant, chaque fois que ses couilles s’écrasent contre moi, une vague de chaleur m’envahir. “Je vais bientôt jouir, prends-moi encore, oui, ça vient ! Oooh, ce que tu me baises bien, oui, encore !”
Mon cœur bat dans mes tempes, mon ventre se tend, sa grosse queue remonte dans mon ventre lorsque d’un coup, mon sphincter étreint la base de son mât avec une incroyable force. La tête bourdonnante, je râle bestialement mon plaisir, une incroyable brûlure tenaillant mon bas-ventre. Ma queue flasque trempe soudain dans ma semence alors que je suis secoué par un puissant orgasme. Je lui hurle de se vider, mais il semble que ce n’en soit pas la peine. Une douce chaleur de son foutre me remplit le colon. Sa puissante queue tétanisée en moi, Charles diffuse son sirop avec générosité, et au fur et à mesure que mon plaisir me libère, ses spasmes me parviennent de plus en plus clairement. Symbiose sodomique absolue.

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Lourdement, il s’allonge sur moi en me répétant que c’était génial, que je l’avais conquis. Son membre en moi lentement dégonfle, je lui demande de me le donner à sucer, je veux le sentir et le goûter encore une fois. Ma langue s’enroule autour de son beau gland le temps d’une toilette intime, retrouvant le goût de son sperme sur la langue, mon cul vide, lui, savourant son orgasme en reprenant sa place. “Tu m’as super bien pris, ta bite est une merveille. J’ai envie de te revoir, si tu le veux bien ?” lui dis-je en tenant cette belle queue entre mes doigts. “Mardi soir prochain, tu viendrais me sucer sous mon bureau ? Tu suces mieux que ma secrétaire, et j’aimerais assez le lui prouver, si la provoc’ te branche toujours !” me lance-t-il, toujours sûr de lui.
Lorsqu’il me dépose à côté de ma voiture après m’avoir donné sa carte de visite, je reste au frais le temps d’une cigarette. Les fesses contre mon aile, je sens son sperme qui s’écoule délicieusement de mon anus, et ne cherche surtout pas à le retenir, j’adore cette sensation. Vivement Mardi !

Auteur :  jeanne exhib 83 [ jeu. 16 déc. 2010, 13:56 ]
Sujet du message :  Re: Sous terre !

Que de fougue !!! J'ai jamais testé en parking souterrain, mais tu me donnes envie d'essayer.

Et les photos qui illustrent ton histoire, magnifiques. :love:

Auteur :  bibi [ jeu. 16 déc. 2010, 14:46 ]
Sujet du message :  Re: Sous terre !

Citation :
Que de fougue !!! J'ai jamais testé en parking souterrain, mais tu me donnes envie d'essayer.

Et les photos qui illustrent ton histoire, magnifiques. :love:
Merci Jeanne pour ton gentil commentaire.
Tu nous raconteras bientôt ? :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
En fait j'ai bien testé, mais plus soft, siège avant reculé, personne autour et... un seul homme (il en avait pour deux !) dans ma bouche. C'était déjà très très bon. :pipe:

Auteur :  jeanne exhib 83 [ jeu. 16 déc. 2010, 16:02 ]
Sujet du message :  Re: Sous terre !

Hmmm...

Je sens que je vais roder un peu dans les parkings souterrains moi maintenant... :clin:

Auteur :  Golum [ jeu. 16 déc. 2010, 18:34 ]
Sujet du message :  Re: Sous terre !

P.... Bibi, tu m'as encore fait bander :love: Piouff! quel récit :fou:

Auteur :  Sissi [ sam. 18 déc. 2010, 10:44 ]
Sujet du message :  Re: Sous terre !

Pour Bibi bibibiiippppp hourra!!!!! :clap: :clap: :clap: :smac:

Auteur :  Dudule la tarentule [ sam. 18 déc. 2010, 15:42 ]
Sujet du message :  Re: Sous terre !

Je dirais même plus ! :clap: :clap:

Auteur :  sergio [ ven. 18 févr. 2011, 23:06 ]
Sujet du message :  Re: Sous terre !

Il y a bien longtemps que je n'avais pas lu du bibi. Je retrouve le plaisir de lire ces histoire toujours bien écrite. Quel talent. :clap: :D
Et si je ne me sens pas attiré par des liaisons avec un autre homme, je dois dire que tu sais comment exciter tes semblables. :clin:

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