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Il était déjà venu passer une semaine en vacances chez nous au gîte fétichistes. Nous avions fait un jeu de rôle avec féminisation imposée et quelques petits jeux. J’avais joué le rôle de directeur de centre pour délinquantes. Il avait eu droit à la douche sous contrôle / la confiscation de ses effets personnels / une visite médicale / des fessées + sa féminisation non stop pendant 2 jours + une semaine de cage de chasteté.

Après ce jeu de rôle, il avait profité de ses vacances et testé quelques bricoles comme la camisole de force pendant 6 heures et une suspension en shibari.

Paul se sentait donc totalement en confiance et moi aussi car pour ces jeux, ces pratiques, il est mieux de se connaître. Je connaissais ses limites et interdits. Il m’avait dit que pour ces deuxièmes vacances chez nous il voulait du plus hard et du CNC. (Consensuel Non Consensuel) En clair, une fois le jeu lancé, l’impossibilité d’arrêter avant la fin.

Comme il est vraiment sympa, et mignon en plus d’être un vrai joueur, (pas un de ces fantasmeurs qui font perdre du temps pour rien) j’ai décidé de le gâter. Traduire par : lui en donner pour son argent car je savais qu’il économisait hard pour pouvoir venir chez nous. Il avait quasiment arrêté les cinés, les restos et autres loisirs pour s’offrir ce type de vacances.

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Plaqué et à moitié couché sur la table nous servant de bureau de réception, je l’ai menotté avant de lui mettre une chaîne autour du cou. J’ai relié la chaîne à ses menottes pour qu’il ne puisse pas baisser les bras plus bas que ses reins. A la suite de quoi, j’ai ouvert son pantalon que j’ai baissé avec son slip jusqu’à ses chaussures. Cela le faisait bander, signe évidement qu’il commençait déjà à s’éclater.

Je l’ai giflé pour bien lui faire comprendre que cette fois ce serait plus hard. Rien de violent, rassurez-vous, ces gestes suffisent à créer une ambiance. Après lui avoir imposé de retirer ses chaussures, (sans les mains) je l’ai aidé à retirer son pantalon et son slip en l’obligeant à écarter les jambes. Comme il n’était pas assez rapide, il a pris deux autres gifles. Je lui ai fait des bracelets de chevilles avec une chaîne courte puis un cocking avec une autre chaîne que j’ai attachée à celle de ses chevilles en l’obligeant à se baisser. A part marcher comme un canard boiteux il ne risquait pas de s’enfuir à toutes jambes.

C’est dans cette configuration que je l’ai emmené au donjon, ce qui a pris un certain temps car il est à 100 mètres de notre salle d’accueil. La canard a loupé la marche en entrant au donjon, je l’ai rattrapé de justesse en lui indiquant qu’il n’avait pas à se faire mal tout seul parce que ça c’est mon travail. Cela l’a fait rire, une grossière erreur dans sa position.

Je l’ai poussé et fait tomber sur la couverture que j’avais prévu pour pas qu’il ait froid. J’ai attrapé un de mes martinets pour le flageller en lui mettant le pied sur la tête. Cela a duré un petit moment, rien de méchant mais cela m’amuse de sentir un soumis se débattre sous mon pied, alors, pourquoi m’en priver. Après lui avoir tanné les fesses et les cuisses, j’ai retiré mes chaussures et mes chaussettes en lui disant qu’il allait me lécher les pieds avec conviction si il ne voulait pas souffrir. En petit maso qui se respecte, il a commencé par m’envoyer balader ! (Avec des mots pas très courtois du type va te faire .... )

Si je sais faire dans le soft, j’aime beaucoup quand les masos me provoquent. Il a commencé à prendre cher si vous voyez ce que je veux dire. Quand mes lanières ont enfin percuté ses couilles qu’il essayait de protéger avec ses cuisses bien rougies, le canard a abdiqué et arrêté de faire --> le canard. J’ai donc attrapé un de mes fouets avant de m’installer sur le fauteuil bas du donjon. Quand j’ai fait claqué le fouet en lui désignant mes pieds, il s’est déplacé comme un vers de terre pour ramper jusqu’à moi. Comme il était couché sur le ventre, avec mon fouet, je me suis amusé à taquiner la plante de ses pieds, autant dire qu’il n’a pas hésité longtemps à lécher mes orteils.

Au bout d’un petit moment, Paul était dans sa bulle, je l’ai senti à sa façon de me lécher les pieds. Il leur faisait l’amour avec sa bouche. (Le lecteur comprendra que si je dis que « je prenais mon pied » c’est un jeu de mot imagé et non pas une répétition dans le texte)

Avoir une bouche aussi câline à disposition, cela donne des envies. Le vers de terre a été invité à se faufiler entre mes jambes s’écartant pour le laisser accéder à mon entrejambe, où justement, ma verge venait par accident, de s’échapper de mon pantalon.

Applique toi si tu ne veux pas tester mon fouet à pleine puissance sous tes pieds !
Paul n’a pas osé répondre, allez donc savoir pourquoi ? Il s’est contenté de prendre ma verge dans sa bouche pour me tailler une pipe voluptueuse. A priori il ne voulait pas vraiment goûter à mon jus d’homme, ou il faisait celui qui ne voulait pas.... Au bout d’un moment, quand le dit jus a fini par pointer son nez, je ne lui ai pas laissé le choix en lui disant que c’était l’apéritif de bienvenue !

Une fois soulagé et mon service trois pièces remballé, j’ai décidé d’être prévenant en le poussant sur la couverture afin de le couvrir et de le laisser méditer pendant que j’allais me prendre un bon pastis bien frais. Pas qu’un pastis parce que cela m’avait donné chaud. En plus, ma femme tardait à préparer la gamelle de la lope, alors.... J’en ai profité pour prendre une douche et bien + bien me laver les fesses.

Quand je lui ai apporté sa pitance avec un biberon* d’eau, il m’a annoncé que sa vessie menaçait de rendre l’âme et que il avait aussi besoin d’aller aux toilettes.

le biberon d’eau est plus pratique pour faire boire une personne entravée. Elle peut même boire seule sans en mettre de partout.
J’ai eu pitié de lui et surtout de mon donjon. A l’aide d’une laisse, j’ai donc guidé le canard boiteux jusqu’à une partie de mon potager en lui interdisant d’avoir des fuites avant que je rentabilise sa présence. Lorsque nous sommes arrivés dans la zone fraîchement labourée il n’a pas eu d’autres choix que celui de me faire de l’engrais même pas bio. Et oui, les touristes cela mange n’importent quoi... Ayant pris du papier toilette, je lui ai donné pour qu’il fasse place nette à l’extrémité de son tube digestif.

Le retour au donjon a pris un certain temps, le canard commençait à fatiguer. Je l’ai couché en insérant sa tête dans la chaise percée. (Une sorte de cube que j’ai fabriqué avec un abattant WC pour que nos locataires puissent s’amuser avec du facesitting ou autres pratiques)

Allongé sur ses menottes, c’est devenu très inconfortable et même douloureux. Dans ma grande mansuétude, j’ai provisoirement libéré ses poignets pour les attacher séparément de chaque côté de la chaise percée. (Comme quoi je sais être gentil) J’ai profité d’être debout pour attraper des pinces à sein et une cravache avant de retirer mon pantalon et mon slip. Quand j’ai ouvert abattant des WC, il a compris ce que je voulais, même si il s’en doutait déjà.

Comment transformer un soumis en bon lèche cul ?

Enfermez sa tête sous une chaise facesitting BDSM
Mettez lui des pinces à sein
Tapotez son entrejambe avec une cravache
La chaînette des pinces à sein sert à accélérer la langue, la cravache à réclamer de la profondeur.
Pour me distraire pendant qu’il se lançait dans des palabres muettes, je jouais donc avec les pinces à sein et mon pied droit sur son sexe. Ce gros porc a osé jouir sur mon pied ! Autant dire qu’il a du le nettoyer sans discuter quand je me suis relevé pour introduire mes orteils dans le WC.

Après l’avoir libéré de la chaise percée, je l’ai à nouveau menotté mains dans le dos avant d’attacher la chaîne de son cou à un des anneaux fixés au mur. Je lui ai laissé sa gamelle et le biberon d’eau puis une couverture. J’ai fait une photo en lui disant que c’était pour la demande de rançon et que nous saurions rapidement si il aurait la vie sauve, ou si je devrais faire une tranché de taille humaine avec le tracteur dans le jardin.

La suite ?

Je n’ai pas le temps de vous l’écrire. En résumé, j’ai joué le rôle du ravisseur pervers et sadique (qui me va très bien) pendant 48 heures au total. Après son enlèvement, je l’ai à nouveau féminisé et « exploité » puisque cela fait partie de ses plaisirs quand il ne faisait pas du tourisme avec des sous-vêtements féminins.

Il a été copieusement fessée le dernier soir par sécurité. En effet, comme il avait X heures de route pour rentrer chez lui, avoir les fesses qui font mal en conduisant aide à ne pas s’endormir au volant. (Article 18 du code de la route)

Fin

NOTE DE L’AUTEUR

1°) Paul, ce n’est pas son vrai prénom car dans notre monde, la discrétion est de rigueur.
2°) Il n’y a que lui qui a les photos que j’ai faites. Je les ai même supprimées de mon PC par sécurité.
3°) Le gîte fétichistes existe réellement, c’est notre maison en Espagne.

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Le meilleur des fétichismes est celui qui vous permet de vous épanouir.