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MessagePosté : lun. 15 juil. 2024, 19:29 
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro enculé par madame, probablement Bisexuel.
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La Gazette de la Mac Pyridine Company-2

En ce début d’été nous sommes très heureux de vous faire part de plusieurs décisions de Huguette Mac Pyridine visant à restructurer la direction Atlantique Nord Est et mer Baltique.
La compagnie va quitter sa base actuelle de Hambourg pour s’installer à Flekkefjord en Norvège, les dangers de la région liés aux gazoducs poussent la Mac Pyridine Compagnie à abandonner la pêche en mer Baltique, nos poissonneries dans ce secteur seront approvisionnées par notre premier navire marchand depuis Flekkefjord. Le bateau rebaptisé Anette sera confié au Commandant Anette Kislanick diplômée de l’école de marine de Livourne en Italie qui vient d’épouser Patricia Borniol directrice de la région.
Nos félicitations aux jeunes mariés.
La seconde nouvelle concerne l’acquisition d’un brise-glace par la compagnie, le bateau se nomme Hespéride et naviguera au nord comme au sud selon les besoins, temporairement il est sous le commandement de Mado Lavergne en plus du Fusion, nous recherchons un capitaine.
En illustration le commandant Kislanick dans la luxueuse cabine de son bateau.


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MessagePosté : jeu. 18 juil. 2024, 19:09 
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Le mensonge de Solange.


Alors, où est-ce rapport que je vous avais demandé ?
Madame Solange Poupolechcu roumaine et chargée des cours d’ingénierie navale de l’institut Ospif, jeune femme svelte et gracieuse, sursauta. Elle n'avait pas entendu arriver Denise Ospif, la Directrice.
Le corridor grouillait d'élèves et de professeurs qui se pressaient vers leurs classes. Les cours de l'après-midi allaient bientôt commencer.
Je... euh... " Madame Solange semblait bien embarrassée. En une fraction de seconde elle devait trouver une réponse valable car la Directrice n'aimait pas demander deux fois la même chose. "Je les ai mis dans votre boîte aux lettres,
peut-être que quelqu'un l'a pris ?
C'était raté, c'était la mauvaise réponse, Madame Solange le sut le moment où elle disait ces mots...
La Directrice regarda la jeune femme dans les yeux.
Madame Solange était affreusement embarrassée. La Directrice n'allait pas laisser une chose pareille sans suites...
Autour d'elles les élèves passaient mais elle ne les voyait pas : elle regardait la Directrice comme un lapin regarde un cobra...
Celle-ci parla à voix basse :
"Vous savez que je ne supporte pas les mensonges. Je pense que vous en êtes consciente que je ne sais pas laisser passer ceci..."
Rouge comme une pivoine, ses livres de constructions mécaniques serrés contra sa poitrine comme s'ils pouvaient la protéger, Madame Solange secouait doucement la tête.
"Non, Madame la Directrice, s'il vous plaît... Je... euh... Les cours vont commencer, Je regrette ce que j'ai dit... Vous aurez le rapport demain matin, première heure... Je dois aller rejoindre ma classe maintenant... S'il vous plaît..."

"Votre classe attendra. Suivez-moi".
Les larmes aux yeux, la tête baissée, Madame Solange suivit la Directrice.
Elle avait l'impression que tout le monde la regardait.
Mais à part quelques professeurs qui discutaient dans un coin, personne ne fit attention.

Madame Vivienne Ribeau professeur d’astronomie et navigation classique dit à sa collègue, d'un air entendu : "Je ne sais pas ce qu'elle a fait, mais il me semble qu'elle va passer un mauvais quart d'heure..."
"Je n'aimerais pas être dans sa peau" fit une autre.
Madame la Directrice fit entrer Madame Solange dans son bureau puis alla directement dans la pièce adjacente, la "salle de bains".

Le cœur dans la gorge, la jeune femme la suivit. Maintenant qu'elles étaient sorties du brouhaha des corridors elle était à deux doigts de la panique. Elle n'osa même plus plaider sa cause, persuadée - à juste titre d'ailleurs - qu'elle risquait seulement d'augmenter sa peine.

"Déposez vos livres sur la table. Ceci ne va pas prendre beaucoup de temps. Je ne tolérerai aucun mensonge dans l'Institut Ospif, surtout pas de la part d'un professeur. Où allons-nous sinon ?"
Madame Solange ne répondit pas, se mordant les lèvres.
Penchez-vous sur cette table, et appuyez-vous sur vos avant-bras. Mettez la tête sur vos bras."
La jeune femme s'exécuta, se pencha sur la table, son derrière en l'air.
Rapidement la Directrice lui attacha les poignets et les chevilles avec des lanières en cuir.

"Bien entendu cela sera douloureux, mais je compte sur vous pour vous dominer :
je ne veux pas entendre de cris. Compris ? Vous allez expier en silence".
D'une petite voix la femme répondit "Oui, Madame la Directrice"

La Directrice alla chercher quelques objets dans une armoire et revint avec une petite table roulante.
Le derrière de Madame Solange était moulé dans un pantalon en laine gris-foncé,
qui lui allait comme un gant. Il était si bien ajusté, que même dans cette position - la croupe en l'air - on voyait à peine les marques de sa culotte.
Un instant la Directrice avait même cru que le jeune professeur ne portait pas de dessous ! Heureusement elle se trompait.
La Directrice se plaça derrière la jeune femme, la ceintura et chercha la fermeture de son pantalon. Madame Solange se mordit les lèvres et pressa de toutes ses forces son visage contre ses poings fermés.
La Directrice trouva la boucle de la ceinture, l'ouvrit, puis tira sur la fermeture-éclair qui fit un bruit soyeux. Son doigt qui accompagna la petite languette de métal griffa légèrement le bas-ventre de la jeune femme, la faisant sursauter.
Puis la femme tira sur le pantalon, le faisant glisser jusqu'aux chevilles.
Madame Solange portait une culotte blanche, en coton épais. Les élastiques étaient larges, afin d'éviter les marques sous les vêtements ajustés.
La jeune femme gémit de honte quand la Directrice lui mit les mains sur les hanches, les glissa jusque dans la culotte, où ils continuèrent leur voyage vers le bas, entraînant la culotte. Elle laissa la culotte à mi-cuisses.
Madame Solange avait de jolies fesses, bien rondes, avec des fossettes. Dans cette position son anus et son sexe étaient visibles. La Directrice nota avec plaisir qu'elle ne voyait aucun poil: madame Solange était une personne soignée. La Directrice n'exigeait pas que ses professeurs s'épilent entièrement, mais elle trouvait qu'au moins les lèvres et l'anus devaient toujours être nets, c'est à dire parfaitement épilés. Dans le cas contraire, aucune hygiène n'était possible. Elle enfila une paire de gants médicaux en latex.

"Pour votre châtiment je vais vous faire mal, très mal même. Mais bien vite vous vous habituerez à la douleur : elle deviendra supportable. Dans une semaine cette douleur sera oubliée, mais j'espère que vous n'oublierez pas la leçon".

Elle continua d'une voix plus douce :
"Il y aura bien un élément désagréable, autre que la douleur : vous serez partiellement incontinente. Il vous faudra porter une protection. Combien de temps vous serez incontinente, je ne le sais pas, cela dépend de l'une personne à l'autre ; certaines guérissent rapidement, d'autres ont besoin de beaucoup plus de temps..."
Madame Solange ne comprenait pas ce que la Directrice lui disait. Ou mieux : son cerveau refusa de comprendre. A cet instant elle sentit que la femme lui écarta les fesses. Elle sentit le souffle de la Directrice sur son intimité ; elle aurait voulu être sous la terre, plutôt que d'être humiliée de la sorte.
Son corps se couvrit de chair de poule quand la Directrice lui appliqua une noix de vaseline sur l'anus. Madame Solange gémit de honte. Lentement la femme frotta la crème sur le renflement du sphincter, puis, sans brutalité, elle enfonça un doigt dans le conduit étroit. Madame Solange se raidit, anticipant une douleur vive, mais rien ne vint, même pas quand la Directrice ajouta un deuxième doigt. La jeune femme se décontracta et la douleur disparut complètement, laissant la place à une honte et une gêne comme elle n'avait encore jamais ressenti lorsque la directrice lui dit apprécier de la trouver non constipée. Elle se força de penser à autre chose pour ne plus sentir les doigts de sa supérieure qui lui fouillaient l'intimité mais n'y arrivait pas.
Quand le muscle fut légèrement distendu, les doigts furent remplacés par un objet froid. La jeune femme supposait - et elle avait raison - qu'il s'agissait d'un godemichet anal, de taille importante. Elle réussit à rester décontractée, et s'obligea à respirer profondément, afin de contrôler ses muscles.
La Directrice poussa légèrement et l'objet pénétra d'un tiers dans l'anneau de chair.
Madame Solange se mordit les lèvres, au bord de la panique. Cette attente était horrible : la Directrice lui avait promis de lui faire 'très mal', et elle n'avait toujours rien senti de vraiment douloureux. Au fond d'elle-même une petite voix lui dit "Qui sait, la vieille exagère et elle croit qu'elle t'a déjà fait très mal... Tu vas t'en tirer à bon compte...".
Juste à cet instant la Directrice poussa le godemichet en une poussée rectiligne jusqu'à ce que la poignée butât contre les fesses de la jeune femme.
La partie large de l'objet ouvrit le sphincter lubrifié, puis s'engouffra dans le rectum. La jeune femme sursauta sous la douleur fulgurante qui lui coupa les jambes et le souffle. Si elle n'avait pas été couchée sur la table elle serait tombée. Son bas-ventre était en feu comme si la Directrice lui avait mis une barre rougie dans le derrière.
Maintenant que la partie large du godemichet était à l'intérieur de son corps, la douleur diminuait lentement. Son anus était toujours douloureux d'avoir été forcé, mais ce qui était surtout désagréable était la sensation d'être 'pleine' qu'elle avait : l'objet remplissait son rectum entièrement et lui donnait l'affreuse impression qu'elle allait devoir vider ses intestins hic et nunc, devant son employeur.
Elle essaya de reprendre son souffle.
Son sexe était moite. Quelques gouttes d'urine lui avaient échappé et coloraient le fond de sa culotte, toujours tendue à mi-cuisses. La Directrice ne devait rien rater du spectacle.
La jeune femme essayait désespérément de penser à d'autres choses, pour ne pas craquer, pour ne pas devenir hystérique devant Madame la Directrice.
L'objet dans son derrière lui donnait l'impression d'avoir fait un acte contre nature, son cavalier étant encore fiché en elle.
Involontairement elle serra les fesses et gémit quand son anus se referma désagréablement sur le manche large du godemichet. Elle se força à se décontracter, puis sentit la douleur diminuer.
La Directrice se pencha sur elle :
"Mordez sur ceci, cela vous évitera de vous casser les dents." Elle lui mit un morceau de caoutchouc en bouche. L'objet était froid et sentait fort le caoutchouc vulcanisé. Elle mordit et sentit que le caoutchouc absorbait la pression des dents. Par un trou dans le protège-dents, elle pouvait même respirer. Elle ne comprenait pas très bien pourquoi elle devait se protéger les dents, la punition était terminée, non ?
La Directrice reprit place derrière la jeune femme. Elle regarda avec plaisir ses fesses blanches où on voyait encore vaguement les contours du bikini. Au milieu de la peau laiteuse qui n'avait encore jamais vu le soleil, le rond du godemichet ressortait comme un œil obscène. De cet œil sortait un fin tuyau de caoutchouc, relié à une poire.
La Directrice pompa quelques fois. Madame Solange sursauta à nouveau : en pompant, la Directrice gonflait le godemichet à l'intérieur du corps ; une valve empêchait l'air de ressortir. La jeune femme eut l'affreuse sensation que 'la chose' dans son rectum devenait énorme ; en plus, la partie moins large qui était dans son sphincter, la distendait douloureusement, comme si la Directrice lui avait inséré plusieurs doigts à la fois dans son petit trou.
Elle secoua son derrière, comme pour chasser l'intrus. La Directrice lui donna une claque retentissante.
"Ne vous agitez pas. Je vais vous gonfler le rectum. Puis, je vais retirer cet objet, et votre punition - du moins sa partie active - sera terminée".
Elle pompa à nouveau quelques fois.
Madame Solange ouvrit les genoux autant qu'elle le put et bascula son bassin afin de donner le plus de place possible au godemichet qui devenait énorme. La bave coulait de sa bouche, entre les dents qui mordaient sur le protège-dents.
Nouveaux coups de pompe. La jeune femme chercha désespérément à réduire l'énorme pression qui grandissait dans son ventre. Sans s'en rendre compte, elle urina, gagnant un peu de place dans son bas-ventre ; mais deux coups de pompe plus tard, la sensation de pression extrême fut à nouveau là.

La douleur irradiait dans son ventre, lancinante puis augmentait jusqu'à la douleur d'une crampe intestinale quand la Directrice actionna encore la pompe.
La Directrice vérifia les lanières qui tenaient la jeune femme, puis s'arc-bouta derrière elle. Elle prit la poignée du godemichet solidement dans sa main droite, respira quelques fois profondément puis dit d'une voix douce qui contrastait avec ce qu'elle allait faire :
"Madame Solange, n'oubliez jamais : vous ne me mentirez point." Et elle se mit à tirer sur le manche du godemichet. La jeune femme sentit l'énorme objet gonflé bouger dans son rectum, puis buter avec sa partie large contre le rétrécissement de l'anus. En un éclair elle comprit ce que la Directrice allait faire et paniqua. Elle secoua la tête, incapable de parler. Les lanières claquèrent sur la table quand elle tira dessus désespérément. Mais elles ne lâchèrent pas...
La Directrice augmenta la pression sur le manche. Elle vit l'anneau de chair s'ouvrir un peu sous sa traction. Elle tira encore : la parie large du godemichet se força un passage dans le conduit étroit du muscle anal, l'ouvrant peu à peu.
La jeune femme n'arrêta pas de gémir, les yeux lui sortaient de la tête. Elle n'avait jamais eu si mal de sa vie. Le diamètre du sphincter augmentait toujours sous la pression du godemichet. Il atteignit la plus grande ouverture qu'il ait jamais connu, mais c'était encore bien trop petit pour laisser passer la partie large du godemichet.
La Directrice relâcha la poignée et le godemichet fut aspiré à l'intérieur ; puis elle tira à nouveau, ouvrant l'orifice anal encore un peu plus. Elle relâcha encore et recommença son manège. Après quelques minutes de labeur, le godemichet - toujours gonflé au maximum - passa le muscle anal avec un 'plop' horrible. Madame Solange sentit palpiter son sphincter affreusement distendu, qui restait ouvert. Par l'orifice béant - on aurait pu y enfoncer la main - la Directrice vit les parois sombres du rectum. Le sphincter ressemblait à un gros élastique dentelé, mauve-sombre. Quelques filets de sang indiquaient les endroits où le muscle avait été déchiré.
Même après que la Directrice eut asséné quelques claques sur les fesses blanches, l'anus restait ouvert. C'était exactement ce qu'elle voulait : le jeune professeur serait incontinent pendant plusieurs jours ; aller aux toilettes lui serait encore douloureux pendant au moins une quinzaine. Si le muscle s'était aussitôt refermé, la Directrice aurait dû recommencer son traitement.
La femme prit un mouchoir en papier et essuya le sexe et l'intérieur des cuisses. La culotte était trempée, le pantalon aussi. Comme cela les collègues et les élèves sauraient que Madame Solange avait péché et avait été punie ; c'était bon pour la discipline, donc bon pour la réputation de l'Institut.
La Directrice défit les sangles qui maintenaient les jambes écartées et mit en place une couche-culotte jetable.
Puis, pour plus de sécurité, elle mit à la jeune femme une culotte en plastique à pressions par-dessus la couche. Elle releva la culotte de coton trempée et remit le pantalon en place. La couche se voyait nettement sous le pantalon ajusté. Quand la jeune femme se redressa, aidée par la Directrice, un horrible gargouillis intestinal se fit entendre : les intestins malmenés commençaient déjà à se venger...
"Vous viendrez me voir deux fois par jour, à huit heures et à vingt heures, afin qu'on vous change. Maintenant, allez rejoindre vos élèves."
Moins de dix minutes s'étaient écoulées depuis que Madame Solange avait franchi la porte de cette 'salle de bains', mais elle n'oublierait jamais ce qui s'y était passé ...

Comme Solange ne fut point incontinente Denise la dilata encore quatre fois en deux jours…Les quatre sessions de travail anal infligées à Solange sont illustrées si-

Depuis Madame Solange Poupolechcu a beaucoup travaillée seule la capacité de son rectum et est très fière d’être devenue membre de l’Universal Anal Gaping Club de Gilbert Ospif et Philéas Mac Pyridine, elle participera cet été aux olympiades de la dilatation anale à Paris avant de prendre son poste comme commandant de L’HESPERIDE à Flekkefjord, un poste préférable à celui d'enseignante pour une menteuse selon les dires de Denise .

Charlene Ospif.

Les quatre sessions de travail anal infligées à Solange sont illustrées si-dessous.


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MessagePosté : dim. 28 juil. 2024, 17:40 
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Les matelots et personnels de la Mac Pyridine Compagny mis à l'honneur-8

Denise Ospif et Huguette Mac Pyridine respectivement PDG et DG de la compagnie et avec les encouragements de Gilbert Ospif et Philéas Mac Pyridine fondateurs de Universal anal gaping club ,tiennent à mettre à l’honneur le Commandant Solange Poupolechcu ancienne professeur d’ingénierie navale de l’institut Ospif pour sa prise de fonction sur L’HESPERIDES (le nouveau brise-glace de la Mac Pyridine company) et sa quatrième place aux olympiades de la dilatation anale à Paris 2024 chez les féminines.


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MessagePosté : dim. 04 août 2024, 17:28 
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Annie comment ? ou la sieste de Amanda Gadouchen

"Elle a l'air d'un ange" murmura Laetitia Bouftard, attendrie.

Valérie Perrier avait entraîné la nouvelle assistante dans la 'salle de bains' de madame la Directrice, parce que c'était l'heure du 'change', et que la nouvelle devait apprendre comment faire.
Amanda Gadouchen (Aujourd’hui Capitaine du CAROLINA à Mar Del Plata) , l'élève en sieste-punition qui dormait les poings fermés, ressemblait effectivement à un ange, ses longs cheveux blonds encadrant un visage fin.
"Qu'est-ce qu'elle a fait?"
"Je crois qu'elle s'était endormie en classe, alors la Directrice l'a obligée à faire la sieste, tous les jours pendant une semaine..."
"Elle ne va pas se réveiller?" Valérie n'en menait pas large : imaginez que la jeune fille se réveille pendant qu'on lui change sa couche !
"Ne t'en fais pas, elle a eu un léger sédatif, il paraît qu'elle était assez agitée..."
Les mains d'Amanda étaient attachées avec des lanières en toile, l'empêchant d'aller plus bas que sa poitrine. De cette façon elle ne risquait pas de se débarrasser de sa couche.
"Regarde !" Valérie rabaissa les couvertures. Amanda portait un t-shirt et une grosse couche-culotte qu'on distinguait à travers la culotte en plastique translucide.
Laetitia en resta la bouche bée. Elle n'avait jamais vu une jeune femme qui portait une couche-culotte.
"Eh bien, dis donc, quel gros paquet !"
Bien que Amanda dorme profondément, les femmes se parlaient en chuchotant.
"Cela fait partie du traitement de Madame la Directrice. Hier Amanda a même eu un laxatif… Tu t'imagines que ce n'était pas la joie, quand il a fallu la changer !"
La jeune fille était mignonne et il y avait une discordance entre la couche-culotte et les seins fermes qui pointaient sous le coton du t-shirt.
Les jambes qui sortaient de la couche-culotte étaient fermes et bien galbées.
"Bon, maintenant regarde comment je fais. La prochaine fois ce sera ton tour."
Valérie ouvrit les boutons-pressions de la culotte en plastique et rabattit le pan vers l'avant. La couche semblait trempée, gonflée entre les cuisses. Sur le bas du ventre elle formait une grosse bosse obscène.
L'assistante défit les bandes autocollantes qui tenaient la couche en place.
"Oh !" Laetitia n'avait pas pu empêcher ce cri en voyant le sexe entièrement épilé de la jeune fille. "Elle est rasée !"
"C'est à dire qu'elle a été épilée à la crème, au début de son traitement.
C'est bien plus hygiénique, plus facile à laver, aussi..."
La couche dépliée était jaunie par l'urine.
"Tu vois, la cellulose absorbe le pipi et la surface reste plus ou moins sèche. Quand je repense aux couches en coton que nous devions employer dans le temps ! Les filles avaient recta le minou et les fesses rouges, malgré des kilos de crème. Maintenant l'érythème, connais-pas !"
"Regarde, je vais te montrer un truc. Pour qu'elle ne mouille pas sa couche dès que tu as fini de la lui mettre - c'est tellement agréable une couche sèche, qu'elles s'empressent de la mouiller aussitôt ! - il faut qu'elle fasse pipi maintenant..."
Valérie posa sa main gauche sur le mont de Vénus et tira légèrement sur le sexe, écartant les lèvres. Puis du bout de l'index de la main droite, elle titilla la petite ouverture de l'urètre. Quelques secondes plus tard, la jeune fille poussa un soupir dans son sommeil, et se mit à uriner, inondant la main de Valérie. Le liquide coula sur la couche et fut bientôt absorbé.
"Tu as vu ? Maintenant elle a la vessie vide, et on peut changer sa couche !"
Laetitia était perplexe. Jamais elle n'aurait pensé que son travail d'assistante pédagogique à l'Institut Ospif exigerait qu'elle farfouille entre les jambes des élèves pour leur faire faire pipi ! Au fond cela ne lui déplaisait pas. Elle avait toujours été très curieuse de nature et tout ce qui avait trait au corps humain l'intéressait.
Valérie regarda sa collègue de biais.
"Tu m'es sympathique, je vais encore te montrer quelque chose. Mais ne le dis à personne, sinon on se ferait virer !"
Elle se pencha sur le ventre de la jeune fille et frotta son nez contre les lèvres. Amanda gémit dans son sommeil. Laetitia n'en crut pas ses yeux !
D'un air espiègle, Valérie regarda Laetitia, puis replongea. Cette fois-ci elle darda une langue pointue et lécha la vulve de tout son long. Amanda semblait apprécier l'hommage, car instinctivement elle ouvrit les cuisses et cambra son bassin, allant à l'encontre de la langue de Valérie. Toujours sans se réveiller...
"N'est-ce pas fantastique ? Quand elle se réveillera, elle ne se rappellera plus de rien, sauf d'avoir fait un rêve merveilleux..."
Laetitia en avait la tête qui tournait et quand Valérie se redressa pour lui laisser la place, elle se pencha docilement vers le renflement de chair glabre.
"Tu verras, c'est très troublant..."
Le sexe réveillé par les caresses de Valérie avait une senteur de femme mure, malgré le jeune âge d'Amanda. Laetitia ferma les yeux et pointa sa langue. Prudemment elle avança, puis sentit la chair chaude palpiter sous sa langue.
Valérie sourit en voyant la scène. Elle se rappela sa 'première fois', quand madame la Directrice elle-même lui avait appris ces caresses.
Doucement elle glissa une main sous la jupe de sa collègue, trouva l'intérieur de la cuisse, et remonta. Comme elle l'avait pensé, Laetitia était moite, son petit jeu ne l'avait pas laissée indifférente. Doucement elle lui massa le sexe à travers la culotte. Laetitia respira bruyamment, la bouche collée au sexe d'Amanda. D'elle-même elle ouvrit un peu les genoux, pour permettre à Valérie de mieux accéder à ses trésors.
Valerie décida de monter encore d'un cran :
"Retourne-la sur le dos... Comme ça... Bien. Maintenant écarte-lui les fesses... Tu vois son petit trou ? Mignon, non ?"
Laetitia ne pensait plus, en proie à une sorte de délire sexuel. Le visage encore humide de la vulve de la jeune fille, le sexe en feu sous les doigts habiles de sa collègue, elle était comme ivre.
"Fais-lui un anulingus..."
"Un, un... Annie comment ?"
"Anulingus. Lèche-la entre ses fesses, tu verras, c'est divin !"
Laetitia hésita à peine puis se pencha sur la jeune fille et lui ouvrit le fessier. L'anus n'était pas plus qu'une fente, mais quand elle écarta la chair autour de l'orifice secret, l'anneau apparut comme un œil de cyclope ridé.
Laetitia se rendit à peine compte que Valérie était en train de lui remonter la jupe, et ensuite qu'elle lui baissait sa petite culotte. Elle grogna de plaisir sous cette attention de sa collègue et se mit à lécher timidement le muscle circulaire de l'étudiante punie.
A ce moment-là, Valérie enfouit son visage entre les fesses de sa collègue et entreprit de lui faire ce qu'elle était en train de faire à la jeune femme endormie...
Laetitia cru qu'elle allait jouir à l'instant, tant la sensation était forte.
Personne n'avait jamais touché à cet endroit, à fortiori pas avec la bouche!
Pour retarder son orgasme elle se concentra sur le fessier d'Amanda et lécha de plus belle, en synchronisation avec les mouvements de Valérie entre ses cuisses.
Frénétiquement elle lécha, suça et pénétra l'ouverture anale, la frotta avec son nez. Elle darda la langue aussi loin qu'elle le put, puis allait et venait dans le sphincter. Amanda, toujours profondément endormie, gémit de bien-être et souleva son derrière.
Laetitia se sentit s'envoler. Pour ne pas crier, elle enfouit son visage profondément entre les fesses de la jeune femme, grognant son plaisir.
Valérie s'en rendit compte et accéléra son rythme. Quand elle pinça doucement le clitoris entre les lèvres trempées, elle sut que Laetitia n'allait pas pouvoir résister.
Le corps de Laetitia fut secoué d'une une série de spasmes, pour enfin se contracter comme un ressort qu'on remonte. Valérie n'avait pas lâché prise et ne s'arrêta qu'au moment où Laetitia émit des petits jappements de chiot blessé : elle était à bout.
Il fallut à Laetitia plus d'un quart d'heure pour reprendre ses esprits. Ce fut Valérie qui changea Amanda et qui remit les couvertures en place.
L'adolescente ne s'était pas réveillée.

Par la suite Laetitia Bouftard et Valérie Perrier reproduisirent de nombreuses fois ces pratiques sur les étudiantes en sieste punition, mais un jour elles furent découvertes par Denise et punies.
Elles perdirent leurs postes à l’institut mais étant assez bonnes en navigation appliquée, Denise après avoir consulté Huguette demanda à Patricia Borniol de leurs offrir des commandements de navires à Flekkefjord.


Charlene Ospif.


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Le capitaine Laetitia Bouftard punie par Denise, vient de prendre le commandement du PATHWAY son bateau flambant neuf à
Flekkefjord..
Une bien étrange première partie de punition qui éveille une grande inquiétude à Laetitia quand à la second partie.


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MessagePosté : jeu. 15 août 2024, 11:46 
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Le capitaine Valérie Perrier punie par Denise, vient de prendre le commandement du CHARISMA Son bateau flambant neuf à
Flekkefjord...
Tout comme sa compagne Laetitia Boufetard elle est très inquiète car quelle sera la seconde partie de la punition?
Certainement autre chose que la réception joyeuse que lui avait préparé son équipage.


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