Dr Martine Fuchs (Interne en médecine devenue journaliste)
Suite à l’épisode ci-dessous, elle abandonna le journalisme pour finir ses études médicales, à la fin de celles-ci, c’est-à-dire il y a quelques mois, elle a postulé au poste de responsable médical de la compagnie à Mar Del Plata, Denise va probablement lui donner sa chance, il faut dire qu’elle a déjà une connaissance de ses futures patientes, des jeunes officiers de marine qu’elle a rencontré un après-midi attaché à un pilier la culotte en bas des jambes. Dans un premier temps les ricanements vont aller bon train, mais comme toutes auront besoin de ses services…
L'Institut Ospif reçut un jour la visite d'une journaliste de la télévision, section des programmes éducatifs.
Martine Fuchs, journaliste et présentatrice bien connue, venait inspecter les lieux pour voir s'il était opportun de consacrer une émission à l'Institut.
C'était une femme d'une trentaine d'années. Petite de taille, elle avait les formes plutôt amples. Ses cheveux foncés lui descendaient jusqu'aux reins, lui donnant un faux air de Madone.
La visite ne se déroula pas tout à fait comme prévu.
Comme beaucoup de gens de la télévision, connus ou se croyant connus, Martine Fuchs s'était conduite avec arrogance, à la limite de l'impolitesse, traitant les professeurs et les élèves comme des arriérés.
La Directrice n'avait pas aimé ses manières, c'était bien clair. Madame Fuchs n'était absolument pas un exemple à suivre pour ses élèves!
Elle décida de leur offrir un spectacle, au dépens de cette petite pimbêche arriviste.
Elle avait invité Martine Fuchs à partager le repas du midi.
Le réfectoire, où élèves et profs prenaient leurs repas, faisait aussi salle de théâtre et comportait une estrade.
Après le repas de midi, préparé et servi par la classe qui avait "Cuisine" comme branche principale cette semaine, la Directrice prit Martine Fuchs par la main et entraîna sur l'estrade. Poliment les élèves se mirent à applaudir.
Quand la Directrice se mit à parler dans le micro, tout le monde se tût.
"Chers collègues, chers élèves, nous allons maintenant, pour clore la visite de Madame Fuchs, lui faire une démonstration de nos méthodes pédagogiques.
Le sujet en sera l'emprise de la volonté sur le corps humain, un des principes de base d'éducation que nous employons dans cet Institut depuis de nombreuses années."
Elle montra de la main un pilier qui bordait l'estrade :
"Puis-je vous demander de vous mettre avec le dos contre ce pilier ? Merci."
Deux morceaux de bois, on aurait dit des manches à balai, sortaient du pilier à la hauteur des aisselles de Martine Fuchs, de part et d'autre du centre du pilier.
Une des assistantes de la Directrice aida la jeune femme a mettre ses bras autour des morceaux de bois, puis, d'un geste naturel, lui prit les poignets, les ramena derrière le pilier où elle les attacha ensemble avec des menottes.
Les morceaux de manches à balai soutenaient Martine Fuchs aux aisselles, l'empêchant de se laisser glisser le long du pilier si elle en avait eu l'envie.
Jouant toujours son jeu de présentatrice, la jeune femme fit mine d'être étonnée, puis de rire de cette mise en scène qui devait être une bonne blague.
"Vous attachez vraiment vos élèves ainsi?" demanda-t-elle dès que l'assistante lui avait agrafé un micro sur le devant de son chemisier.
"Bien sûr," répondit la Directrice, "elles doivent être préparées à tout!"
L'assistante se baissa et écarta légèrement les pieds de Martine Fuchs. Avec des menottes et une chaîne passant derrière le pilier, elle tira les pieds en arrière, puis les attacha ensemble, forçant la jeune femme à avancer le bassin. Martine Fuchs pendait plus au moins, retenue par les bras et les pieds au pilier. Très peu élégant comme pose.
"On se croirait au tournage d'un film un peu, euh, spécial ! " elle tenta de rire.
"Vous avez raison, si vous regardez bien, il y a deux caméras vidéo dirigées sur vous!"
Martine Fuchs reconnut immédiatement les voyants lumineux rouges, indiquant qu'elles fonctionnaient toutes les deux. Une caméra était presque à ras du sol, l'autre sur un statif qui pouvait monter et descendre.
Pascale Fuji devenue récemment madame Fuji-Lachaise, responsable aujourd’hui du Marketing et des relations avec la presse pour compagnie actionna des commandes et un énorme écran de télévision s'éclaira, permettant aux personnes dans la salle de suivre toute la scène de très près.
L'écran était divisé en deux parties, chaque partie transmettant les images d'une caméra.
Des lampes de théâtre éclairaient la scène comme en plein jour. Il faut avouer que la jeune femme en chemisier rose saumon et pantalon assorti savait se mettre en valeur. On voyait très bien qu'elle avait l'habitude d'être sous la lumière vive des projecteurs. Les longs cheveux encadrant un visage de Madone, mais elle veilla à ce que leur ombre ne cache pas son visage. Le soutien-gorge acheté une taille trop petite, faisait ressortit une lourde poitrine.
Pour se donner une contenance, la journaliste mima une prisonnière qui essaye de se défaire de ses menottes, mais bien entendu en vain.
L'assistante de la Directrice termina la mise en place en actionnant une manivelle sur l'arrière du pilier, faisant sortir un coussinet en cuir à la hauteur des reins de la jeune femme. Le coussinet la poussait en avant, la forçant à se cambrer encore plus. Martine Fuchs fit une grimace. La pose était désagréable : sa poitrine et son ventre étaient grotesquement en avant, ces épaules et ses pieds en arrière. A travers les vêtements tendus on voyait nettement le contour de son soutien-gorge et le renflement de son sexe. Sur l'écran le mont de Vénus était devenu une montagne.
"Voilà, tout est prêt pour notre démonstration ! " Le silence revint dans la salle.
"Chère Madame Fuchs, vous avez un beau pantalon..."
Martine Fuchs remercia, sans bien comprendre où la directrice voulait en venir.
"Madame Fuchs, vous arrive-t-il de vous oublier dans votre pantalon?"
"Pardon?"
On aurait pu entendre voler une mouche.
"Vous avez très bien entendu, mais je simplifierai la question: est-ce que vous faites pipi dans votre culotte de temps en temps?"
Quelques rires dans la salle furent vite étouffés quand la Directrice se retourna.
"Ben, je.. euh... non, non, cela ne m'est plus arrivé depuis que j'étais enfant, je suppose..."
"Vous supposez? Et si nous vous demandions maintenant de le faire, hic et nunc, devant l'ensemble des profs et des étudiantes ?"
Martine Fuchs était devenue pourpre. Elle n'aimait la tournure que prenait cette 'démonstration'.
"Je crois que vous faites bien de me détacher, maintenant. Je ne comprends pas très bien vos principes éducatifs, mais ça n'a pas beaucoup d'importance, je ne comptais quand même pas faire une émission sur cette école..."
"Mais chère Madame Fuchs, je suis en train de donner cours, et vous êtes mon sujet. Je ne vais pas m'arrêter au beau milieu de mon exposé !"
Brouhaha dans le réfectoire.
La jeune femme n'était pas encore vraiment inquiète, mais sa voix fut ferme quand elle s'adressa à la Directrice :
"Madame Ospif, je vous somme de me libérer immédiatement. Sinon je me verrai obligée de porter plainte..."
La Directrice l'interrompit et s'adressa à la salle :
"Mesdames, mesdemoiselles ! Notre sujet oppose sa volonté à la mienne. Je pourrais la supplier d'obéir, je pourrais exiger qu'elle obéisse, qu'elle ne le ferait pas. Il nous faut donc trouver un moyen qui surpasse sa volonté de s'abstenir d'uriner dans ses vêtements. Psychologiquement Madame Fuchs se bloque entièrement : elle ne peut même pas envisager de se souiller en public,
son éducation le lui interdit, c'est un tabou culturel. Il nous faudra donc employer un subterfuge physique. Autrement dit, nous allons obliger son corps à faire ce que nous voulons, outrepassant la volonté de son esprit. Nous pourrions, par exemple, employer des électrodes et faire passer un courant dans le sphincter de sa vessie. Cette valve répondrait aux impulsions électriques comme elle répond aux impulsions de Madame Fuchs quand celle-ci va à la toilette ; mais comme le courant électrique circulant dans les électrodes est bien plus important, nous n'aurions aucune peine à vaincre ses impulsions..."
Elle pausa un instant en regardant ses étudiantes.
"Nous allons employer un moyen plus radical : nous allons lui ôter toute volonté pendant quelques secondes, le temps qu'il faut pour que son sphincter se relâche. Pour couper sa volonté, nous allons utiliser ceci..."
Et elle brandit un sac en plastique transparent, fermé par une cordelette, comme on reçoit dans certaines boutiques à la mode.
La Directrice s'approcha de Martine Fuchs qui tirait sur ses menottes, blanche comme un linge. Elle avait tout de suite compris ce que la Directrice voulait faire.
"Non, non ! Vous n'allez pas faire ça ! Non, madame ! Je vous en prie..."
Mais déjà la Directrice avait enfilé le sac sur la tête de la jeune femme.
Celle-ci secouait la tête pour tenter de rejeter le sac, mais sans succès.
Il y avait de la buée dans le sac, mais comme il était encore ouvert autour du cou de Martine Fuchs, elle pouvait respirer normalement.
"Arrêtez, s'il vous plaît! Assez ! Je ferai ce que vous voulez, mais enlevez ce sac, c'est dangereux !"
On sentait l'excitation monter dans la salle. Les yeux brillaient dans la pénombre et des mains disparurent discrètement sous les jupes.
"Quelques secondes d'inconscience suffiront; longtemps avant que le manque d'oxygène ne devienne dangereux, son corps se sera retiré dans une inconscience 'économique' qui réduira toutes les fonctions vitales qui consomment beaucoup d'énergie: l'état de veille, le tonus des muscles et bien entendu, le tonus des sphincters..."
Martine Fuchs se débattit de plus belle.
La Directrice prit la fine ficelle qui servait à fermer le sac et se mit à côté de la jeune femme, afin que tous puissent voir, y compris les deux caméras vidéo.
Puis elle tira sur la ficelle.
En panique, Martine Fuchs, la bouche grande ouverte, aspira l'air qui se trouvait encore dans le sac. Bientôt le plastique collait à sa peau comme si elle avait été emballée sous vide, et une partie du sac fut à l'intérieur de sa bouche. Les yeux lui sortaient de la tête, son corps entier se mit à trembler. Elle avait l'impression de vivre un cauchemar, secoua la tête pour se réveiller. La panique apparut dans ses yeux. Le plastique du sac suivait les contours de son visage comme un masque maléfique. Elle se débattit de plus belle, brûlant le peu d'oxygène qui lui restait. Son corps fut secoué de soubresauts, son bassin basculait frénétiquement.
Après d'interminables secondes, ses mouvements se ralentirent, son visage prit un teint bleuâtre et ses yeux se révulsèrent. Elle glissa un peu le long du poteau, quasiment inconsciente.
"Notre sujet a perdu conscience. Maintenant regardez bien son pantalon..."
Dans le silence et l'obscurité de la salle, on pouvait entendre quelques gémissements...
Soudain, le corps de Martine Fuchs s'affaissa comme un pantin, retenu par les manches à balai sous les aisselles. Au même moment une tache humide apparut sur son pantalon, entre les cuisses écartées : son sphincter était en train de lâcher !
L'écran géant reproduit fidèlement la scène, en gros plan.
Les gémissements dans la salle se firent plus forts et plus nombreux.
La tâche s'agrandit rapidement, souillant l'intérieur des cuisses, remontant sur le renflement du sexe. Le tissu trempé moulait le sexe avec une précision anatomique. Un filet atteignit bientôt les genoux. D'un geste rapide, la Directrice défit la fermeture du sac et l'enleva. Elle asséna quelques claques à la jeune femme, faisant danser sa tête de gauche à droite.
Martine Fuchs ouvrit les yeux, et d'un air hébété regarda la Directrice.
"Que... qu'est-ce qui se passe ?"
L'urine coulait toujours. Le pantalon, trempé, n'absorbait plus et le liquide coulait librement par terre.
Martine Fuchs regarda sous elle et n'en crut pas ses yeux.
"C'est quoi ça ? Ce n’est pas moi, je vous jure, ce n’est pas moi. C'est une mise en scène !"
Mais la salle se mit à rire et à applaudir et la jeune femme dut se rendre à évidence : elle avait fait pipi dans son pantalon.
Morte de honte elle ferma les yeux, espérant qu'elle se réveillerait de ce cauchemar, que son pantalon serait sec quand elle ouvrirait à nouveau les yeux.
Mais il n'était pas sec.
Maintenant elle sentit que l'urine avait coulé tout au long de ses jambes, jusque dans ses bottillons. Le tissus serrant du pantalon avait absorbé le liquide, formant une tâche foncée sur le bas ventre, comme si quelqu'un avait voulu lui dessiner un sexe poilu par-dessus son pantalon.
La Directrice attendit encore de longues minutes, la laissant mijoter dans son jus... ce qui était vraiment le cas de le dire.
Puis elle s'adressa à la salle, où l'excitation avait abouti à un demi-silence plus serein:
"Je crois que cet exposé était on ne peut plus clair..."
Martine Fuchs l'interrompit:
"Madame Ospif , je vous traînerai en justice pour coups et blessures et pour tentative d'assassinat. Vous pouvez fermer votre foutu Institut. Je vous casserai. Je poursuivrai aussi tous les professeurs et toutes les étudiantes qui sont dans cette salle pour non-assistance à personne en danger de mort.
Je..."
Une claque rejeta sa tête de côté et coupa net sa diatribe.
"Vous n'allez rien du tout. D'ailleurs notre exposé n'est pas encore fini. Il y a une suite. Mais puisque vous ne pouvez pas vous empêcher d'élever la voix,
nous allons vous bâillonner. Vos cris nuisent à la qualité de notre enregistrement vidéo."
Sur un signe de tête, l'assistante de la Directrice lui mit une balle de caoutchouc dans la bouche. Une lanière la tint en place.
La Directrice, impassible après cet intermède, reprit pour son auditoire :
"Je suis certaine que vous avez bien suivi la première partie de cet exposé.
La deuxième partie vous intéressera sûrement aussi. Nous allons forcer Madame Fuchs à vaincre un deuxième tabou, encore plus fort que le premier : atteindre le plaisir sexuel en public. En d'autres mots, nous allons induire un orgasme contre son gré..."
La jeune femme tenta vainement de parler ; la balle rouge ne laissait passer que des sons discordants. Déjà de la bave coulait des deux côtés de sa bouche,
sur son chemisier : la balle l'empêchait d'avaler sa salive.
On aurait pu voler une mouche dans la salle. Tous les yeux étaient rivés sur le pantalon souillé.
L'assistante s'agenouilla à côté de Martine Fuchs. Depuis cette position elle pouvait s'occuper du ventre de la jeune femme sans cacher la vue.
Lentement elle défit le gros ceinturon.
Froissements de tissu dans l'obscurité de la salle.
Ensuite l'assistante baissa la fermeture éclair et écarta les pans du pantalon. La caméra vidéo suivit chaque mouvement.
La culotte Sloggie était trempée et légèrement jaunâtre.
Martine Fuchs avait fermé les yeux. De grosses larmes coulaient sur son visage, se mélangeant sur son chemisier avec la bave qui coulait sans cesse de sa bouche bâillonnée.
D'un geste sec l'assistante baissa le pantalon sur les genoux de Madame Fuchs.
Dans la salle quelqu'un applaudit spontanément. Un regard de la Directrice arrêta net ce bruit incongru.
Martine Fuchs avait de belles jambes bronzées. Tout l'intérieur était mouillé et les gouttes brillaient sous la lumière des spots de télévision. Elle tremblait visiblement, n'arrivait plus à se contrôler.
Quand l'assistante abaissa le slip puis le fit glisser le long des jambes, Martine Fuchs ne put se retenir et se remit à uriner en jets tremblotants, morte de honte.
Cette fois-ci la Directrice ne fit pas arrêter les applaudissements.
L'urine continuait à couler, quoi que la jeune femme fasse - elle eut peur que son évanouissement ait fait des dégâts et qu'elle était devenue incontinente.
Le buisson du sexe était trimé en un triangle parfait. Plus bas, les petites lèvres dépassaient d'entre les grandes lèvres entièrement rasées. Sur l'écran géant de télévision on vit briller quelques gouttes d'urine sur les lèvres gonflées.
La Directrice prit la parole, s'adressant à la salle :
"Pour cette démonstration il faut que le sujet soit conscient, l'effet est alors bien plus spectaculaire. Nous pourrions, bien sûr, induire un orgasme sur une personne inconsciente - vu qu'il s'agit de réflexes nerveux - mais en la maintenant éveillée, cette jeune femme va involontairement nous apporter son aide. Elle va finir par nous supplier de la stimuler, pour atteindre ce qu'on appelle 'la petite mort'..."
Nouveaux applaudissements excités dans la salle. Ce sont des exposés pareils qui font la réputation d'une école, la Directrice le savait bien...
Elle brandit un objet relié à un câble électrique.
"La plupart d'entre vous connaissent bien cet instrument. C'est un appareil de massage médical. Il sert à soulager les douleurs musculaires et articulaires.
Il sert aussi à exciter certains endroits spécialement réceptifs du corps humain..."
Elle passa l'objet - un cylindre ressemblant à une moulinette électrique à potage, terminé par un embout de caoutchouc de la taille d'un bout de nez, - à son assistante, qui brancha le courant.
Le bruit était à peine imperceptible dans la salle mais plusieurs élèves - et quelques profs - étaient persuadés qu'elles l'entendaient... Certaines allaient à s'imaginer qu'elles sentaient les vibrations à travers leurs chaises...
Martine Fuchs se pencha aussi loin que ses bras entravés lui permirent et vit l'embout orange approcher son ventre.
Elle cria quand l'assistante l'appliqua fermement sur l'os pubien. Les vibrations se propagèrent dans tout le bas-ventre de la jeune femme,
enflammant son sexe. Transmise par les grands os du bassin, les vibrations étaient désagréablement amplifiées.
D'un geste, la Directrice lui fit signe d'attendre. Puis elle attacha une lanière de cuire autour du front de Martine Fuchs, la passant derrière le poteau. De cette façon la jeune femme avait la tête bien droite, et on pouvait parfaitement observer ses mimiques. Une des caméras vidéo se fixa dessus en gros plan.
L'assistante farfouillait entre les cuisses de la jeune femme, lui écartant les fesses de la main gauche. De la main droite elle appliqua l'embout vibrant sur l'anus. Martine Fuchs sursauta comme si elle avait été piquée par une abeille. Ses yeux s'agrandirent quand elle sentit la pression augmenter sur son sphincter. Puis l'anneau fut forcé et l'embout s'enfonça dans le rectum.
Elle sursauta à nouveau, plus de peur que de douleur.
Les genoux de Martine Fuchs se mirent à trembler frénétiquement.
La caméra qui était au ras du sol prit un gros plan du sexe de la jeune femme et enregistra le filet de bave qui coulait du vagin.
L'assistante l'avait vu aussi. En plus, l'odeur caractéristique qui émanait du sexe lui avait appris que la jeune femme était excitée malgré elle. Les lèvres étaient gonflées et d'une couleur rosée elles étaient devenues presque mauves.
Martine Fuchs sentait le sol se dérober sous elle. Heureusement qu'elle était attachée ou elle serait tombée. Elle essaya de secouer la tête en un 'non' désespéré et ne réussit qu'à bouger les yeux. Après quelques instants la Denise estima que ses élèves avaient suffisamment pu s'imprégner de la scène et fit un signe discret à son assistante.
Aussitôt celle-ci appliqua l'embout vibrant entre les lèvres et donnait de petits coups à l'endroit le plus sensible du sexe. A chaque contact c'était comme si du courant électrique passait dans son clitoris. L'organe, gorgé de sang, envoyait des impulsions délicieuses dans la moelle épinière. Avec horreur Martine Fuchs s'aperçut qu'elle oscillait son bassin à l'encontre de cet appareil diabolique sans qu'elle puisse s'en empêcher. Elle haletait, la bouche grande ouverte, les yeux fermés. Rien que de voir ces grimaces sur cette tête immobilisée par la courroie de cuir, plusieurs filles se mirent à gémir, les mains enfouies entre leurs jambes ou celles de leurs amies.
On vit lentement monter le plaisir, se disputant à la honte de se montrer ainsi en spectacle, à l'affreuse gêne d'exhiber ses jouissances intimes devant une salle pleine d’étudiantes seulement majeures.
Soudain Martine Fuch s'immobilisa, comme tétanisée, le corps tendu comme un arc, autant que ces liens le lui permettaient. Son bassin se mit à donner de furieux coups de butor vers un partenaire invisible, se cognant contre l'appareil de massage. La bave coulant du menton de la journaliste avait formé deux longues traces sur le chemisier rose.
Au moment où la jeune femme atteint le paroxysme, les élèves virent nettement les yeux se révulser - du moins celles qui avaient encore les yeux ouverts,
car plusieurs d'entre elles s'étaient réfugiées sur leur île personnelle, ivres de plaisir. Ce n'était pas sans raison qu'on avait mis la salle dans l'obscurité...
La scène était d'un érotisme rare : la jeune femme immobilisée contre le poteau, dénudée à partir de la ceinture, était secouée de spasmes qui n'en finissaient pas. Même la Directrice et ses assistantes eurent beaucoup de peine à se dominer.
La journaliste reçut à son départ une copie d'un des enregistrements vidéo. A l'opposé de ce qu'elle avait juré, elle ne porta pas plainte...
par Charlene O.
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