Sur un principe similaire à celui d'une drogue, la pornographie pousserait ses nombreux adeptes à visionner des images toujours plus extrêmes afin d'entretenir leur libido qui serait de moins en moins stimulée par des pratiques « banales ».
Cette escalade de la violence et du trash ne serait pas sans conséquences. L'abus de ce type de vidéos engendrerait des comportements agressifs chez ses consommateurs, en plus de les déconnecter de la sexualité telle qu'elle est pratiquée dans la vie de tous les jours.
L'assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe s'est montrée préoccupée par le sujet, et propose dans un texte un certain nombre de mesures pour lutter contre la pornographie « violente et extrême » (ce qui regroupe les vidéos montrant explicitement des scènes de dégradation, de violence sexuelle, de torture, de meurtre, de nécrophilie ou de zoophilie dans un but d’excitation sexuelle.)