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 Sujet du message : Point de vue: le chanteur Antoine
MessagePosté : dim. 14 oct. 2012, 17:45 
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À quoi pensez-vous ?
Il y a plein de dogmes dont j’aimerais que nous soyons libérés : l’usage du tutoiement, l’orthographe ou le rapport à la nudité. Je cite souvent l’écrivain américain Mark Twain : « Si Dieu voulait que nous vivions nus, il nous ferait naître nus. »
Mais le préjugé que je combats le plus est celui qui pèse sur les travailleuses du sexe. Je plaide en faveur des prostituées et de leurs clients. Il faut abroger la loi sur le racolage passif. Et aller vers une légalisation de la prostitution. C’est une activité qui a sa fonction sociale.

Vous avez ce combat parce que vous êtes client ?
J’ai été client à différentes périodes de ma vie, et cela m’a apporté beaucoup. J’avais une vie tellement folle que je n’avais le temps de traîner dans les cocktails pour séduire les gens. J’aurais mal fait mon boulot qui était de divertir le public !
La première fois que j’ai rencontré Claude François, c’était dans un bordel en Italie. On était invités par nos maisons de disques. J’ai toujours eu le plus grand respect pour les personnes qui ont choisi ce métier.
Depuis un ou deux siècles, on a beaucoup amélioré les conditions de travail des mineurs, des marins pêcheurs, des employés de maison… La seule profession pour laquelle on n’a rien fait, c’est celle des prostituées. La plupart de nos voisins ont trouvé des solutions légales. On ne règle pas tout en un instant, mais il faut trouver des solutions qui offrent un meilleur respect de la personne. En Suisse, dans les salons érotiques, elles ont le droit de refuser ce qui ne leur plaît pas. Je ne fais pas l’apologie de la prostitution. Il faut une grande force pour faire ce métier.

Vous ne pouvez néanmoins nier qu’il existe un trafic lié à la prostitution dans lequel les femmes ne sont pas volontaires…
Quand une institution est malade, on ne l’abat pas, on s’ingénie à la soigner ! Il faut lutter contre la coercition, mais donner aux personnes qui ont choisi ce métier la possibilité de l’exercer dans de bonnes conditions. Je souhaite qu’il y ait un vrai débat.

Vous trouvez que nous vivons un retour à l’ordre moral ?
La situation est plus complexe. Il y a des indéniables avancées. Souvenez-vous : quand je chantais les Élucubrations, les femmes venaient juste d’avoir le droit d’ouvrir un compte en banque sans l’aval de leur mari !
Il n’en reste pas moins que des mouvements apparaissent pour remettre en cause les libertés acquises. Aux États-Unis, Mitt Romney veut dérembourser la contraception. Comme disait Jefferson : « La liberté, c’est l’éternelle vigilance ».
Libérons-nous des dogmes ! (l'interview complète)


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MessagePosté : mar. 06 nov. 2012, 19:10 
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Antoine est loin de l’hurluberlu que son personnage veut bien laisser croire. J'aime bien l'entendre parler et il faudrait un jour que je me penche sur ses écrits. :)

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".


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MessagePosté : lun. 12 nov. 2012, 12:30 
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Les arts du lit en deux mots ?

C’est mon affirmation que le commerce de l’amour, débarrassé des prohibitionnismes qui causent l’essentiel de ses laideurs, pourrait être aussi simple et honorable que les arts de la table, vaste univers né de la gastronomie qui fait vivre des millions de personnes et apporte à des millions d’autres des instants de bonheur.

Les arts du lit, c’est l’idée d’un possible moins pénalisant, moins diabolisé, un effort pour rendre à cette activité ses lettres de noblesse en montrant à quel point la réduire à la violence des trafics est injuste : il existe mille prostitutions diverses, des filles violentées par les mafias aux escorts de luxe, en passant par toute la gamme des personnes qui ont choisi cette activité, de façon prolongée ou occasionnelle, comme meilleure option possible dans l’état actuel de la société.
Antoine, la tendresse bordel: l'article complet


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MessagePosté : ven. 11 janv. 2013, 15:20 
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Et si 2013 devenait en France l'année du retour au bon sens? De l'abandon des démarches dogmatiques qui ne causent que du malheur? Toujours à l'affût de signes positifs, j'en ai relevé deux, de premier ordre, dans l'actualité récente: en décembre dernier, tout d'abord, alors que les mouvements qui prétendent qu'il soit possible et nécessaire d'un jour "faire disparaître" la prostitution font toujours référence à la solution répressive choisie par la Suède. Or, son voisin le plus proche, le Danemark, après avoir étudié le bilan du "modèle nordique", ce pays a décidé de ne pas le suivre, car il n'améliorait en rien la situation des sexworkers, et a renoncé à pénaliser le recours à la prostitution; une étude financée en 2010 par le gouvernement danois avait clairement conclu que "la prostitution ne peut pas être traitée comme une entité monolithique et homogène" et que "de nombreux travailleurs sexuels ont choisi leur profession, ils n'y ont pas été contraints."

Et puis à quelques jours des fêtes, c'est le gouvernement français qui a publié un rapport révélateur de l'Inspection Générale des Affaires sociales, qui , pour la première fois en France, abordait sans a priori le problème, et déclarait à son tour "qu'il n'y a pas une mais des prostitutions" et que "les seules données disponibles (ne concernent) que la seule prostitution de rue, et ne saurai(en)t être extrapolé(es)", infirmant en cela les chiffres alarmistes proclamés par les abolitionnistes. "La commission a relevé des degrés très variables dans la contrainte ou au contraire dans la liberté" et choisi de souligner la part de libre arbitre dans le choix de cette profession , utilisant le terme "personnes qui se prostituent" plutôt que le passif "personnes prostituées"; ces conclusions convergent avec la position du Syndicat des Travailleurs Sexuels, le Strass, et avec celles que j'exprime dans mon livre, et c'est à les faire connaître que je m'appliquerai dans les mois à venir dans les colonnes du Huffington Post, afin de jeter une lumière nouvelle et constructive sur certains mythes et idées reçues à propos du travail des personnes -nombreuses- qui se prostituent de leur plein gré.

...

http://www.huffingtonpost.fr/antoine/pr ... 54284.html" onclick="window.open(this.href);return false;


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MessagePosté : sam. 19 janv. 2013, 13:00 
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Sexe et orientation sexuelle : bi? pas bi? allez savoir...
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Il est bien Antoine, c'est clair argumenté et intelligent, :clap: tout le contraire des conclusions d'une certaine enquête parlementaire :roll:

_________________
La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln

alors qu'est ce qu'on attend ? :D


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MessagePosté : mer. 31 juil. 2013, 23:07 
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Trois bonnes nouvelles sur le front de la prostitution 27/06/2013
Pour la grande majorité des Français et des Françaises, qui pensent comme moi que la meilleure façon de diminuer les défauts dont le commerce du sexe souffre en France n'est pas la répression (sauf celle, évidemment, de toute forme de coercition), trois évènements importants ont eu lieu au cours de ces derniers mois, confirmant que le bon sens gagne progressivement du terrain :

23 mars - Le fer-de-lance des abolitionnistes le reconnaît enfin : La plus grande partie des prostituées ne sont pas des victimes.

Le 23 mars, un débat s'est tenu sur Radio France International (RFI) entre le secrétaire général du Mouvement du Nid et la secrétaire générale du Strass, le Syndicat des Travailleurs sexuels : alors que la pugnace Morgane Merteuil lui reprochait d'assimiler toutes les personnes qui se prostituent à des victimes, le plus ardent chantre de l'abolition de la prostitution, Grégoire Théry a répondu :
"Absolument pas. Nous ne disons pas que toutes les personnes sont contraintes à la prostitution ou qu'elles sont toutes victimes. D'ailleurs sur les 5000 personnes que nous rencontrons il n'y (en) a que 1500 qui nous demandent du soutien concret, et ce soutien concret, ce n'est pas forcément une aide pour quitter la prostitution. Donc ça veut bien dire que toutes les prostituées ne sont pas contraintes et forcées à la prostitution."

En quoi cette déclaration est-elle si importante ? Eh bien parce que le Mouvement du Nid, association initiée par un prêtre vers 1936, est dans notre pays le fer-de-lance du combat pour la disparition de toute forme de prostitution, et ce depuis fort longtemps : dès 1946, ce mouvement a eu une influence décisive dans la fermeture des maisons closes, qui avaient de grands défauts, c'est vrai, mais que l'on aurait mieux fait de chercher à corriger plutôt que de jeter à la rue les femmes qui y travaillaient, en prétendant leur rendre leur dignité. Et le porte-parole actuel du Mouvement du Nid, Grégoire Théry, un jeune homme dynamique doté d'une conviction à faire pâlir d'envie un témoin de Jéhovah, a tout fait depuis dix ans pour convaincre plus d'un(e) élu(e) que la prostitution était un fléau, que 90 % et plus des femmes qui s'y consacrent sont victimes de contrainte ou de traite. Et voilà qu'il conteste son propre dogme et reconnait que moins de trente pour cent des prostitué·e·s que son association rencontre sont des victimes de la traite !

Cette déclaration conforte bien les différences sources que j'ai eu l'occasion de citer dans mes tribunes sur Le HuffPost, en particulier le rapport de l'Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS) qui affirme que les chiffres souvent proclamés sont très incertains, au mieux de grossières approximations, ne concernent qu'une petite partie de la prostitution (la rue) et ne peuvent être extrapolés aux autres formes que prend cette activité, escorts, salons, Internet, étudiants : la prostitution prend des visages si variés, dans la contrainte comme dans la liberté, qu'une "réponse unique" telle que le projet d'interdire l'achat de tout acte sexuel serait totalement injustifiée.

23 avril - La Ligue des Droits de l'Homme éclaire la Délégation aux Droits des Femmes

La deuxième bonne nouvelle c'est que justement que le même avis a été donné à la Délégation aux Droits des Femmes par la Ligue des Droits de l'Homme : Dans le cadre des auditions devant la commission sur la prostitution présidée par la députée PS Maud Olivier, on peut lire sur le site Internet de la présidente de la délégation, Catherine Coutelle, que le président de la Ligue des Droits de l'Homme, Pierre Tartarowsky a déclaré : Nous ne sommes pas plus partisans de légaliser que d'interdire : nous sommes partisans d'un processus d'éducation globale (...) Nous sommes profondément ancrés sur l'idée que le corps n'est pas une marchandise ; mais nous ne sommes pas non plus favorables à la pénalisation, qui serait une sorte de répression flattant l'idéal politique selon lequel la répression suffirait. » Sur les moyens d'action, le Président de la LDH a ajouté que "l'arsenal législatif est déjà extrêmement riche contre la prostitution et la traite" et qu'il préférerait voir "améliorés les moyens d'actions de l'Etat, dispersés administrativement et relevant de nombreux ministères, pour qu'ils aient une effectivité réelle".

Ce sont peut-être des déclarations comme celles ci-dessus qui conduisent progressivement la Commission, dans le projet de législation qu'elle entend voir débattre à l'Assemblée à l'automne, à viser à l'éducation plutôt qu'à la pénalisation : c'est ce que tous demandent. Je me permettrai pour ma part dans une prochaine tribune de revenir, à la lumière d'expériences réalisées dans d'autres pays et de réflexions de nombreux sociologues et chercheurs, sur ce que pourraient être - et ce que ne devraient pas être - les mesures "pédagogiques" qu'envisage le projet de loi.


21 juin - La Cour Suprême américaine au secours des prostituées

Enfin, c'est d'Amérique que nous vient la troisième bonne nouvelle : Le 23 juin, aux Etats-Unis s'est déroulé un évènement qu'attendaient depuis des années un bon nombre d'associations qui luttent contre l'épidémie de Sida.

Pour bien le comprendre, un petit rappel historique : en 2003, ayant été élu grâce aux voix des "fondamentalistes chrétiens" (prêtres, pasteurs, évangélistes télévisuels, qui ont un poids colossal aux Etats-Unis), le président Bush, pour les remercier, a institutionnalisé leurs thèses, en particulier une opposition fondamentale à la prostitution, ennemie de la famille chrétienne, et lancé une croisade mondiale contre le travail sexuel. Ayant à la même époque créé un fond colossal pour la lutte contre l'épidémie de Sida, le PEPFAR, il a exigé qu'un tiers des soixante milliards de dollars qu'il mettait en jeu soit consacré à... des programmes d'éducation des jeunes gens à l'abstinence sexuelle jusqu'au mariage, et décrété que le reste de cette fortune serait exclusivement réservé aux associations qui s'engageraient par écrit à combattre toute forme de prostitution : à l'époque, près de 200 ONG américaines ou internationales avaient, devant cette injustice, intenté un procès au gouvernement Bush, mais en vain ; le Brésil avait même refusé toute subvention américaine afin de pouvoir continuer sereinement à traiter son commerce du sexe, veillant avant tout à la protection des travailleurs et travailleuses du sexe.

C'est à la suite de cette restriction que de nombreuses associations américaines ou européennes, qui considéraient jusque là avec plus de pragmatisme le travail sexuel, sont devenues d'ardents partisans de l'abolition de la prostitution !

Et voilà que le 21 juin 2013, la Cour Suprême des Etats Unis d'Amérique a déclaré illégale cette façon d'influer sur les pratiques des associations de bienfaisance : "La Cour a jugé par 6 voix contre 2 que, dans le cadre d'un programme anti-Sida de milliards de dollars, le refus de subventionner les organisations qui ne s'opposaient pas de façon explicite à la prostitution violait leur liberté d'expression".

Dorénavant les associations n'auront plus besoin de souscrire à cet engagement et ne seront plus contraintes, si elles veulent être subventionnées par le gouvernement américain, à renoncer aux méthodes de "réduction des risques", telles que la distribution de préservatifs, le suivi médical des personnes qui se prostituent, etc., travail "de terrain" que font chez nous avec un immense dévouement des associations comme Cabiria, Grisélidis, IPPO, Médecins du Monde ou le Bus des Femmes. Leur travail n'est il pas plus juste que celui des mouvements qui, au nom d'une idéologie irréaliste, consacrent l'essentiel de leur énergie et de leur financement à entretenir des paniques morales ?
Vous trouverez plus d'informations sur ce sujet sur le blog http://www.LesArtsDuLit.org" onclick="window.open(this.href);return false;

En France, à la suite d'une longue campagne abolitionniste, la loi du 13 avril 1946 a ordonné la fermeture des maisons de tolérance (...) Cependant la prostitution n'en continue pas moins à s'exercer. Ce n'est évidemment pas par des mesures négatives et hypocrites qu'on peut modifier la situation. Simone de Beauvoir, Le deuxième sexe 1, deuxième partie, V.

Naviguez assez vite pour atteindre votre but, mais assez lentement pour avoir le temps de voir. La modération semble être la clé. Jimmy Buffett, Barometer Soup.
http://www.huffingtonpost.fr/antoine/lo ... 02960.html" onclick="window.open(this.href);return false;.

Ce sont peut-être des déclarations comme celles ci-dessus qui conduisent progressivement la Commission, dans le projet de législation qu'elle entend voir débattre à l'Assemblée à l'automne, à viser à l'éducation plutôt qu'à la pénalisation : c'est ce que tous demandent. Je me permettrai pour ma part dans une prochaine tribune de revenir, à la lumière d'expériences réalisées dans d'autres pays et de réflexions de nombreux sociologues et chercheurs, sur ce que pourraient être - et ce que ne devraient pas être - les mesures


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MessagePosté : dim. 17 nov. 2013, 11:02 
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Il lance, à nouveau, une pétition. :champ:
Des signataires m'ont surpris, ce qui confirme bien que c'est pas bien d'avoir des préjugés. :roll:
Citation :
Florence Arthaud, Alain Souchon, Mickey 3D, Mireille Darc, Chantal Goya, Raphael, Thomas Dutronc, Catherine Deneuve ou encore Line Renaud... De nombreuses célébrités ont signé la pétition initiée par leur ami chanteur et navigateur Antoine (Pierre Antoine Muraccioli de son vrai nom), contre la proposition de loi porté par le Parti socialiste qui prévoit la pénalisation des clients de prostitué(e)s.

Une soixantaine de femmes et d'hommes, dont de nombreuses stars, ont accepté, "souvent avec enthousiasme", d'approuver une formule que le chanteur des "Élucubrations" avoue avoir mûrement réfléchie : "Sans cautionner ni promouvoir la prostitution, nous refusons la pénalisation des gens qui se prostituent et de ceux qui ont recours à leurs services, et nous demandons l'ouverture d'un vrai débat sans a priori idéologique."

http://www.lepoint.fr/societe/exclusif- ... 017_23.php" onclick="window.open(this.href);return false;


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MessagePosté : lun. 18 nov. 2013, 15:30 
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Je suis content que certains réclament un débat sur la prostitution
avec calme et sérénité. :D

Ca fait du bien entre les bienpensants qui pensent à la place des acteurs
de ce "métier" et les provocateurs qui s'en servent pour faire parler d'eux. :roll:

Mais quel hypocrisie tout de même. Loi qui servira juste à "nettoyer" les rues de ces personnes,
sans se préoccuper des réseaux de proxénètes en tous genre qui continueront, eux,
à faire du trafic de femmes, des maltraitances et qui passeront par le Net et autres
combines du genre.
Et que nos bienpensants continueront à fréquenter dans les grands hôtels. :roll:

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