Les jouissances féminines forcéesssss
La jouissance féminine forcée est quelque chose que j’affectionne particulièrement tout comme mes deux soumises et toutes les femmes à qui je l’ai fait découvrir.
Mode d’emploi personnel sans prétention mais si magique
Ce mode d’emploi est présenté
avec humour mais il est le
reflet d’une réalité. S’il y a ici des soumises qui me connaissent et l'ont vécu ou vu, elles vous confirmeront.
1°) Prendre une soumise mûre à point et assez folle pour s’offrir à vous.
2°) L’entraver sur le dos solidement avec un soin particulier pour les jambes et les pieds qui, au moment le plus fort de ses jouissances, risqueraient de vous démolir le portrait.
3°) S’assurer que les entraves ne la blesseront pas au moment où elle va tirer dessus comme une psychopathe en crise.
4°) S’assurer qu’elle ne pourra pas serrer les cuisses et vous interdire l’accès à son intimité dans les moments les plus forts.
5°) Ajouter corde ou sangle pour qu’elle ne puisse pas se cambrer (soulever ses fesses car il n’y a rien de plus énervant qu’un eminette qui monte et qui descend).
6°) Prévoir : de quoi libérer de toute urgence en cas de malaise + un saut d’eau froide, cela peut servir à ranimer (vécu une fois) ou calmer. (Vécu deux fois) A noter : on ne laisse pas quelqu’un très sévèrement entravé sur le dos sans surveillance.
7°) Bander les yeux, mettre une musique d’ambiance et « réserver » ou laisser « mûrir » quelques minutes.
8°) Vos accessoires étaient cachés mais à portée de main. Pour moi ce sont : des petits et gros martinets / vibros au pluriel dont un magic / gants / lubrifiant / glaçons / pinces à seins ou à linge reliées par une ficelle / bougie SM basse température.
9°) Pour commencer votre plat de jouissance, faites « rissoler » la minette inquiète avec quelques vibrations magiques en ajoutant de la sauce (lubrifiant) en quantité. Quand la « viande » (Humour) est dorée traduire que la belle commence à monter en température, loger un vibro où vous voulez en le bloquant pour qu’il ne s’échappe pas. Perso j’associe ensuite les gouttes d'eau froides du glaçon avec les gouttes chaudes de la bougie basse température. Au bout d’un moment certaines personnes ne font plus trop la différence entre le chaud et le froid. Sérieux on m’a dit plusieurs fois « ça brûle » alors que ce n’étaient que les gouttes d’eau froide du glaçon….
10°) Retirez le vibro, massez et commencez l’agression avec le magic qu’elles adorent MAIS sans faire bouillir, traduire sans les faire jouir, c’est trop tôt. Là la belle va commencer à vous détester….
11°) Cette fameuse bougie ne pouvant rester en place, craquelez la « croûte » de cire à l’aide du petit martinet pour commencer tout en jouant du magic de l’autre main. En principe la belle devrait commencer à en demander beaucoup plus, il est donc temps de passer au gros martinet sans pour autant « frapper »
ce n’est pas le but. Le but du gros martinet est son poids.
12°) Le sexe féminin se prête à merveille aux lanières des martinets,
dès lors que ce sont des caresses plus ou moins appuyées. Certes la soumise a parfois peur, mais se sont des réactions de réflexe pas de douleur si vous êtes très doux. Evitez de heurter les zones sensibles avec la pointe des lanières. Magic et martinet (doux le martinet) en alternance donnent parfois des résultats surprenants du type des expressions comme « plus fort » ou des « oui » ou des mélopées ou expressions limitées en vocabulaire comme Ah / Hou / Ouiiiii / …
13°) Enfilez vos gants en latex fin
surtout pour une question d’hygiène mais aussi parce que le latex glisse bien et entreprenez de jouer le spéléologue ou le gynécologue en associant le magic. Vous constaterez sûrement que le puits d’amour n’est pas opposé à s’offrir à plusieurs phalanges.
Encore une fois, de la douceur, prenez votre temps pour monter en puissance ce n’est pas un marathon. Rajouter du beurre, pardon, du lubrifiant et passez la surmultipliée pour la main curieuse comme un spéculum…………..
Le magic passe et « rapace » mais ne s’arrête point sur sa proie. Lorsque vous sentez le vagin se serrer, surtout ne ralentissez pas, au contraire ! Prenez une position bien stable, fouillez, massez le point G quoi qu’il arrive en jouant avec le magic. (Jouer = poser / retirer très vite sur le clitoris et ses environs hauts et bas. (Puis les côtés qu’il ne faut pas oublier)
14°) Attention aux surtensions et explosions. Il m’est arrivé plus d’une fois de me faire éclabousser par des femmes qui ne m’avaient pas prévenu (les garces) ou des femmes qui se sont découvertes « fontaines ».
15°) La belle crie, hurle et tire sur ses entraves comme une demeurée, parfois même, elle peut pleurer ou crier « stop » mais ne l’écoutez pas, la demande de pause """"syndicale""" ne va durer que quelques secondes…… Reproduire à volonté en surveillant bien qu’elle
ne tourne pas de l’œil. Si la minette s’ouvre, peut-être lui ferez-vous découvrir son premier fist vaginal. Si c'est découverte alors là..... c'est magique.
Pensez que le « trop » pose souci, le « pas assez » génère une envie de plus. Vous recommencerez en d'autres temps.
Quoi qu’il en soit, lorsque vous estimez que la belle est rassasiée et qu’il est bien pour son cœur et son corps d’arrêter,
couvrez-là car sur le retour des jouissances extrêmes elle aura froid au bout d’un moment malgré ses dires. Libérez sans vous presser, accompagnez-la de caresses et de mots doux, et laissez-la revenir sur terre tranquillement.
Si lors de son retour sur terre la belle se met à pleurer, ne vous affolez pas, consolez-la en douceur, elle va se reprendre et vous dire qu’elle vous déteste mais qu’elle y reviendra…...
TSM
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