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Après le récit de ma découverte de l'anal, vient celui de ma découverte de l'Uro.
Je suis en première, dans un lycée somme toute très banal, vers le début des années 2000. Les vacances de Pâques approchent, et je les attends avec impatience: ma copine d'alors, C. vient passer quelques jours chez moi, en famille. Le samedi se déroule normalement, avec le repas de pâques en famille, rien qui n'invite particulièrement a la débauche. Le dimanche par contre, mes parents déjeunent dans la famille, a plus d'une heure de route, et mon frère ainé se rends chez des amis. La grande maison familiale est enfin a nous. Nous décidons de nous installer devants film, sous les combles, dans la chambre de mon frère qui a la chance d'avoir une grande télé dernier cri, laquelle est judicieusement placée devant le lit.
C. Est une petite brune de 19ans, avec des formes généreuses sans être en surpoids, toujours habillée de façon très sage. Une jeune femme discrète, timide en public comme au lit.
Elle me rejoins en jeans blanc, avec un grand pull bleu marine, des chaussettes "Mickey", et s’installe dans mes bras alors que je lance le film. "Gangs of New York".. autant vous dire que je n'avais mis toutes les chances de mon côté pour un moment chaud, et pourtant.
Les turbides de Di Caprio et de ses collègues dans un New York naissant ne l’intéressent pas vraiment, et au bout d'une demi heure nous n'y prêtons plus attention, lancés dans de fougueux baisés. Une choses en entrainant une autre, ma main passe sous son pull, qu'elle enlève rapidement. Ses seins sont magnifiques, de taille moyenne ils se tiennent parfaitement, même sans soutient gorge. Dès que je lèche ses tétons, elle ferme les yeux et gémit un peu. Mes doigts sont maintenant a l'attaque dans son jeans, au dessus de sa culotte, je caresse ses lèvres et je descends, y trouvant une humidité importante trahissant son désir. Le jeans et la culotte vont rejoindre le pull ayant échoué sur le sol.
J'aime beaucoup son corps. Il n'est pas parfait comme celui ides filles d'internet ou des magazines, elle a quelques poils sur son ventre rond, un peu aux jambes, et bien sûr, un petite toison intime très douce, qu'elle ne fait que taillée. Mes doigts entre en elle très facilement, l'index et le majeur a l’intérieur, je le recourbe un peu pour venir effleurer l'intérieur de ce sanctuaire décidément bien humide. Ses gémissements continuent de plus belle, m'excitant davantage. Elle caresse son clitoris, de plus en plus vite. J'essaie de me calquer sur son rythme, puis je finis par la remplacer avec ma seconde main tandis qu'elle remonte sur ses seins. Elle me guide.. plus vite, plus fort.. Elle n'en finit plus de couler de plaisir, et je remarque que son fluide est beaucoup plus important qu'a l'accoutumée. Je sens son corps se tendre et l'orgasme venir, elle reprends la main sur son clito qu'elle pince légèrement... Soudain les spasmes arrivent et l'orgasme tant attendu est là. Elle se lâche alors dans cinq puissants jets qui trempent mon bras, et la couverture du frangin.
Dès qu'elle reprends ses esprits, elle rougit, de honte cette fois ci, devant la grande auréole dont elle se sait responsable. Elle s'excuse en trouvant cela sale.. Je la rassure de suite, ce n'est rien de grave et le fait d’être mouillé de la sorte n'a fait qu’augmenté mon désir. Alors qu'elle a déjà jouit quelques minutes auparavant... Au court des quelques années de relations que nous auront, je n'aurais qu'une seule fois la chance de revoir cette fontaine.. Cela m'a donné l'envie d’être mouillé d'autres façon, mais elle n'y cèdera jamais..
Nous avançons maintenant de quelques années, nous sommes a présent pendant ma période fac et j'ai rencontré celle qui sera ma première "Maitresse", ma guide a la découverte des plaisirs SM.
Nous sommes a l'étranger, elle voulait voir une exposition d'art et je l'ai accompagné, avec la grâce de son mari étant persuadé que j'étais encore son "ami gay".. Elle a gérer elle même la réservation de la chambre, et je m'étonne a l'ouverture de celle ci de ne trouver qu'un grand lit deux places. La chambre est assez mal insonorisée, et je l'entends satisfaire ses besoins naturels aux toilettes.. loin de me dégouter, cela provoque en moi une certaine excitation, et de fil en aiguille, cela me rappelle C et ma frustration.. Mais nous ne sommes pas encore intimes, je garde donc cela pour moi. Il faudra encore quelques semaines après notre retour pour que en venions a nous dévoilés. Une remarque sur ses pieds nus, et quelques sous entendus.. on se cherche un peu, et je lui avoue une attirance fétichiste pour ses pieds, que je m'imagine lécher. Elle rit, mais me dit "qu'il y a quelque chose a essayer si cela me dit"... Quelques heures plus tard, elle est chez moi, en culotte et tshirt et m'oblige a lécher ses petits orteils en m'insultant..gentillement. D'étapes en étapes, nous progressons doucement vers ma soumission... et nous en venons enfin a coucher ensemble. Surement la meilleure partenaire que j'ai connue, et je vous dit cela presque dix ans et quelques expériences plus tard. Un corps qui me fait encore fantasmé, bien plus mince que C, des seins très petits, une toison dont l'implantation trahit ses origines asiatique, des fesses que je peux presque tenir d'une seule main.. un régal pour les yeux et le corps.
Lorsque l'on couche ensemble, elle m'insulte souvent, mais son antre très serré a parfois du mal a supporter mes assauts. Alors qu'elle me laisse la prendre en missionnaire -Madame préfère être au dessus- je la prends de façon très vigoureuse. Trop a son goût, et elle me stoppe avant l'orgasme. " Tu n'es pas gentil, tu fais mal a ta Maitresse, pour la peine tu vas finir en te branlant devant moi, vas t'allonger dans la baignoire" . Je m’exécute de suite et fille m’installer dans la baignoire...vide et très froide. La température casse mon élan et cela amuse beaucoup ma Maitresse qui se moque de moi en des termes peu élogieux, et très insultants. " Alors ma petite lope, tu ne bandes plus? ta bite est molle..c'est très décevant.. allez tu t'y remet, regarde ma chatte que tu n'auras plus le droit de souiller pendant un moment" Elle s'installe debout, face a moi, sa toison a quelques centimètres de mon visage. Je durcis a nouveau... mais tout cela prends du temps "Bon ma lope, j'ai pas la journée. Et je veux que te voir te vider avant mon départ, et j'ai envie de pisser aussi alors dépêches ou sinon..." sa menace résonne en moi, je vois qu'elle hésite. Je la supplie de me punir encore, de m'humilier d'avantage. " T'es vraiment un esclave ma petite lope. Ok je vais te pisser dessus, tu viendras pas te plaindre, si je commence là, je finis".
Je sens quelques gouttes chaudes s'écrasées sur mon torse, puis c'est le grands flux. Son urine m'inonde, et elle me toise, très satisfaite. Je bande maintenant très fort... et me branles rapidement. Mais je ne sais pas si cela se reproduira un jour, alors, je tente le tout pour le tout et j'avance ma langue sous la pluie dorée. Un gout légèrement salé, rien de repoussant.. Quel bonheur... Mon audace la surprends. "Oh je ne m'y attendais pas..t'aimes ca ? vas y lèche moi bien"
Cela deviendra l'un de jeu courant entre deux, mais de punition son jet d'or deviendra une récompense, que je me devrais de supplier et d'obtenir après m’être exécuter aux ordres de ma Maitresse. Devenant un amateur avertit, j'appris a me délecter de ses différentes saveurs, du léger goût salé au sucré d'après les petits déjeuners du dimanche...
Humidement Vôtre...
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