Bonjour à tous ! Je me lance alors dans le récit de ma première fois avec un homme, bien plus âgé que moi.
En vérifiant dans mon historique, je viens de m’apercevoir que je n’avais pas 20 ans au moment des fait, mais 18 ans tout juste. La différence n’est pas énorme, mais à cet âge là elle prend plus de sens, et je me devait de vous le préciser… maintenant que c’est fait, place au cul !
Je traîne régulièrement sur ce site d’annonce en ligne, dont je tairais le nom. À la base prévu pour la seconde main je suppose, une catégorie « rencontre » est apparue… La seconde main ne m’intéresse pas trop, c’est la catégorie « rencontre » que je scrute tout les soirs, en me caressant dans mon lit.
Mais pas la catégorie « rencontre hetero », je me caresse tout les soirs sur la catégorie « rencontre gay » ! Pourquoi ? Je n’en ai aucune idée, j’ai pourtant déjà fait mon premier baiser, à la fin d’une sortie cinéma, avec cette fille que je trouve super mignonne (hélas, ça n’a rien donné par la suite), je suis friand de porno hetero, dans la rue, je regarde (discrètement) les femmes, pas les hommes; je suis hetero.
Alors pourquoi je m’intéresse à cette catégorie « rencontre gay » ? Je n’apporterais pas de réponse, car je n’ai moi même pas cette réponse, malgré mon train de vie hétéro, je me suis découvert une passion pour cette catégorie.
Tout les soirs, je me caresse jusqu’à finir dans mon lit, sur moi, dans mon caleçon ou dans un mouchoir, en parlant à des hommes sur un site de rencontre. Je n’aurais jamais imaginé ça il y a quelques mois…
Je ne parle pas à n’importe quels hommes pourtant : les hommes de mon âge, la vingtaine, ne m’intéressent PAS DU TOUT. Je n’arrive pas du tout à être attiré par eux, contrairement aux femmes de mon âge… La trentaine ? Très peu pour moi… La quarantaine ? Beurk, trop jeune… La cinquantaine ? Miam… La soixantaine ? Oh que oui !
Je réalisais alors que ce qui me plaisait dans mes discussions, c’était la différence d’âge, et pas de quelques années, les grosses différences d’âge. À tel point que j’avais activé un filtre pour ne voir que les annonces d’hommes plus âgés que 50 ans.
Je parle donc à des cinquantenaires, plus pervers que jamais, plus vicieux, et cela m’excite, cela me fait bander, cela me fait jouir. La plupart sont trop pressé, au bout du troisième message ils me demandent de venir chez eux, pour les sucer, les avaler puis repartir. Je ne suis pas contre cette idée de mettre seulement ma bouche à disposition, mais prenons le temps, ne me demande pas de venir au bout de 15 minutes de discussion. Certain le feront, je ne le ferais pas, de plus que je vis chez mes parents, et doit emprunter la voiture pour me rendre en centre ville, je me vois mal leur demander les clefs sans explication à 23h…
Je rencontre virtuellement Frank, appelons le Frank. Pas de photo de son visage, ni de son corps, juste une description, la mention de domination, il n’habite pas très loin de chez moi, et surtout, FRANK N’EST PAS PRESSÉ. Enfin quelqu’un qui ne veux pas tout tout de suite ! Au fil des jours de discussion, Frank me parle, Frank m’explique, Frank me raconte, Frank veut me baiser, et je veux que Frank me baise.
Frank a 55 ans, il a un très beau et gros penis qu’il m’a envoyé en photo, un visage et un physique d’homme de 55 ans, qu’il m’a également envoyé en photo, il est directif et sûr de lui. Ça me plaît beaucoup, au bout d’une ou deux semaines de discussion, rendez vous est pris chez lui, en journée, en semaine.
Quelques jours passent, vient le D-day, je me prépare simplement, pas de costumes ou de cravate, on n’est pas là pour se séduire. Pantalon en jean large, tee-shirt blanc, caleçon gris, chaussures blanches. Je ne pense pas garder tout cet attirail très longtemps de toute façon
Je me gare à son adresse, en bas d’une barre d’immeuble. Je sors et commence à stresser… Est-ce une bonne idée ? Je ne le connais pas vraiment ? Il a plus de deux fois mon âge ! C’est un homme, pas une femme, je suis attiré par les femmes !
Mon corps est en pilotage automatique car pendant que je me pose ces questions, je suis déjà sur l’interphone, à sonner à son appartement. Frank répond, pas un bonjour, pas une formule de politesse :
- Monte au premier étage, sur ta gauche en sortant des escaliers, la porte au fond.
Je n’ai pas le temps de répondre qu’il a raccroché, et que la porte automatique s’ouvre. En bon soumis, je suis les ordres, premier étage, à ma gauche en sortant des escaliers, je vais au fond du couloir, je toque.
Franck m’ouvre, je rentre, et il me tend une bouteille de gel hydroalcoolique (un certain Covid bouleverse nos vies et nos déplacement en ce moment, Frank veut mon cul, mais Frank est hygiénique à ce que je vois). Je le lave les mains au gel donc, et Frank me tend une chaise, dans l’entrée… Va-t-on s’assoir dans l’entrée pour parler avant de passer aux choses sérieuses ? Ses premiers mots me font comprendre que je ne suis pas là pour parler :
- Déshabille toi complètement, garde juste ton caleçon, mets tes vêtements sur la chaise.
Visiblement, on ne va définitivement pas s’asseoir pour parler. Je m’exécute, et me retrouve pour la première fois exposé devant un inconnu. Frank me caresse au dessus du caleçon en s’attardant sur mon penis et mes fesses. Il m’ordonne de le suivre dans le salon
Le salon, étroit et long, une baie vitrée au fond, un tapis de yoga au milieu (Frank n’a pas la carrure à faire du yoga, pourquoi y a t il un tapis de yoga au sol ?), un canapé d’angle, un fauteuil rouge, une table ronde. Et sur cette table ronde, lubrifiant, fouet, badine, corde, plug, bâillon, cagoule… Frank avait bien préparé ma venue
- Enlève ton caleçon
Je suis nu au milieu de la pièce, face à lui. Il continue de me caresser, je ne peux cacher mon érection… il fait alors sortir mon gland et touche celui-ci. J’ai toujours eu un gland sensible, encore aujourd’hui, et Frank s’en rend compte par mes petits cris. Après quelques minutes de torture, il prend sa badine :
- Face à la baie vitrée, les mains en l’air, fesses tendues !
- …
- Face à la baie vitrée, les mains en l’air, fesses tendues !
- On va pouvoir me voir…
- On ne te verras pas !
- …
- Bon, je ferme les volets pour cette fois, la prochaine fois ils resteront ouverts
Me voilà alors face à la baie vitrée, les fesses tendues, les mains en l’air. Frank me frappe les fesses, mais aussi les couilles, qui pendent entre mes jambes, et je réalise que je n’aurais pas dû le vexer en demandant à fermer les volets, il est beaucoup plus sadique que lorsqu’il jouait avec mon gland sensible
- Si tu dis jaune, je ralenti la cadence, si tu dis rouge, on arrête le jeu
Frank est sadique, mais il se soucie quand même de mon plaisir et souhaite respecter mes limites. Savoir cela m’excite énormément, et je me promet de lui rendre la pareille en n’utilisant pas ces mots lors de nos jeux.
Frank me fouette de sa badine, et je résiste, mais Frank frappe fort et aux bons endroits, là où ça fait mal. Si bien que je flanche, mes jambes me lâchent et je tombe à terre, sur les genoux :
- Excusez moi Monsieur, je ne voulais pas
Mon cerveau a improvisé cette phrase, elle est sortie toute seule, j’étais donc réellement soumis ?
Mon intervention a du plaire à Frank, car il m’a regardé, et m’a sourit :
- Ce n’est pas grave mon garçon, je suis allé assez fort avec ça pour aujourd’hui. Suis moi, à genoux
Voilà que je suis Franck, à genoux, il m’amène sur le tapis de yoga (c’était donc pour ça). Frank se place face à moi, prend deux pince à tétons reliés par une chaîne, et me les mets en place :
- Dégrafe mon pantalon pendant que je t’installe ça.
Je ne demande pas mon reste et sors son penis de son pantalon. Il est long, il est beau, il est rasé, il est mi-dur, il est enfin face à moi. Frank, en bon dominant, ne me demande pas mon avis, il prend ma tête d’une main, et m’enfourne son sabre au fond de la gorge. Il y rentre entièrement, en m’arrachant un petit cri étouffé. Je me met alors à sucer, du mieux que je peux, l’homme qui me domine. Son penis grossis, durcit, je dois être sur la bonne voie. Je me rend compte que je ne peux plus le mettre entièrement dans ma bouche, maintenant qu’il a atteint sa taille maximale, mais je me donne à fond pour satisfaire mon maître; le gland, la verge, les couilles, je lèche tout, je bave, j’essaie de l’enfoncer au maximum, pendant qu’il tire sur la chaîne et qu’il pousse ma tête au maximum
- Arrête toi salaud ou je vais venir !
Une insulte ? Ça me plaît, ça m’excite. Mais bon, Frank a dit que c’est fini, alors c’est fini…
- Sur le fauteuil, à genoux, le torse sur le dossier, les mains dans le dos
Vous arrivez à imaginer ? La position est difficile à décrire, disons que mon cul est bien exposé. Frank se met alors à me saucissonner, je ne pourrais pas vous décrire comment, c’est de l’art, il devait être marin dans sa jeunesse. Ce que je sais, c’est que je suis bloqué dans cette position, quand je sens un liquide froid sur mon anus. Il vient de me finir dessus ?!
- Je te lubrifie l’anus, je vais insérer un plug pour te dilater
- Oui Monsieur.
Ceci répond à ma question. La sensation n’est pas désagréable, et m’imaginer dans cette position est très excitant. Je vois Frank reprendre sa badine. Pendant cinq à dix minutes, il va me labourer les fesses de son bâton, tendis qu’il me fais sucer son membre, la tête sur le côté. La position n’est pas agréable, mais elle plaît à Frank…
Tout d’un coup, plus rien. Plus de fouet, plus de bite… je ne le vois pas, mais je sens qu’il retire le plug :
- Pousse très légèrement, comme aux toilettes, cela détend ton anus
En effet, en poussant très très légèrement, il arrive à retirer le plug. Frank ne perd pas de temps, il a déjà mis sa capote, présente son gros gland à l’entrée de mon intimité. C’est à ce moment là que je réalise la taille de son pénis, très large. Il pousse doucement, je pousse également pour l’accueillir, et son penis se fraie un chemin. Il ne rentre pas entièrement, mais j’ai bien un penis d’homme en moi !
Frank fais des petits allez retour en moi, pour me dilater. Il me donne la fessé, et je commence à me laisser aller, à crier de plaisir, j’adore définitivement la sodomie.
Il sort de mon cul d’un coup, et s’éloigne… Pourquoi ? Je prenais mon pied ! J’essaie de le chercher du regard, restreint comme je suis, et je le vois revenir avec un bâillon :
- Tu fais trop de bruit salope, j’ai des voisins ! Ouvre la bouche
Frank m’installe le bâillon, se repositionne derrière moi, rentre quelques doigts pour rouvrir le passage, et se réinsère enfin en moi. Cette fois ci, ce n’est plus la même histoire. Frank me pilonne littéralement, fort, profondément, tout en me lubrifiant petit à petit. Je comprend le bâillon, car je me met à crier très fort sous ces assauts répétés… je n’ai pas la notion du temps mais cela dure bien une dizaine de minutes, je suis à sa merci, je suis à lui, il m’insulte, me fouette, sors de mon cul, y rentre encore plus fort, m’utilise à sa guise, comme un objet de plaisir
Vient un moment où Frank sort de mon cul, enlève son préservatif, vient me la mettre au fond de la gorge, tout en me doigtant doucement, pendant que mon anus se referme. Cinq minutes plus tard, il se placera derrière moi, utilisera mes fesses pour se masturber, et éjaculera sur mon anus, toujours un peu dilater, pendant qu’il enfoncera ses gros doigts en mon sein.
- Je vais te détacher, tu as une douche ici, tu peux te doucher, te rhabiller, et partir, tu as été un bon soumis, merci à toi.
Il ne m’en fallait pas plus, je ne souhaitais pas m’éterniser ici, je ne souhaitais pas faire connaissance ou boire le thé, je me douche alors, rentre chez moi, et je me fini à la main, en caressant mon anus encore chaud et coulant de la semence d’un homme de 55 ans…
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