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fany, tu sembles bien généreuse.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Oui, un de mes oncles, on baisait souvent ensemble. Il venait le dimanche à la maison et comme je faisais souvent le service, il me prenait par la taille et me tapotait les fesses devant tout le monde.

Je rougissais et me frottait à mon oncle. Ma mère me remettait à l'ordre en me disant de m'asseoir. A la fin du repas, elle me disait d'emmener mon oncle dans ma chambre, pour prendre mon dessert. ça faisait rigoler tout le monde. J'emmenais alors mon oncle et on baisait, avant de rejoindre la famille pour le reste de la journée. A la mort de ma grand-mère, on m'a quelques temps plus tard incité à le consoler.

Oui, me prostituer m'a toujours semblé parfaitement naturel. C'était très drôle lorsque l'on me demandait ce que je voudrais faire plus tard. La seule réponse qui me venait c'était "pute". Je me rappelle d'un conseiller en orientation professionnelle, qui n'arrêtait pas d'insister, alors je le lui ai dit.

il m'a alors expliqué les démarches pour le faire légalement et déclarer mes revenus et il a ensuite été mon premier client régulier.

fany, tu as vite appris à te servir de ta bouche et de ta langue.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Mhm, oui, absolument! J'ai toujours préféré les bites aux glaces...

Te souviens-tu de ce jour où ta mère t'a aidé à
t'habiller pour rejoindre l'un de leurs amis?

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Une autre fois toujours avec cet ami. Ta mère
avait choisi le noir de la tête aux pieds.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Oui, je m'en souviens parfaitement. J'ai toujours eu une grande complicité avec ma mère, qui m'encourageait à développer ma féminité et ma sexualité. Je suis devenue sa salope de la famille, à disposition de tous ceux qui voulaient de moi.

Mes parents avaient ce fameux soir, invité Fred, meilleur ami de mon père et important client de l'entreprise familiale. Fred avait discuté avec mes parents et exprimé son attirance pour moi. J'avais accepté de le rencontré et on avait baisé très intensément.

Il avait exprimé le désir de me voir travestie entièrement, de manière à pouvoir sortir avec moi, m'emmener au restaurant, spectacle et à des soirées.

A l'époque, je jouais encore au basket, mais j'ai dû arrêter tout cela du jour au lendemain, pour faire de la danse et prendre des cours de maintien et de féminisation pour pouvoir être crédible dans la rue. Je suis d'abord sortie plusieurs fois avec ma mère, chez des amies à elles, dans la rue ou ailleurs, pour que je m'habitude.

Finalement, mes parents ont invité Fred à dîner et je lui ai été présentée en tant que Fany, dans ma jolie petite robe noire sexy, en talons aiguilles, avec des bas retenus par un porte-jarretelle.

Cela a marqué le début d'une longue relation et de mon coming out en tant que demoiselle.

Oui, ma mère adorait choisir mes vêtements, toujours très sexy, très suggestifs. Elle me poussait à avoir des rapports sexuels très fréquents - il ne fallait pas beaucoup m'encourager pour ça - avec les personnes de son choix.

Fred aimait que tu serves de vide-couilles à d'autre aussi.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Il appréciait que tu sois nue sous tes vêtements
pour être prête à l'emploi rapidement.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Ou même entièrement nue. Je pratiquais le naturisme. Lors des vacances où toute la famille était présente, je passais mes journées à me faire passer de la crème solaire par les différents membres de la famille, avant d'aller passer un moment au frais et à l'ombre avec l'un ou l'autre.

J'ai un souvenir bien précis lié à la nudité. Mes parents avaient un conflit de voisinage avec un homme assez irascible et procédurier, à propos d'arbres plantés trop près de la clôture. Ma mère avait deviné quelque chose à la manière dont il avait de me regarder et elle m'a dit d'aller passer l'après-midi nue sous l'un de ces arbres. Je n'étais pas très chaude, parce que c'était quand même un homme assez âgé, rondouillard, sans culture ni attrait. J'ai néanmoins obéi.

Ensuite, ma mère s'est ostensiblement absentée, me hurlant à travers le jardin qu'elle serait absente jusqu'au soir. ça n'a pas manqué, le type est venu me parler et on a flirté un moment, puis il m'a proposé de venir chez lui. J'avais à peine passé sa porte qu'il me mettait la main au cul. Il avait une très grosse queue, longue et surtout très épaisse et il était très endurant. Il me traitait avec beaucoup d'autorité et rapidement nous sommes passés à une relation de domination.

Evidemment, le conflit s'est apaisé, à tel point qu'il a fait démonter la barrière qui séparait nos jardins, de manière à ce que je puisse librement me déplacer et venir chez lui. Il est devenu pote avec ma mère, à qui il exprimait ses désirs à mon égard, qu'elle se faisait un plaisir d'exaucer.

Puisque tu pratiques le naturisme Fanny, je suppose que tu as déjà passé des vacances au camping naturiste da Cap d’Agde? Des anecdotes?

En bonne salope, tu as appris à avaler le jus de couilles
qu'on te propose sans rechigner.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Oui, dans ma famille on avait un code, si l'un des hommes présent avait envie d'une fellation, il me demandait devant tout le monde si j'avais envie d'une bonne glace à la crème comme dessert. C'était tellement humiliant et en même temps très excitant, parce qu'il y avait la connivence de ceux qui savaient et l'étonnement de ceux qui l'ignoraient et qui sentaient bien qu'il y avait un sens caché à tout cela.
Parfois, c'est moi qui entamais le jeu, par exemple au restaurant, lorsque le serveur demandait si l'on voulait un dessert, je refusais en disant que j'en prendrais un à la maison. "Fany est une grosse gourmande", disait-on. Une personne ignorante allait s'en étonner, parce que j'étais très mince et sportive.