Citation :
Un oncle a voulu te voir et tu as accepté son invitation. Tu l'aimes bien.
Mais il a su que tu avais couché avec des hommes. Il a voulu t'essayer.
Oui, j'ai été étonné de son invitation, jusqu'à présent on ne s'entendait pas très bien. Il est assez rigide, raciste, bref, c'est un beauf et il a toujours eu tendance à me parler avec rudesse.
Du coup j'en ai parlé à ma mère, en lui demandant ce que mon oncle pouvait bien me vouloir. Elle a éclaté de rire en disant que mon joli petit cul devait l'intéresser. J'ai rougi. Je ne suis pas très à l'aise avec mon homosexualité, que je découvre à peine et je n'ai aucune envie de me faire baiser par cet oncle. Je décline l'invitation.
Quelques jours plus tard, ma mère vient me parler dans ma chambre. Elle me dit qu'il y a un problème. Mon oncle est banquier et l'entreprise de mes parents désire emprunter de l'argent pour investir. Pour l'instant c'est bloqué, alors, ça serait bien si je revenais sur ma décision et j'allais voir mon oncle.
- Tu veux que je me fasse baiser par tonton pour que vous ayez un prêt?
Je suis offusqué, choqué et en colère.
- Mon chéri, enfin! Quelle différence ça fait? Une queue est une queue et tu sembles plutôt apprécier de les prendre dans ton cul! Tu fais vraiment ta mijaurée! C'est très égoïste de ta part!
Elle part furieuse de ma chambre, me laissant pantois. On ne se parle pas trop les jours suivants, mes parents m'en veulent. Finalement, le jeudi soir, au dîner, je dis à mes parents que je suis d'accord d'aller voir mon oncle. Mon père se déclare satisfait que je fasse ce qu'on attend de moi et ma mère prend le téléphone pour appeler mon oncle et lui annoncer que je me suis laissé convaincre de lui rendre visite.
Je suis convoqué le vendredi après-midi et ma mère m'y amène. Mon oncle invite ma mère à boire un café et m'ordonne d'aller prendre une douche et de me faire un lavement et que je mette les vêtements qu'il a préparé pour moi. Je rougis de honte que ma mère en soit témoin.
Je m'exécute. Lorsque je reviens, ma mère est toujours là et je rentre dans le salon, vêtu d'une nuisette rouge transparente de bas rouge et chaussé de mules à talons de huit centimètre. Je suis rouge de honte!
- Mon Dieu Fany, tu es magnifique! s'écrie ma mère.
- Oui, une jolie petite pute, dit mon oncle. Josiane, maquille-le!
Ma mère sort un nécessaire de son sac et me fait asseoir près d'elle. Je commence à être excité par la situation, comprenant bien que ma mère et mon oncle ont combiné ce scénario. Elle me maquille tranquillement et je me laisse faire.
- Tu lui apprendras à le faire et je veux qu'il ait de jolis ongles vernis. Tu lui apprendras à s'habiller pour mettre en valeur ses jambes de fille et son cul de pute, ainsi que ses jolis petits nichons.
- Avec grand plaisir, mon cher Bernard, dit ma mère, chez qui je sens une certaine excitation.
Une fois préparé et apprêté, mon oncle me fait exécuter une danse lascive devant lui. J'ai de la peine à tenir sur mes hauts talons et je vacille, mais ça lui plaît. Il baisse son pantalon et son slip et sa grosse queue se dresse. Je viens le sucer, goûlument. Il me retourne ensuite, me lubrifie, met une capote et me prend en levrette sur le tapis persan. Je prends mon pied! Mon oncle jouit dans la capote et se retire.
- Putain! Fany, tu es vraiment trop bonne, petite salope!
- Oui, mon fils on voit que tu aimes vraiment ça! Une vraie petite putain!
Je suis encore hébété, le corps secoué de spasmes de jouissance, j'ai vraiment pris mon pied!
- Bon, j'ai du boulot, dit mon oncle. Josiane, je compte sur toi pour faire de Fany une jolie demoiselle docile et sensuelle. Vous recevrez lundi la validation de votre prêt.
Nous repartons après avoir remercié oncle Bernard.
Sur le chemin du retour, ma mère s'arrête dans une boutique tenue par une amie et lui explique la situation. Je passe les deux heures suivantes à faire des essayages et je repars avec de la lingerie, des jupes, chemisiers et jolies chaussures à talons.