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Mon pénis en érection à l'âge adulte fait 6cm de longueur, pour 1.5 de diamètre. Au repos, il est presque invisible. Dès mon enfance, cela a été une cause d'humiliation à l'école, mais aussi devant les différents pédiatres. j'avais tellement honte!
Cela a commencé à changer l'année de mes 9 ans, où plusieurs personnes m'ont pris pour une fille. Rien de sexuel là-dedans, les gens se méprenaient naturellement, tant pas mon apparence physique que par mes manières et mes centres d'intérêt.
Lorsque ma mère démentait et disait que j'étais un garçon, les gens devenaient souvent méprisants et m'humiliaient, mais pas tous. Des garçons de mon âge ou un peu plus âgés, des femmes aussi me complimentaient et m'encourageaient à être doux et féminin, me disaient que cela m'allait bien.
J'ai alors commencé à mettre en valeur mes jolies jambes, mes fesses, mon visage, tout ce qui était le plus féminin en moi. Un jour, un petit chef de bande a voulu me harceler en me traitant de pédé devant ses potes. J'ai juste dit : "oui, je suis pédé, et alors?" Il m'a dit "t'es courageux, dis-donc!" Depuis, j'ai fait partie de la bande. J'avais un statut particulier. Le chef avait décrété que "On ne serre pas la main d'une tapette", donc j'étais exclue des poignées de mains viriles qu'ils échangeaient. Je devais toujours faire le service, la vaisselle, nettoyer le garage transformé en quartier général, me cantonner dans un rôle de "fille" - oui, c'était très patriarcal...
ç'est aussi dans ce groupe que j'ai fait mes premières expériences sexuelles, aussi dans un rôle de fille. Mon micropénis n'a donc jamais été érotisé ni fait l'objet d'attentions de la part des garçons, contrairement à mon cul, bien évidemment.
Je suis devenue accro à ces pénis donc le plus petit était plus gros que le mien. En quelque sorte, les faire jouir était m'approprier un sexe que je ne possédais pas. Lorsqu'un homme jouit dans ma chatte, je jouis d'une sentiment de victoire.