Citation :
Fany, sentir un homme forcer pour entrer sa queue
dans ton cul sans le préparer. Ca doit te faire jouir
cerebralement.
Ouiiii! Absolument! J'ai un très fort fantasme de viol, que je réalise avec des personnes dont je suis sûr qu'elles vont abuser de moi, sans me mettre en danger. Parfois, j'ai frisé le code, quand même, la nuit dans des endroits isolés avec des inconnus, ou lorsqu'un total inconnu est venu la nuit comme un cambrioleur. J'avais laissé la porte ouverte, tout le monde pouvait entrer chez moi comme dans un moulin.
Lorsqu'il est venu, je dormais et je me suis réveillée avec sa bite dans mon cul de salope. Bien sûr, je m'étais préparée avant, godée, lubrifiée. Ce n'est pas tellement la douleur qui m'a marquée cette fois-là, que le sentiment d'intrusion et de viol. Imaginez, vous dormez du sommeil du juste et vous vous réveillez pendant que vous vous faites enculer par un total inconnu cagoulé, qui vous tient fermement et vous pilonne sans ménagement. Impossible de se débattre, ni de résister, il n'y a qu'à subir.
Il y a la peur qu'il s'agisse d'un vrai viol, ou de finir égorgé ou étranglé à la fin, bien entendu, le sentiment d'avoir fait une grossière erreur, mais petit-à-petit, le plaisir commence à naître, ce n'est pas mal, après tout, de se sentir totalement à la merci de quelqu'un.
Je me rappelle avoir résisté un moment à ce plaisir naissant. Quelque chose me faisait horreur, je n'allais quand même pas jouir dans ces conditions! J'avais le sentiment que j'allais perdre tout respect de moi, si je prenais du plaisir. La frontière était très ténue entre un viol simulé et un vrais viol. C'était angoissant, excitant tout à la fois.
A un moment, je me suis laissée aller, j'ai commencé à gémir, me cambrer, être formidablement excitée. Il l'a senti et a accéléré la cadence, en me traitant de tous les noms, les plus injurieux, les plus méprisants aussi. C'est comme ça que j'ai joui, d'un formidable orgasme! Il a joui lui aussi, s'est retiré et est parti.
Nous nous sommes vus assez souvent, peut-être une fois par mois, pour réaliser d'autres scénarios de viol, en extérieur ou chez moi, dans une cave ou un entrepôt. Je n'ai jamais vu son visage, mais j'ai pris mon pied à chaque fois.