Citation :
Te souviens-tu de celui-ci qui t'avait enculé sechement
sans te préparer, te disant qu'une lopette devait subir
les assauts des mâles.
oui, sauf que c'était une envie de ma part, d'être traitée ainsi. Je suis capable d'élaborer des scénarios alambiqués et d'une grande complexité, afin de satisfaire certains de mes fantasmes. J'ai un très fort fantasme de viol. Adolescent, j'allais me promener entièrement nu de nuit dans la forêt derrière chez nous, dans l'espoir de rencontrer un "méchant Monsieur", car une route principale dotée d'une petite aire de repos se trouvait à deux kilomètres, de l'autre côté du bois. Oui, j'étais un peu inconsciente à l'époque...
J'ai rencontré des hommes, qui heureusement m'ont mise en garde, m'ont protégée des psychopathes - il y en a peu, mais il y en a, m'ont aidée. Un jeune homme, qui avait commencé à se prostituer au même âge que moi m'a prise sous son aile. C'était chouette de ne pas être jugée pour mes désirs sexuels. J'ai fait mes premiers pas en sécurité et il m'a expliqué la différence entre réaliser un scénario de viol sans risquer de me faire violer pour de vrai.
J'avais néanmoins toujours envie de réaliser des scénarios très réalistes. J'étais alors jeune adulte. J'ai passé une petite annonce en me faisant passer pour une femme souhaitant que son fils soit pris en main et apprenne l'obéissance. Elle cherchait donc un homme très autoritaire, à l'anciennce. Plusieurs hommes ont répondu et l'un d'eux m'a paru faire l'affaire. Il a dit à ma "mère" qu'il pouvait me donner un petit job durant les week-end, dans son entreprise. Petit-à-petit, une correspondance s'est établie et l'homme a abordé la question de la sexualité, à mots couverts. Ma "mère" virtuelle l'a remercié et a répondu qu'elle n'avais pas osé aborder le sujet, mais qu'elle souhaitait évidemment que cela fasse partie de mon apprentissage. Il a demandé comment agir si je ne voulais pas et elle a répondu qu'il faudrait sans doute m'y forcer au début.
Je me suis présenté au rendez-vous le vendredi soir, habillé de manière un peu efféminée, très légèrement maniérée. Il m'a complimenté sur ma tenue. J'ai dit que c'était ma mère qui choisissait mes vêtements et il m'a répondu qu'elle avait très bon goût, que je devais obéir à ma mère. A mesure qu'on parlait, je me sentais rassurée et en même temps, je me demandais ce qui allait se passer. On a visité les locaux, il m'a montré ce que j'aurais à faire, rangements classements, nettoyages. Il m'a laissée un moment travailler et après une heure il est venu et m'a dit de l'accompagner dans la réserve. Il a fermé la porte et m'a emmenée au fond du local, m'a fait regarder un truc et quand je me suis retournée, je me suis trouvée devant sa bite en érection! "c'est le moment de sucer!" m'a-t-il dit en me prenant par les cheveux.
J'ai joué les novices, mais j'étais très excité par sa grosse queue! Il m'a guidé et encouragé, en se montrant autoritaire, mais pas brutal, comme je l'avais craint. Au bout d'un moment, il m'a ordonné de baisser mon pantalon et mon slip et de m'appuyer contre une étagère en métal. Il n'a pas hésité, a positionné son membre et s'est enfoncé sans rien préparer ni lubrifier. Heureusement, j'avais déjà de l'expérience, mais ça a été douloureux quand même!
Il s'est retiré et a joui par terre, puis il m'a renvoyé en me disant de revenir le lendemain. Je suis allé me nettoyer un peu aux toilettes, puis je suis parti.
L'homme a fait son rapport à ma "mère", qui l'a félicité! Je me suis masturbé toute la soirée en jouissant d'avoir réalisé mon fantasme de viol. Après, je me suis sentie coupable. D'un point de vue moral, j'avais peur d'avoir encouragé cet homme à commettre d'autres viols en imaginant qu'il pourrait s'en tirer en toute impunité. Je lui en ai donc parlé à la rencontre suivante, le lendemain. il a très bien compris. Lui aussi avait été effrayé d'avoir cru commettre un vrai viol et en tirer autant de plaisir. On avait vraiment été sur la ligne rouge tous les deux!
On a eu ensuite une longue relation de type BDSM, très enrichissante pour les deux. On jouait parfois au viol. Il me prenait à l'improviste, à sec, sans préparation et je prenais mon pied, mon cul étant devenu entretemps bien dilaté. Même si maintenant je préfère être lubrifiée, je considère toujours que les mâles dans leur ensemble ont un droit de cuissage permanent sur moi et qu'il sont libre de l'exercer à leur gré.