Père - fille
5 % des filles (1,5 million de françaises) ont un contact de nature sexuelle avec leur père ou un autre ascendant en position d'autorité (oncle etc.). Cela se produit généralement au début de l'adolescence, ou avant.
90 % de ces expériences ne sont pas portées à la connaissance des autorités. Une infime partie de celles qui le sont font l'objet d'une procédure.
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Frère - soeur
5 à 10 % des filles. Des sondages réalisés sur des campus au Canada amènent à penser qu'au moins 5 % des filles ont eu une expérience de nature sexuelle avec leur frère avant l'âge de 18 ans. Cette estimation est basée d'une part sur le fait qu'un tiers (32 %) des incestes rapportés ont lieu entre frères et soeurs et d'autre part sur le fait que 16 % des filles ont eu une expérience avec une personne de leur famille. En multipliant les deux chiffres, on obtient 5 %. Mais ces deux chiffres, 32 % et 16 % sont basés sur les incestes déclarés à la police. Or, tout le monde s'accorde à dire à dire que les chiffres réels sont plus élevés.
Donc le résultat de ce raisonnement, 5 %, est à considérer comme une estimation basse.
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Entre soeurs
Pour exciter un garçon, beaucoup de soeurs s'embrassent sur la bouche. En boîte, dans un bar, devant une webcam / un smartphone (sexting) etc.
Exemple :
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Contrairement aux cas Père-fille et Frère-soeur, les expériences entre soeurs ont lieu à la fin de l'adolescence et à l'entrée dans l'âge adulte. N'étant pas considérées comme un abus sexuel (l'âge de consentement est de 15 ou 16 ans), ces expériences n'ont fait l'objet d'aucune enquête. Tout ce qui suit est pure spéculation de ma part. Mais d'après mon expérience je dirais que parmi les filles qui ont une soeur de leur âge, au moins un quart se sont embrassées pour exciter un garçon. Soit dans des soirées, soit en privé. Les garçons le demandent sans cesse. Deux soeurs, c'est visiblement un grand fantasme pour eux. Pour les filles, c'est tentant parce que la société donne en quelque sorte l'autorisation de le faire. Des tas de célébrités donnent l'exemple.
Sofia Loren et sa soeur Anna Maria,
Ashley et Mary Kate Olsen,
Penelope Cruz et sa soeur Monica,
AnnaLyne McCord et sa soeur Angel,
Lana Del Rey et sa soeur Caroline (alias Chuck),
Karissa et Kristina Shannon,
Jasmine et Natasha King (du groupe Blonde Electra) etc. On se doute bien que toutes ces célébrités l'ont fait pour plaire à un amant. On se dit "Si elles le font, alors je peux le faire." On se dit aussi qu'elles ont sans doute été bien plus loin en privé. L'heureux amant a forcément insisté pour voir la suite du show. Autres incitations sociales, la presse de charme (
METart-sisters,
Playboy), les vidéos pornos (
Jade & Taylor), les romans érotiques, les publicités (
Beauty Bazaar,
Samsung), le hentai (
yuri), les sites de streaming (
redtube) etc..
Les baisers sont une pente savonneuse. Une fois la ligne franchie, les réticences naturelles s'estompent. Faire un peu plus parait amusant. Toujours d'après mon expérience, le jeu s'arrête quand notre chéri cesse de s'y intéresser. Tant qu'il est demandeur, on va de plus en plus loin. Difficile de résister à ses encouragements rauques. Sur ce chemin, chaque pas rend plus facile le pas suivant. Un soir, dans le feu de l'action, on se laisse aller et on va jusqu'au bout. Après, on rit parce que ça semble un peu bizarre d'avoir atteint le plaisir de cette façon. Il faut voir ça d'un point de vue féminin : parce qu'on le fait avec sa soeur, ça ne parait jamais tout à fait réel. C'est et ça reste un fantasme exhibitionniste, un jeu pour plaire à un garçon. Il n'y a rien de plus.
5 à 10 % des filles
Parmi les filles qui ont échangé des baisers avec leur soeur (10 à 20 % selon mon estimation), je dirais qu'une bonne moitié prennent goût à cette façon de capter l'attention masculine et récidivent régulièrement. Dans cette moitié, je pense que la plupart - si ce n'est toutes - subissent l'effet "pente savonneuse" cité plus haut et finissent par coucher avec leur soeur pendant une brève période (qq jours ou semaines..). Plus tard, on range ça dans le tiroir 'Expériences étranges' et on l'oublie. Au bout de quelques années, quelque chose chose nous remémore cette période et on a du mal à croire qu'on avait été jusque là. C'est d'ailleurs une impression qu'on a un peu dans tous les domaines - études, hobbies, fréquentations - quand on repense à nos actions dix ans plus tôt. On se dit souvent "J'ai vraiment fait ça ?"