En ce qui me concerne, l’expérience « intellectuelle » dans ce milieu était surtout due au goût de l’interdit, et au plaisir de se moquer des bigôts:
Comme je l’ai raconté, après ma première expérience homosexuelle au collège, lorsque mon premier copain a déménagé à l’autre bout du pays, j’étais complètement dépité car mon collège était un ramassis de bourgeois cathos aussi hautains qu’hypocrites.
Cela étant dit, on était au tout début des années 2000 et donc d’internet. C’est d’ailleurs à cette époque que j’ai découvert Vassilia.
Bref, je trainais sur des petites annonces gays, mais ce que je recherchais était assez spécifique: un garçon qui habiterait dans l’une des villes à côté de la mienne, pour que je puisse y aller à pieds ou en transports, mais pas dans ma ville pour être sûr qu’il ne me connaîtrait pas déjà ni n’aurait aucun rapport avec mon collège…bref, la galère.
Et puis je tombe sur un gars qui habite la ville juste à côté, la trentaine, et assure de rechercher une relation « très discrète », genre « on se voit en secret une fois par semaine ». Exactement ce que je recherche. Et puis la différence d’âge m’excite: lui a la trentaine et moi…ben je ne préciserai pas ici, on risquerait d’atteindre les limites de la charte du forum.
Bref, le gars me donne rdv dans un très grand parc qui se trouve pile à la limite entre nos deux villes. J’y vais, je tombe sur une caricature de Boy’s Band: Pierre, 32 ans, 1m85, un physique sculpté au scalpel, tablettes d’abdos, etc, etc…la totale.
On discute, on aborde tous les sujets qui peuvent poser problème, la discrétion, la différence d’âge, etc, et à chaque fois on tombe d’accord…et quand je lui demande si il habite dans un coin un peu discret pour qu’on puisse baiser le week-end sans se faire capter, il m'avoue qu’il est prêtre, donc que je peux venir au presbytère quand je veux, que c’est très facile de me faire passer pour un catéchumène, un jeune étudiant la bible ou n’importe quoi d’autre…il m’explique qu’ils sont deux prêtres dans la paroisse: lui et le Curé (son patron quoi), qu’ils sont tous les deux homos et qu’ils se cherchent un gentil petit soumis pour se vider les couilles le dimanche après la Grand Messe. Il m’explique qu’il a découvert son homosexualité juste avant son ordination, et que depuis sa foi a totalement vrillé; qu’il a eu la chance de tomber sur un Curé qui a les mêmes idées que lui, qu’ils prennent désormais leur « vocation » pour un travail comme un autre, une sorte de carrière de travailleurs sociaux, qui ont pour fonction d’accompagner les gens dans la vie, de créer du lien social, mais que clairement pour eux, l’enfer et le Paradis c’est de la flûte, et que donc ils ont décidé de vivre leur sexualité discrètement mais sans aucun tabou. Il m’explique enfin qu’au début bien sûr lui et son Curé jouaient les couples parfait, mais que quand on vit et travaille 7j/7, 24h/24 avec quelqu’un, sans week-end, sans vacances, on finit par avoir besoin de nouveauté, et qu’ils se sont ainsi mis d’accord pour « recruter » un petit cul pour leur vider les couilles en toute discrétion mais sans aucun tabou.
Le mec est vraiment beau et j’ai carrément envie de me le faire et puis cette situation m’excite au plus haut point. Rdv est donc fixé le lendemain vers 14h: « quand on aura fini la Grand Messe de 11h, tout rangé et déjeuné: on a l’après-midi tranquille jusqu’à la messe de 18h30. »
J’arrive donc à 14h au Presbytère: Pierre m’ouvre, je rentre, c’est comme un grand pavillon avec des salles de réunions qu’ils utilisent pour les cours de catéchisme, une ancienne salle de classe transformée pour faire répéter la chorale, une cuisine, une grande salle à manger, et à l’étage, les appartements des deux prêtres reliés entre eux par un atrium, sorte de salon de détente meublés de différents faiteuils et sofas, et de bibliothèques qui regorgent de livres et autres revues catholiques: « Prions en l’Église », « Famille chrétienne », « Pèlerin magazine », etc…
« Viens me dis Pierre, on va dans l’appart’ du Père Martin, que tu fasses sa connaissance… »
J’ai grave le trac, je ne sais pas dans quoi je m’embarque, mais en même temps je suis terriblement excité…
On entre, c’est un trois pièces très spacieux et en même temps assez vide: il y a un grand salon/salle à manger avec une cuisine à l’américaine, un bureau et une chambre.
Le père Martin, un homme de taille moyenne, la cinquantaine, assez athlétique, physique beaucoup plus commun que Pierre mais tout à fait acceptable m’accueille: « Salut Julien! Soit le bienvenu! Tu veux boire quelque chose? J’accepte volontiers un Coca bien frais. On se pose sur le canapé, les deux prêtres de chaque côté de moi. J’ai un peu l’impression d’être pris au piège, mais tant pis. Le Père Martin commence direct, dans le vif du sujet: « alors comme ça, tu préfères les garçons? »
J’acquiesce, je lui raconte mon histoire: Fabien, mon meilleur pote, les cours d’Anglais chiants, nos discussions, nos blagues à propos de la branlette, ma main qui le caresse, sa bite toute dure et chaude, les toilettes du collège, sa chambre à coucher, etc, etc…
Pendant que j’attaquais les détails les plus salaces, le grand Pierre s'était rapproché de moi et caressait ma joue tout en me fixant, tandis que le Père Martin m’écoutait très consciencieusement, sirotant son Coca.
Lorsque j’eu finis, le Père Martin posa son Coca sur la table basse, et m’interrogea calmement: « hé bien voila une belle histoire…et dis-moi maintenant, qu’est-ce que cela te fait de penser que tu vas ressortir d’ici en ayant été enculé par deux hommes? »
Moi: « oh, c’est bien pour cela que je suis venu vous savez… » dis-je en souriant.
À cette réponse, Pierre m’embrassa fougueusement tout en caressant ma poitrine. Alors que nous échangions ce baiser, le Père Martin releva sa soutane: il ne portait en dessous qu’une grande culotte de femme en dentelle blanche et des Dim-Up noirs assortis. Il en sortit une queue d’une taille moyenne et commença à se branler.
Pierre me fit lever, descendit mon pantalon et mon slip, puis me fit mettre à quatre pattes dur le canapé, la tête vers l’entrejambe du Père Martin pour le sucer, ce que je fis sans me faire prier.
De son côté, Pierre me doigtait le cul tout en sortant la bouteille de lubrifiant. Il s’encapota, et alors que je suçais le Père Martin, me faisant la réflexion que je n’avais pas vu la bite de Pierre, je sentis une énorme pression contre mon œillet: Pierre avait un sexe énorme!!!
Je le sentait m’envahir grâce au lubrifiant, mais n’ayant connu auparavant que la bite de Fabien, j’étais paniqué!!! Il m'ouvrait le cul comme un coin fend une bûche! Je m’étouffais un peu sur la bite du vieux prêtre tandis que l’autre commençait à me labourer, et je pèse mes mots! J’avais l’impression de connaître un nouveau dépucelage!
Il me bourriqua ainsi pendant une quinzaine de minutes avant de jouir dans la capote…une éjaculation que j’ai senti passer! Au moins 5 jets longs et épais dans la capote! La perspective de bientôt faire sans et ainsi être rempli de tout ce foutre m’excitait encore plus!
Puis le Père Martin vint à son tour me baiser, tandis que je tétais le gland de Pierre encore tout chaud et plein de sperme.
Le Père Martin me bourriqua énergiquement 5 minutes, mais mon cul avait pris tellement cher juste avant que je ne sentis pas grand chose. Avant que je parte, ils voulurent vérifier que j’étais un bon soumis, alors ils me demandèrent de me mettre à genoux, de fermer les yeux et d’ouvrir la bouche: « le corps du Christ! » dirent-ils en rigolant, tout en me fourrant les deux capotes usagées, encore ouvertes, dans la bouche: « tu mâches biens, tu avales bien nos foutres, et quand ça n’a plus de goût, comme un chewing-gum, tu les jettes dans une poubelle publique.
J’obéis. Je faisais tourner ces capotes gluantes de sperme dans ma bouche avec ma langue, tout en marchant dans la rue comme si de rien n’était, le cul encore endoloris. Passant par le parc dans lequel j’avais rencontré Pierre pour rentrer chez moi, je crachais discrètement les deux capotes bien rincées dans une poubelle.
Par la suite, je leur ai servi de vide-couilles chaque dimanche: on a rapidement fait des tests dans un centre discret à Paris pour pouvoir baiser sans capotes: j’ai été enculé plus qu’à mon tour: au presbytère, dans chaque pièce d’ailleurs et même jusqu’à la cave, mais aussi dans l’Église: d’abord dans la sacristie, dans le confessionnal, dans le clocher, et même, un soir d’été où tout le monde était en vacances, directement sur l’autel, en missionnaire! (Ils avaient tout de même fermé tout à clefs pendant 1h au cas où…). Au bout d’un moment, ils ont même mis en place un jeu très pervers: ils m’ont « formé » à servir la Messe! Évidemment, perversité oblige, j’avais des tenues carrément pas catholiques sous mon aube: nu, le plus souvent, mais aussi avec de la lingerie féminine, etc.
Je crois que la période la plus perverse, ç’était quand ils me prenaient avant la Messe: j’avais le goût du sperme du Père Martin dans la bouche, le sperme de Pierre dans le cul, un plug anal pour tout retenir, une paire de bas, et juste une paire de chaussettes et des chaussures de villes piur que personne ne remarque rien. Et je servais la Messe comme ça, sans rien dire, ne pouvant m’empêcher de penser: « si les paroissiens savaient! »
Le pire, c’était les vieilles paroissiennes qui me faisaient des remarques gentilles: « c’est bien que des jeunes servent la Messe comme ça, on n’en trouve plus des comme vous! Félicitations jeune homme! »
Et moi dans ma tête: « Bernadette, si tu savais ce que je me prends dans le cul…mdr »
Je crois que mes amants retiraient eux aussi beaucoup de plaisir à prendre leurs paroissiens pour des cons…en tout cas on s’est beaucoup amusés…jusqu’à ce que j’aille à la fac bien sûr…vous savez comment c’est, on se dit que rien ne va changer, mais on découvre tout un nouvel univers lorsque l’on arrive en fac, alors…on a fini par se perdre de vue…j’espère qu’ils ont trouvé un autre petit soumis pour se faire plaisir…
Pardon Fanny de pirater ton trread avec un post aussi long, mais je ne savais pas où raconter ça à part ici…