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MessagePosté : dim. 24 sept. 2017, 15:28 
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Enregistré le : jeu. 08 sept. 2016, 18:59
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro Bi Episodique
Pour ce qui est de ma première fois en réel, avec une vraie verge, il faut dire que j'y suis venus sur le tard...
J'en étais arrivé à la courgette, quand l'envie de goutter à un chibre s'est imposée à moi...
Je suis passé par un site gay et Bi pour proposer mon petit trou à dépuceler à un Bisexuel de préférence...
Je ne voulais pas de papouilles et de romance, juste me faire prendre par un gode de chair pour voir la différence...
Le premier gars qui s'est proposé de me le faire comprenait ma démarche mais était trop fortement monté, 24 cm et 4,5 de large...
Malgré mon envie et un bon préliminaire, je restais contracté, sans doute par peur de me faire déchirer le sphincter...
Nous nous sommes finit avec la bouche et les doigts, je l'ai sucé pour m'excuser de rester hermétique à son gros truc...
Il m'a fait de même et nous nous sommes revus 2 fois pour réessayer mais impossible de me détendre, alors on se suçaient...
Le deuxième gars par contre , était monté moyennement et, était très excité par ma démarche et ma virginité hétéro...
C'est rentré comme dans du beurre(avec vaseline), je n'ai pas eu mal, il m'a limé de face pour voir mon visage pendant l'enculade et m'a juté dedans...
J'avais trouvé le gode de chaire qui me convenait et nous nous sommes revus pour remettre le couvert, en variant la position d'accueil rectal à chaque fois, Levrette, Amazone, Missionnaire, Cuillère...
Comme je refusait câlins et papouilles amoureuses gay, je n'étais qu'un trou à fourrer pour lui, il était Bi marié...
Actif mais aussi passif, il adorait la pipe doigtée (le 70) et a finit par m'offrir son œillet à prendre en m'avouant que la taille de ma verge lui avait fait peur au début, il a un peu gémit à l'introduction mais a prit son plaisir...
Nous nous sommes vus jusqu'à la fin de mon stage pour nous faire le cul chacun son tours...

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MessagePosté : jeu. 28 sept. 2017, 17:14 
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Enregistré le : sam. 28 mai 2011, 14:41
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Sexe et orientation sexuelle : Homme et Bi
Localisation : Paris
Tu résumes parfaitement des situations dans lesquelles je me suis aussi retrouvé.
Pour ma part ceux ne sont pas les grosses queues qui me plaisent même si j'arrive à bien les faire pénétrer, étant assez large avec l'expérience.
En fait j'aime bien les longues pas trop épaisses et dures, bref avec des dimensions "normales" et j'avoue que lorsque j'ai la chance de rencontrer un partenaire qui répond à ces critères, j'ai tendance à "remettre le couvert"....et à être assez fidèle.
J'ai eu quelques amants qui répondaient à ces critères (des hommes bi en général) et j'en ai vraiment profité.

_________________
Le plus grand crime peut-être de la société, c’est d’avoir rendu l’amour honteux.

Albert Samain


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MessagePosté : ven. 29 sept. 2017, 09:23 
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Enregistré le : mer. 02 nov. 2016, 13:36
Messages : 846
Sexe et orientation sexuelle : mâle bisexuel
Citation :
Pour ma part ceux ne sont pas les grosses queues qui me plaisent même si j'arrive à bien les faire pénétrer, étant assez large avec l'expérience.
En fait j'aime bien les longues pas trop épaisses et dures, bref avec des dimensions "normales"
J'ai eu quelques amants qui répondaient à ces critères (des hommes bi en général) et j'en ai vraiment profité.
Quel luxe de pouvoir choisir ces amants en fonction de leur anatomie sexuelle , en ce qui me concerne je ne peux pas me permettre de sélectionner un type de queue bien précis si je veux me faire sodomiser même quand j'étais plus jeune parce que déjà les actifs sont bien plus rares que les passifs que ce soit dans le milieu gay ou bi , mon critère de refus est le manque d'hygiène .

_________________
Une fois, j'ai fait l'amour pendant une heure cinq. C'était le jour du changement d'heure.

Citations de Garry Shandling


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MessagePosté : ven. 29 sept. 2017, 12:09 
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Enregistré le : sam. 28 mai 2011, 14:41
Messages : 1483
Sexe et orientation sexuelle : Homme et Bi
Localisation : Paris
Citation :
Citation :
Pour ma part ceux ne sont pas les grosses queues qui me plaisent même si j'arrive à bien les faire pénétrer, étant assez large avec l'expérience.
En fait j'aime bien les longues pas trop épaisses et dures, bref avec des dimensions "normales"
J'ai eu quelques amants qui répondaient à ces critères (des hommes bi en général) et j'en ai vraiment profité.
Quel luxe de pouvoir choisir ces amants en fonction de leur anatomie sexuelle , en ce qui me concerne je ne peux pas me permettre de sélectionner un type de queue bien précis si je veux me faire sodomiser même quand j'étais plus jeune parce que déjà les actifs sont bien plus rares que les passifs que ce soit dans le milieu gay ou bi , mon critère de refus est le manque d'hygiène .

Je ne parlais pas de sélection mais de préférences. :D . Après et sur le reste je partage ton avis et tes constatations.
Fréquentant selon mes envies épisodiques des sites de rencontres gay, la grande majorité des "candidats" est passive ...hélas !!!!
Du coup lorsque j'en trouve un actif et qui en plus répond à mes critères préférentiels, je ne lâche pas le morceau (si je peux me permettre cette expression :D )
Dans le cadre de mes critères, un de mes meilleurs souvenirs reste une Trans d'origine turque avec laquelle j'ai entretenu des relations régulières pendant près de 2 ans
et qui m'a fait monté régulièrement au ciel !!!!

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Albert Samain


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MessagePosté : mar. 10 oct. 2017, 15:33 
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Enregistré le : jeu. 08 sept. 2016, 18:59
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro Bi Episodique
Autant j'ai du plaisir à voir sur le visage d'une partenaire ou parfois d'un, sa réaction à la vue de ma verge, (Photo ci-dessous), sachant que je vais La ou Le sodomiser, que pour mon orifice, j'en préfère une plus fine...
Fichier(s) joint(s) :
Décal 7.JPG


Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.

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MessagePosté : mar. 10 oct. 2017, 18:11 
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Enregistré le : mer. 02 nov. 2016, 13:36
Messages : 846
Sexe et orientation sexuelle : mâle bisexuel
La tienne conviendrait parfaitement pour mon orifice :ctop:

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Citations de Garry Shandling


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MessagePosté : mer. 11 oct. 2017, 18:10 
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Enregistré le : jeu. 08 sept. 2016, 18:59
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro Bi Episodique
Et bien alors, je vais me l'imaginer d'une main...

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MessagePosté : mer. 25 juil. 2018, 08:20 
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Enregistré le : lun. 06 déc. 2010, 00:45
Messages : 16103
Sexe et orientation sexuelle : Hétéro
Localisation : Les Yvelines
Pour ceux qui auraient des appréhensions ou qui se demanderaient comment faire. :D
Citation :
Le guide pratique de la sodomie (pour elle ou pour lui;)

Oui les chéris, s’il est une pratique qui exige une approche respectueuse et complice, c’est bien la sodomie. Voici un petit how to à destination de ceux qui souhaiteraient s’y adonner avec elle (et inversement).

Le guide pratique de la sodomie (pour elle ou pour lui;)

Oui les chéris, s’il est une pratique qui exige une approche respectueuse et complice, c’est bien la sodomie. Voici un petit how to à destination de ceux qui souhaiteraient s’y adonner avec elle (et inversement).

Le livre Les Argonautes, de la poétesse et essayiste américaine Maggie Nelson, commence par une magnifique scène de sodomie. « Les mots “je t’aime” me viennent comme une incantation la première fois que tu m’encules, ma face écrasée contre le sol en ciment de ton appart humide et charmant. » Puis : « Tu as demandé : pour que tu prennes du plaisir, ça marche comment ? » Une excellente question qui concerne beaucoup de monde. Selon les derniers chiffres de l’Ifop (mai 2014), 51 % des hommes et 38 % des femmes déclaraient avoir déjà pratiqué le sexe anal.
Et pourtant, confie Virginie (tous les prénoms ont été modifiés, ndlr), « souvent, ça pourrait être mieux ». Dans le mot « mieux », la trentenaire embrasse beaucoup de choses ; plus de subtilité, plus d’attention et plus prosaïquement : moins de douleur.
Fondatrice du site Sexy soucis, « le gougle du cul », Diane Saint-Réquier répond aux questions des internautes sur la sexualité. Elle se met à écrire en majuscules quand on lui demande, par mail, si une sodomie fait toujours mal : « UNE SODOMIE BIEN FAITE, ÇA NE DOIT PAS FAIRE MAL. » Au contraire, tout le monde peut y prendre plaisir, ajoute-t-elle, cette fois-ci en minuscules. Hommes comme femmes. Car la voie arrière permet aussi bien de stimuler le clitoris que la prostate.
Se cache donc là un chemin vers des paradis méconnus. « J’ai beaucoup plus un plaisir de pénétration par le cul que par le vagin ! » s’exclame ainsi Virginie avant d’ajouter : « Ça me donne une suée de ouf, un frisson dans l’estomac : ça me fait vriller ! » À condition de bien s’y prendre. Voici les cinq règles d’or.

1. Discuter, teaser, rassurer
Diane Saint-Réquier insiste sur la communication nécessaire autour de l’événement : « La sodomie, contrairement à ce qu’on peut penser, ça se passe essentiellement dans la tête, pour la personne qui est pénétrée ; plus elle se sentira excitée et en sécurité, plus ses sphincters – les muscles qui enserrent l’anus et le rectum et les maintiennent fermés – pourront s’ouvrir. »

2. Ne pas avoir peur de la couleur chocolat
Daria, qui pratique la sodomie depuis plus de sept ans maintenant (elle en a 34), ose ces mots francs : « Faut pas avoir peur de voir de la merde, parce que ça arrive. » Problème : c’est bien cette peur qui crispe parfois. Diane Saint-Réquier suggère : « La personne qui va être pénétrée peut procéder à un lavement avant, mais ça n’est ni une obligation ni une nécessité ; ça peut juste aider à lâcher prise. » Elle précise qu’il vaut mieux éviter de le faire trop souvent et surtout « n’importe comment », et rappelle qu’il existe un petit guide génial (en anglais) pour expliquer le b.a.-ba du lavage rectal : How to Clean Your Ass Before Anal Sex.

3. Lubrifier, lubrifier et encore lubrifier
La sodomie ne tolère aucune radinerie et certainement pas en ce qui concerne le lubrifiant. Pour faciliter l’entrée, on peut aussi lécher l’orifice (on appelle ça le rimming, la feuille de rose ou tout simplement... l’anulingus) ou cracher dessus, rappelle Diane Saint-Réquier. Le tout étant de rester « toujours attentif aux réactions de la personne qu’on pénètre, en n’hésitant pas à lui demander si ça va, si on ne lui fait pas mal, si ça lui plaît, si on doit aller plus ou moins loin, plus ou moins fort, plus ou moins vite... »

4. Préparer son entrée et savoir attendre
Quand Daria fait le bilan de sa vie de sodomite pénétrée, elle dit : « Neuf fois sur dix, c’est bien ; et quand c’est pas génial, c’est parce que le gars est trop pressé, ne passe pas assez de temps à me dilater. Genre il met un doigt et bim, la teub. » Il lui est arrivé de tout arrêter. Elle insiste donc : « Il faut vraiment prendre le temps de passer par différentes étapes : un doigt, puis deux, puis trois… et quand la personne qui ­partage ce moment avec vous sent qu’elle est prête, c’est parti. Mais c’est à elle de décider, et pas au pénétrant sous prétexte qu’il est trop excité ! »

5. Convenir d’un safe word
Choisir un mot-clé pour tout arrêter permet de parler sereinement de ses peurs avant la pénétration, mais aussi de tout stopper si quelque chose ne va pas. Cela peut même rendre un moment qui devenait désagréable... plutôt amusant. Vous y penserez quand, au lit, votre partenaire lâchera subitement un vibrant « ANANAS » !

Le livre Les Argonautes, de la poétesse et essayiste américaine Maggie Nelson, commence par une magnifique scène de sodomie. « Les mots “je t’aime” me viennent comme une incantation la première fois que tu m’encules, ma face écrasée contre le sol en ciment de ton appart humide et charmant. » Puis : « Tu as demandé : pour que tu prennes du plaisir, ça marche comment ? » Une excellente question qui concerne beaucoup de monde. Selon les derniers chiffres de l’Ifop (mai 2014), 51 % des hommes et 38 % des femmes déclaraient avoir déjà pratiqué le sexe anal.
Et pourtant, confie Virginie (tous les prénoms ont été modifiés, ndlr), « souvent, ça pourrait être mieux ». Dans le mot « mieux », la trentenaire embrasse beaucoup de choses ; plus de subtilité, plus d’attention et plus prosaïquement : moins de douleur.
Fondatrice du site Sexy soucis, « le gougle du cul », Diane Saint-Réquier répond aux questions des internautes sur la sexualité. Elle se met à écrire en majuscules quand on lui demande, par mail, si une sodomie fait toujours mal : « UNE SODOMIE BIEN FAITE, ÇA NE DOIT PAS FAIRE MAL. » Au contraire, tout le monde peut y prendre plaisir, ajoute-t-elle, cette fois-ci en minuscules. Hommes comme femmes. Car la voie arrière permet aussi bien de stimuler le clitoris que la prostate.
Se cache donc là un chemin vers des paradis méconnus. « J’ai beaucoup plus un plaisir de pénétration par le cul que par le vagin ! » s’exclame ainsi Virginie avant d’ajouter : « Ça me donne une suée de ouf, un frisson dans l’estomac : ça me fait vriller ! » À condition de bien s’y prendre. Voici les cinq règles d’or.

1. Discuter, teaser, rassurer
Diane Saint-Réquier insiste sur la communication nécessaire autour de l’événement : « La sodomie, contrairement à ce qu’on peut penser, ça se passe essentiellement dans la tête, pour la personne qui est pénétrée ; plus elle se sentira excitée et en sécurité, plus ses sphincters – les muscles qui enserrent l’anus et le rectum et les maintiennent fermés – pourront s’ouvrir. »

2. Ne pas avoir peur de la couleur chocolat
Daria, qui pratique la sodomie depuis plus de sept ans maintenant (elle en a 34), ose ces mots francs : « Faut pas avoir peur de voir de la merde, parce que ça arrive. » Problème : c’est bien cette peur qui crispe parfois. Diane Saint-Réquier suggère : « La personne qui va être pénétrée peut procéder à un lavement avant, mais ça n’est ni une obligation ni une nécessité ; ça peut juste aider à lâcher prise. » Elle précise qu’il vaut mieux éviter de le faire trop souvent et surtout « n’importe comment », et rappelle qu’il existe un petit guide génial (en anglais) pour expliquer le b.a.-ba du lavage rectal : How to Clean Your Ass Before Anal Sex.

3. Lubrifier, lubrifier et encore lubrifier
La sodomie ne tolère aucune radinerie et certainement pas en ce qui concerne le lubrifiant. Pour faciliter l’entrée, on peut aussi lécher l’orifice (on appelle ça le rimming, la feuille de rose ou tout simplement... l’anulingus) ou cracher dessus, rappelle Diane Saint-Réquier. Le tout étant de rester « toujours attentif aux réactions de la personne qu’on pénètre, en n’hésitant pas à lui demander si ça va, si on ne lui fait pas mal, si ça lui plaît, si on doit aller plus ou moins loin, plus ou moins fort, plus ou moins vite... »

4. Préparer son entrée et savoir attendre
Quand Daria fait le bilan de sa vie de sodomite pénétrée, elle dit : « Neuf fois sur dix, c’est bien ; et quand c’est pas génial, c’est parce que le gars est trop pressé, ne passe pas assez de temps à me dilater. Genre il met un doigt et bim, la teub. » Il lui est arrivé de tout arrêter. Elle insiste donc : « Il faut vraiment prendre le temps de passer par différentes étapes : un doigt, puis deux, puis trois… et quand la personne qui ­partage ce moment avec vous sent qu’elle est prête, c’est parti. Mais c’est à elle de décider, et pas au pénétrant sous prétexte qu’il est trop excité ! »

5. Convenir d’un safe word
Choisir un mot-clé pour tout arrêter permet de parler sereinement de ses peurs avant la pénétration, mais aussi de tout stopper si quelque chose ne va pas. Cela peut même rendre un moment qui devenait désagréable... plutôt amusant. Vous y penserez quand, au lit, votre partenaire lâchera subitement un vibrant « ANANAS » !
https://www.gqmagazine.fr/sexe/action/a ... -lui/66257

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".


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MessagePosté : ven. 19 nov. 2021, 22:06 
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Enregistré le : ven. 27 nov. 2020, 09:47
Messages : 24
Sexe et orientation sexuelle : Homme hétéro
Salut même si le dernier post remonte à 2010, ben je vais quand même parler de mes propres expériences.Ma première expérience, je ne me souviens pas vraiment, mais c'était comme toutes premières expériences un peu du "touches pipi" d'enfant basé sur la curiosité et une certaine envie de ressentir. Je peux aussi dire que cela relève du "je voudrais ressentir ce qu'une femme peut ressentir" l'une des grandes questions existentielles de ma vie. :D

Ayant vite compris que j'étais attiré par ce petit orifice que beaucoup considèrent tabou, j'en étais encore plus désireux de l'explorer, sûrement dû au concept d'interdit qui réside dans notre histoire à ce niveau. Je pensais aussi que cela serait un bon argument dans le cadre de proposer cela à une partenaire le concept du : "ne demande pas aux autres, ce que tu n'es pas capable de faire toi-même". Je trouve logique, au final, que si je demande à ma partenaire ce type de pratique que je sois moi-même capable de l'autoriser.

Au final, je n'ai jamais pratiqué l'anal avec une partenaire dans un sens comme dans l'autre, la dernière ayant mal reçu cette discussion cela m'a bloqué par la suite, donc j'ai continué mais en solitaire, car le désir d'explorer cette zone et mon attirance pour celle-ci demeure inchangée.

Depuis la création de mon premier god qui n'était pas une franche réussite, des boules d'ouate dans un préservatif, bin oui quand on est jeune on pas forcément des sous pour des jouets et surtout je n'avais pas internet à mon nom pour commander ce que je voulais. bin j'ai fait du chemin, j'ai acheté et testé un certain nombre de jouet, en passant du plug gonflable, à l'oeuf vibrant, un petit god avec divers petites "capotes" avec des surfaces différentes, des godes en verre et maintenant j'en suis à des plugs de 5cm un beau god ventouse de 4cm de diamètre que je m'insère régulièrement mais c'est dommage j'ai un peu plus dur d'aller au-dessus de la taille de 5cm. Pourtant j'aimerai bien, car je préfère un jouet large plutôt que long. J'ai commencé la lecture d'un livre "osez la sodomie" peut-être que j'en apprendrai un peu plus sur d'éventuelles techniques de détente. Et j'ai un p'tit coté "**lope, plus c'est large mieux c'est" j'aime le concept de me sentir envahi, rempli, innondé.
Je possède aussi des plug dit type "ancre" de 5cm, 7,5 cm et 10cm mais c'est un peu galère à insérer ce type de jouet !

Par contre une relation avec un homme ne m'attire aucunement, désolé messieurs :lol: . Pour cette pratique je suis très méfiant car la zone reste très fragile et même avec une partenaire il me faudrait une grande confiance. Par contre paradoxalement une belle transgenre ne me déplairait pas forcément, bien que cela reste du conditionnel , "on dit, on dit", mais une fois face à la chose on bloque :D Car cela n'enlève en rien le côté "en confiance" je n'ai pas trop envie de boiter car j'aurai été labouré trop durement, ni de devoir m'asseoir sur un coussin gonflable car les terminaisons nerveuses à la pointe du scrotum seront enflammées.

Maintenant je pense avoir trouver les bons lubrifiants, car là aussi c'est toute une recherche, les bons jouets, et j'en cherche toujours des différents et des plus larges pour pour de plaisir, j'ai même testé du poppers pour aider au relâchement, et je pense avoir trouver un produit qui me déshinibe bien, me dilate correctement sans me filer une migraine.

J'ai même investi dans un spéculum pour dilater mon petit trou et j'ai découvert qu'avec l'étirement la muqueuse anale est toute douce, c'est une sensation géniale, aussi agréable que de se trouve dans un vagin, et là je me dis "wow, avoir une partenaire et lui mettre la langue dans son petit trou tout ouvert serai bien et aimerait-elle cette gâterie" J'ai vraiment une forme d'attirance et de grande excitation avec cet orifice, rien qu'en écrivant cette ligne cela m'excite. Cela doit être si intime de partager un moment dans cette zone avec une partenaire en plus d'une grande complicité et confiance.

Voila c'est tout pour le moment, même si mes expériences ne sont pas des plus farouches, ni variées j'espère que vous aurez pris plaisir à lire.
Bye


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MessagePosté : dim. 21 nov. 2021, 14:47 
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Membre Loquace
Membre Loquace

Enregistré le : mer. 26 janv. 2011, 11:29
Messages : 411
Sexe et orientation sexuelle : Passif et soumis, parfaite salope mâle.
Comme indiqué plus haut, le maître mot dans la pratique de la sodomie, c'est douceur. Faire l'amour, comme l'indique le terme, c'et faire et se faire du bien. Donc il faut avant tout ne ps faire mal au partenaire.

Il faut préparer, préparer et préparer le petit trou. Avec la langue, les doigts, un petit gode ou similaire, et ne surtout pas forcer l'entrée. Ne faites pas à l'autre ce que vous n'aimeriez pas qu'on vous fasse.

Puis, après ou en même temps, lubrifier, lubrifier et encore lubrifier. L'anus est très sensible et surtout moins extensible sans préparation que le vagin. Et, que les femmes ne soient pas choquées, autant une petite blessure au vagin sera généralement sans conséquence durable, je dis bien "durable", autant un traumatisme de l'anus aura des effets très gênants, sortie des selles par exemple.

Donc, après préparation et lubrification, on pourra passer à l'introduction du sexe. Maître mot, lenteur et douceur. A la moindre réaction du pénétré, on arrête l progression et on attend un signe ou une parole pour reprendre. Rappelez vous, c'est un acte d'amour.

Une fois à l'intérieur, là aussi, tout dépend des réaction de l'autre pour limer comme un malade ou le faire doucement.

Une fois éjaculé, je conseille de rester à l'intérieur, de caresser, d'embrasser, de remercier. Quant à la couleur "chocolat", la moindre des choses est de ne pas le faire remarquer et d'aller se laver mais sans insister sur la partie du corps qu'on nettoie. "Je me lavais les mains, ma queue était toute propre, ne t'inquiète pas". Ne pas oublier que l'anus sert avant tout à faire sortir les selles, donc des traces sont normales.


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MessagePosté : mer. 13 déc. 2023, 22:57 
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Membre Timide
Membre Timide

Enregistré le : mar. 12 déc. 2023, 20:56
Messages : 3
Sexe et orientation sexuelle : Masculin, bitophile
Localisation : Alsace
Pour apporter ma pierre à l’édifice: un médecin pas un jour dit qu’il était sain pour le pénétrant d’aller pisser après avoir pratiqué une sodomie, histoire d’éviter la prolifération des germes et une mst


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