vassilia.net

Ces derniers ont déboursé l'équivalent de 3000 euros pour avoir le nom de leur site tatoué sur le visage de Billy Gibby.
Ne semblant avoir aucune limite, le Canadien a même accepté de changer officiellement son nom, se rebaptisant "Hostgator.com". Le site lui a offert 11 000 euros pour changer son identité.

N'essayez pas ceci à la maison. N'essayez pas ceci nulle part. Bref, n'essayez pas!

Un homme de la province de Guangdong, dans le sud-est de la Chine, a dû être admis à l'hôpital après s'être retrouvé avec une anguille vivante dans le corps.

Mais comment a-t-il pu se retrouver dans une telle situation? La réponse ne va pas vous plaire... Selon le tabloïd britannique The Sun, l'homme aurait inséré l'anguille de 50 cm dans son anus après avoir vu un tel geste dans un film porno. Une opération chirurgicale d'une nuit a été nécessaire pour retirer l'animal de son intestin.

Selon Mop.com, l'anguille aurait également perforé une partie de l'intestin, se retrouvant coincée dans son corps. L'image de la radiographie (voir ci-dessous) montre la situation.



L'équipe médicale a également mentionné que l'anguille était toujours vivante après avoir été sortie du corps de l'homme, mais qu'elle est morte peu après. Selon The Sun, l'homme récupère toujours à l'hôpital et pourrait faire face à des accusations de cruauté envers les animaux.

En 2012, un homme de Nouvelle-Zélande s'était retrouvé dans une position similaire. En 2010, un Chinois serait décédé après qu'un ami lui eut inséré une anguille dans le rectum «à la blague».

Si vous êtes expert en pornographie, capable d'établir des critères d'obscénité pour trier les différents sites classés X, la Chine a besoin de vous.

L'organisation "Anquan Lianmeng" (Alliance de sécurité) a posté une annonce sur le réseau social chinois Weibo pour un poste de "chef officier d'identification de la pornographie". Le job, basé à Pékin, offre une rémunération confortable (environ 2000 euros par mois), mais exige des compétences précises.

Le site ChinaSmack a traduit la fiche de poste publiée publiée sur le réseau Weibo. Pour postuler, vous devez être :

• âgé entre 20 et 35 ans, peu importe le sexe
• détenteur au moins d'un diplôme niveau licence
• familier avec les contenus pornographiques de différents pays
• connaisseur de la loi chinoise en matière de régulation pornographique
• capable d'identifier avec précision et rapidité les sites pornographiques
• doté de compétences tels que le travail d'équipe et le sens des responsabilités

Anquan Lianmeng, qui propose ce job, se définit comme une organisation neutre et indépendante, qui se donne pour mission d'établir des standards "pour sécuriser internet et pour protéger les droits et intérêts des internautes".

Mais ce recrutement s'inscrit dans un contexte de durcissement de la censure à l'égard de la pornographie numérique en Chine. En février, le pays aurait coupé l'accès à plus de 35.000 sites, blogs et Web TV à caractère pornographique ou érotique, selon Le Soir.

La pornographie est de plus en plus proscrite en Chine, pourtant le pays serait parmi les plus gros consommateurs de films X de la planète. Sur Weibo, le post a déjà été partagé 120.000 fois et commentés 20.000 fois.

Parmi les commentaires, de nombreux internautes semblent avoir découvert une vocation. "Il est temps pour moi de faire bon usage de mon talent" ou "Dieu m'a ouvert une porte...", peut-on lire sur le réseau social.

Ce mercredi matin, un homme armé d’un couteau a tenté de braquer l’une des maisons closes appartenant au plus célèbre des maquereaux, le Français Dodo la Saumure installé à Tournai. Les prostituées qui travaillaient sur place n’ont toutefois pas manqué de sang froid et se sont défendues avec les armes à leur disposition : en s’armant de godmichés contre l’assaillant.

La scène tient du burlesque graveleux et pourtant, elle est bien réelle…
Les faits se sont déroulés avenue de Maire à Tournai, au numéro 36, dans l’un des nombreux établissements de charme de Dominique Alderweireld, alias Dodo la Saumure. Un homme armé d’un couteau est entré et a réclamé avec violence le liquide que contenait à cette heure de la journée la caisse de la maison close. Les travailleuses présentes se sont en partie exécutées mais surtout sont parvenues à faire fuir l’agresseur.

Leur méthode ? Elles se sont armées de godmichés avec lequel elles ont tapé le voleur avant de les lui lancer dessus.

Braquage chez Dodo la Saumure : les hôtesses se défendent à coups de sextoys

Les braqueurs sont prévenus, chez Dodo la Saumure, les «hôtesses» savent se défendre. Un voleur en a fait les frais ce mercredi matin, à Tournai, en Belgique.

Au numéro 36 de l'avenue de Maire, lorsque les hommes passent la porte, ils sont généralement animés d'intentions bien peu hostiles à l'égard du petit personnel.
C'est là qu'est domicilié un des nombreux établissements de charme tenus par Dominique Alderweird, plus connu sous le surnom de Dodo la Saumure. Le célèbre proxénète belge s'est fait connaître en France lorsque son nom est apparu dans l'affaire du Carlton de Lille. Il est soupçonné d'avoir fourni des prostituées pour animer des parties fines auxquelles Dominique Strauss-Khan aurait participé.

Elles frappent le braqueur avec des godemichés

Ce mercredi matin, l'homme qui entre dans l'établissement n'est pas là pour la bagatelle. Armé d'un couteau, il réclame sans ménagement le contenu de la caisse de la maison close. Mais les employées zélées n'ont pas froid aux yeux. Et la risposte est cinglante. Elles saisissent les premiers objets à portée de main pour matraquer le voleur qui reçoit une volée de coups de... godemichés !

Armées de sextoys, les prostituées frappent le braqueur avant de lui lancer dessus leurs accessoires. La technique a le mérite de l'efficacité. L'individu prend ses jambes à son cou...

Drôme : la femme de ménage du lycée des 3 sources suspendue pour son blog porno est révoquée
Après plusieurs mois de réflexion, le conseil régional Rhône Alpes qui l'employait a pris la décision la plus sévère qui soit dans la fonction publique pour cette agent du lycée de Bourg lès Valence.
En novembre dernier, des élèves du lycée des 3 sources avaient découvert le blog pornographique d'Isabelle Cordeiro et l'affichage des photos dans l'établissement avait provoqué un vif émoi.
Aujourd'hui, elle est donc révoquée : la situation est incompréhensible pour son avocat , maître Arnaud Lemoine. D'autant que le conseil régional connaissait l'existence de son blog porno.
Isabelle Cordeiro a décidé de porter l'affaire devant le tribunal administratif de Grenoble pour contester sa révocation de la fonction publique.

Vêtu d'une veste et d'une courte jupe rouge sur bas résille, lèvres et chaussures assorties, le milliardaire britannique a officié sur un vol de plus de cinq heures entre Perth (Australie) et la capitale malaisienne Kuala Lumpur.
Branson a néanmoins gardé sa fameuse barbe blonde. "C'était une vraie première pour moi. J'ai aimé l'expérience, a-t-il déclaré dans un communiqué d'AirAsia.

Un paon victime des penchants lubriques d’un sexagénaire. Phyl, volatile domestique, a été retrouvé la semaine dernière, sans vie, dans le garage de son maître, David Beckman - rien à voir avec le joueur du PSG -, à Roselle (Illinois). Il aurait abusé sexuellement de l’animal, causant sa mort. Les policiers ont découvert le cadavre alors qu’ils étaient venus interroger l’homme dans le cadre d’une enquête pour agression sur mineur.

L’homme a ainsi également été placé en prison pour sollicitation indécente envers un enfant. La victime aurait entre 13 et 17 ans et les faits se seraient produits mardi dernier rapporte The Daily Herald. De nombreuses questions demeurent pour le moment sans réponse. Ainsi, comment Phyl est-il mort ? La police a refusé pour l’instant de donner plus de détails, si ce n’est que l’oiseau était décédé le 28 avril. David Beckman devrait être présenté devant un juge le 12 juin

Les employées de la filiale ferroviaire du groupe britannique Virgin, qui jugaient leurs nouvelles tenues de fonction trop transparentes ou décolletées, se sont vu remettre des bons de réduction pour s'offrir... des sous-vêtements!



Alors que les hôtesses de l'air de la compagnie Virgin Atlantic auront bientôt la chance de porter un uniforme conçu par Vivienne Westwood, il semblerait que les employées de la compagnie ferrovière de Virgin ne soient pas tout à fait logées à la même enseigne. Elles viennent en effet de refuser de porter leurs nouvelles blouses rouges. Selon elles, elles dévoilent leurs soutiens-gorge par transparence et comportent un décolleté trop plongeant. Elles sont allées travailler dans leurs anciens vêtements.

"Nos salariées sont mécontentes car elles ont l'impression que Sir Richard rogne sur les coûts en leur demandant de porter des chemisiers fins, légers et qui leur semblent trop décolletés" a expliqué Manuel Cortes, leader du syndicat TSSA, au Telegraph le 7 mai dernier.

Pour calmer les esprits, le groupe leur à offert des bons d'achats de 20 livres (24 euros) pour qu'elles s'achètent de nouveaux... sous-vêtements, plus discrets. Le directeur Andy Cross a déclaré au Telegraph: "Il important que nos employées se sentent à l'aise, nous leur avons donc offert des chèques-cadeaux afin qu'elles trouvent de nouveaux sous-vêtements à porter sous leur blouses". Retardée en raison des plaintes, la date de mise en service de ce nouvel uniforme a finalement été fixée au 27 mai. Une chose est sûre: si Virgin comptait faire des économies avec ce nouvel uniforme, c'est raté!

Dans le paisible village de Mercurol, dans la Drôme, on nage dans le sordide ces derniers temps. Un homme suspecté d'avoir «violé» des juments au cours des derniers mois, et qui devait en répondre devant la justice à l'automne prochain, a récidivé cette semaine, révèle le Dauphiné Libéré.
Confondu par un système de vidéoprotection mis au point par les éleveurs suspicieux, il a été interpellé et placé en garde-à-vue ce mercredi.

Le 15 mai dernier, le quotidien local révélait déjà qu'un habitant du village voisin avait été interpellé par les gendarmes, et reconnu avoir violé deux juments dans un champ situé sur la commune de Mercurol. Ce sont les éleveurs eux-mêmes, après avoir découvert des éléments suspects, qui avaient installé une caméra à proximité et avaient ainsi pu apporter à la gendarmerie les séquences vidéos pour le moins obscènes. Reconnu et confondu par la gendarmerie, l’homme devait ainsi répondre dans quelques mois des faits de sévices de nature sexuelle sur animaux apprivoisés devant la justice à l’automne prochain, un délit passible de 2 ans d’emprisonnement et de 30000€ d’amendes.

Mais les éleveurs n'étaient pas au bout de leur peine. Lundi soir dernier, l'un d'eux, qui avait ré-enclenché la caméra infrarouge à cause d'un «mauvais pressentiment», s'est en effet rendu compte que le matériel utilisé par le violeur (tabouret, sangles...), resté sur place depuis la dernière fois, avait disparu. Soupçonnant le suspect d'être de nouveau passé par là, l'homme excédé a donc décidé de visionner les dernières séquences filmées par son dispositif, et découvert de nouvelles scènes scabreuses, avec cette-fois ci trois juments. Les clichés ont été de nouveau apportés à la gendarmerie, qui a procédé ce mercredi à son arrestation.

La taille compte, finalement.
Le pénis dressé d’un gorille mesure cinq centimètres; celui d’un homme de même stature 14 centimètres en moyenne.
Cette grande longueur pénienne est une particularité unique chez les primates. Les observations de l’équipe de Brian Mautz,
de l’Université nationale d’Australie, suggèrent qu’elle pourrait avoir été sélectionnée par... les femmes. Les psychologues ont mis en évidence les préférences in-conscientes de 105 femmes hétérosexuelles âgées de moins de 35 ans. Ils ont créé par ordinateur 53 corps d’homme de statures, rapports épaules/hanches et longueurs péniennes variables.
Par vote anonyme, les participantes ont préféré les silhouettes dont les mensurations sont supérieures à la moyenne, mais
pas trop. Ainsi, les pénis de 12,8 à 14,2 centimètres au repos sont préférés par les femmes, alors que la longueur pénienne moyenne est comprise entre 7 et 10 centimètres.
➜F. S.
PNAS, vol. 110(17), pp. 6925-6930, 2013