C’est une prostituée qui n’a plus beaucoup de clients…
Après avoir passé des années à se faire ravager 20 à 30 fois par jour, la voilà abandonnée de tous.
Monsieur le prof de piano bon catholique a arrêté de venir après que sa femme ait failli le griller, il s’est rangé…depuis au lieu de se faire sucer pour oublier bobonne, il noie son chagrin dans l’alcool.
Les habitués sont tous morts ou trop vieux.
Et les petits jeunes veulent des shemales au physique de bimbos du Brésil ou de gamines thaïlandaises…
Alors une fois par semaine, je l’appelle, je vais la voir, moi-même travestie, je l’enlasse, je l’embrasse tendrement, je lui dis qu’elle est belle et désirable.
Mais contrairement à ses anciens clients, elle sait bien que ma petite bite en cage ne va rien lui faire.
Alors je demande poliment si je peux la sucer.
Elle répond toujours « oui ».
Je lui dis l’air un peu gênée: « mais tu me préviens si tu sens que ça vient, hein? »
« Ah oui, tu ne veux pas que je jouisse dans ta bouche? »
Moi, prenant un regard très pervers et un sourire diabolique de ma bouche impeccablement maquillée: « si, justement! » mon clin d’œil complice achève de lever son érection.
Alors, lorsqu’elle me prévient qu’elle va jouir, je pompe encore plus fort jusqu’à sentir son prépuce vibrer, pulser, pour finalement exploser en longs jets bien chauds dans ma bouche que j’avale jusqu’à la dernière goutte.
Alors, la remerciant d’un doux baiser et d’un billet de 50€, je la quite, heureuse.
Parfois, je demande à ce qu’elle m’encule. J’utilise des préservatifs féminins car cela m’excite d’arriver déjà « équipée », et qu’elle n’ait plus qu’à sortir sa bite pour me saillir.
Quand je la paie 100€ pour la sodo, parfois elle hoche la tête: « je ne comprends pas, Julia, c’est moi la pute, mais c’est toi qui prend… »
« Justement, si je me paye une pute, c’est bien pour faire ce que je veux? »
-« oui mais toi tu es quoi alors »
-« moi? Une salope. Et fière avec ça ».
